Ceuta ville marocaine occupée
Deux hommes, apparemment des musulmans espagnols, ont été blessés minuit dans une fusillade devant l’entrée d’une mosquée de Sebta. L’un d’eux se trouve dans un état grave.
La mosquée, installée dans le quartier El Principe, porte le nom de « Harraquia », sûrement en référence à la secte marocaine des Harrak, très influente dans le nord du Maroc.
L’agression s’est produite quand un homme a visage couvert a tiré sur un homme qui passait devant la mosquée.
L’enclave de Sebta est un casse-tête pour les autorités espagnoles, plus que l’autre enclave de Melilia, à l’autre bout de la Méditerranée. Des réglements de comptes sanglants, et avec armes à feu, entre mafieux de la drogue et de l’immigration sont monnaie courante, et l’islamisme violent est très présent dans ce petit bout de territoire espagnol revendiqué par le Maroc.
Contrairement à Melilia, l’islam de Sebta est influencé, assure Madrid, par le tabligh. Une autre secte religieuse. Il n’est pas rare de trouver parmi les jihadistes en Afghanistan et Irak des Sebtis. L’un d’eux est devenu célèbre après avoir été honoré par un passage par Guantanamo, où il a été « cuisiné » par les Américains supervisés par les Espagnols.
Le Maroc, à travers le ministère de l’intérieur marocain, ainsi que les services secrets (DST et DGED), camouflés derrière le ministère des Habous et des affaires islamqiues, tentent depuis plusieurs années de prendre possesion de l’islam local en finançant construction de mosquées et « formation » et « fourniture » d’imams. Au grand dam de Madrid.
Le CNI (Centre national d’information) les services secrets espagnols, ont élaboré il y a quelques années un très exhaustif rapport sur les vastes tentatives marocaines pour influer sur l’islam espagnol
http://www.demainonline.com/2013/01/29/fusillade-devant-une-mosquee-de-sebta/ceuta-mesquita/
Deux hommes, apparemment des musulmans espagnols, ont été blessés minuit dans une fusillade devant l’entrée d’une mosquée de Sebta. L’un d’eux se trouve dans un état grave.
La mosquée, installée dans le quartier El Principe, porte le nom de « Harraquia », sûrement en référence à la secte marocaine des Harrak, très influente dans le nord du Maroc.
L’agression s’est produite quand un homme a visage couvert a tiré sur un homme qui passait devant la mosquée.
L’enclave de Sebta est un casse-tête pour les autorités espagnoles, plus que l’autre enclave de Melilia, à l’autre bout de la Méditerranée. Des réglements de comptes sanglants, et avec armes à feu, entre mafieux de la drogue et de l’immigration sont monnaie courante, et l’islamisme violent est très présent dans ce petit bout de territoire espagnol revendiqué par le Maroc.
Contrairement à Melilia, l’islam de Sebta est influencé, assure Madrid, par le tabligh. Une autre secte religieuse. Il n’est pas rare de trouver parmi les jihadistes en Afghanistan et Irak des Sebtis. L’un d’eux est devenu célèbre après avoir été honoré par un passage par Guantanamo, où il a été « cuisiné » par les Américains supervisés par les Espagnols.
Le Maroc, à travers le ministère de l’intérieur marocain, ainsi que les services secrets (DST et DGED), camouflés derrière le ministère des Habous et des affaires islamqiues, tentent depuis plusieurs années de prendre possesion de l’islam local en finançant construction de mosquées et « formation » et « fourniture » d’imams. Au grand dam de Madrid.
Le CNI (Centre national d’information) les services secrets espagnols, ont élaboré il y a quelques années un très exhaustif rapport sur les vastes tentatives marocaines pour influer sur l’islam espagnol
http://www.demainonline.com/2013/01/29/fusillade-devant-une-mosquee-de-sebta/ceuta-mesquita/