Gaza : douze palestiniens assassinés lors du premier jour de la «marche du retour»

Tués avec la complicité du gouv us fr gb séoud turc en grande partie .
Gaza un camp de prisonnier à ciel ouvert .
Ces criminels lâches qui sont apatrides . Entité scélérate créée par l'onu ex sdn en 1948
qui vit sous perfusion et l'argent du crime . Colons qui n'ont aucun rapport avec les habitants des siècles
avant notre ère . Ces colons qui ne sont rien d'autres que des convertis à une secte
tout comme jadis des Grecs furent convertis à cette secte avant notre ère .

Dieu n'oublie rien .


Si prévisible, la mécanique du pire s’est à nouveau enclenchée à Gaza. Vendredi, dix Palestiniens de l’enclave côtière ont péri sous le feu des snipers israéliens postés de l’autre côté de la frontière, à l’occasion du premier jour de la «Marche du retour», mobilisation de masse qui doit durer jusqu’à la mi-mai, de la «Journée de la terre» ce vendredi à celle de la «Nakba» (la «Catastrophe»), point d’orgue du mouvement au lendemain de l’anniversaire des 70 ans de la création de l’Et at héb reu.
En début de soirée, les tanks israéliens ont détruit trois postes de contrôle du Hamas, causant la mort de deux hommes, portant le morbide bilan de la journée à douze victimes.
Après la traditionnelle prière de la mi-journée, environ 30 000 Gazaouis s’étaient rendus aux abords voire, pour certains, à l’intérieur de la «zone tampon», ces quelques centaines de mètres de no man’s land farouchement imposés par l’armée israélienne et théâtre régulier d’affrontements asymétriques le long de la clôture entre le territoire palestinien sous blocus et le sud d’Israël.
Lancée à l’initiative de personnalités de la société civile après la reconnaissance de Jérusalem comme capitale israélienne par Donald Trump, puis récupérée par le Hamas, le mouvement islamiste qui contrôle l’enclave depuis une décennie, la «Marche du retour» entend remettre au cœur du débat le «droit au retour» des réfugiés palestiniens dans leurs terres d’avant 1948.
En amont de l’événement, l’état-major de Tsahal avait justifié les tirs à balles réelles pour réprimer le rassemblement, refusant de croire en la «non-violence» revendiquée des organisateurs et évoquant divers précédents d’enfouissements d’engins explosifs sous couvert de manifestations. Dès l’aube, un fermier a été tué par un obus tiré depuis un tank à la frontière, sous prétexte de «comportement suspect».
La journée s’est déroulée exactement comme chaque camp l’attendait, rejouant une tragédie sans fin connue de tous les acteurs. Côté palestinien, parmi les masses pacifiques rassemblées autour de cinq campements de tentes, des grappes de jeunes hommes sont venues lancer des pierres, des pneus brûlés et des cocktails Molotov en direction de la clôture. De l’autre, des drones ont largué des bombes lacrymogènes sur la foule et les soldats israéliens ont appliqué leurs consignes létales. Les Israéliens ont aussi largement publicisé l’envoi d’une fillette de 7 ans en direction de la barrière, épargnée par les tirs et ensuite rendue à sa famille, nourrissant ainsi les habituelles accusations d’instrumentalisation d’enfants par les activistes palestiniens. Dans ses comptes rendus, l’armée israélienne considère tous les participants sans exception comme des «émeutiers», suivant sa ligne de communication depuis le début de la semaine, après avoir déclaré la mobilisation «mouvement hostile».
Le bilan humain est très lourd. Il dépasse en un jour le nombre de Gazaouis tués durant tout le mois de protestations qui avait suivi la déclaration de Trump en décembre. Selon les médias locaux, les victimes avaient entre 18 et 34 ans, l’armée revendiquant avoir abattu parmi eux «une figure centrale de l’organisation du Hamas». Le ministère de la Santé de Gaza dénombre des centaines de blessés, dont au moins 200 par balles selon le Croissant Rouge palestinien, alors que Tsahal assure n’avoir visé que les «meneurs».

libération
 
Tués avec la complicité du gouv us fr gb séoud turc en grande partie .
Gaza un camp de prisonnier à ciel ouvert .
Ces criminels lâches qui sont apatrides . Entité scélérate créée par l'onu ex sdn en 1948
qui vit sous perfusion et l'argent du crime . Colons qui n'ont aucun rapport avec les habitants des siècles
avant notre ère . Ces colons qui ne sont rien d'autres que des convertis à une secte
tout comme jadis des Grecs furent convertis à cette secte avant notre ère .

Dieu n'oublie rien .


Si prévisible, la mécanique du pire s’est à nouveau enclenchée à Gaza. Vendredi, dix Palestiniens de l’enclave côtière ont péri sous le feu des snipers israéliens postés de l’autre côté de la frontière, à l’occasion du premier jour de la «Marche du retour», mobilisation de masse qui doit durer jusqu’à la mi-mai, de la «Journée de la terre» ce vendredi à celle de la «Nakba» (la «Catastrophe»), point d’orgue du mouvement au lendemain de l’anniversaire des 70 ans de la création de l’Et at héb reu.
En début de soirée, les tanks israéliens ont détruit trois postes de contrôle du Hamas, causant la mort de deux hommes, portant le morbide bilan de la journée à douze victimes.
Après la traditionnelle prière de la mi-journée, environ 30 000 Gazaouis s’étaient rendus aux abords voire, pour certains, à l’intérieur de la «zone tampon», ces quelques centaines de mètres de no man’s land farouchement imposés par l’armée israélienne et théâtre régulier d’affrontements asymétriques le long de la clôture entre le territoire palestinien sous blocus et le sud d’Israël.
Lancée à l’initiative de personnalités de la société civile après la reconnaissance de Jérusalem comme capitale israélienne par Donald Trump, puis récupérée par le Hamas, le mouvement islamiste qui contrôle l’enclave depuis une décennie, la «Marche du retour» entend remettre au cœur du débat le «droit au retour» des réfugiés palestiniens dans leurs terres d’avant 1948.
En amont de l’événement, l’état-major de Tsahal avait justifié les tirs à balles réelles pour réprimer le rassemblement, refusant de croire en la «non-violence» revendiquée des organisateurs et évoquant divers précédents d’enfouissements d’engins explosifs sous couvert de manifestations. Dès l’aube, un fermier a été tué par un obus tiré depuis un tank à la frontière, sous prétexte de «comportement suspect».
La journée s’est déroulée exactement comme chaque camp l’attendait, rejouant une tragédie sans fin connue de tous les acteurs. Côté palestinien, parmi les masses pacifiques rassemblées autour de cinq campements de tentes, des grappes de jeunes hommes sont venues lancer des pierres, des pneus brûlés et des cocktails Molotov en direction de la clôture. De l’autre, des drones ont largué des bombes lacrymogènes sur la foule et les soldats israéliens ont appliqué leurs consignes létales. Les Israéliens ont aussi largement publicisé l’envoi d’une fillette de 7 ans en direction de la barrière, épargnée par les tirs et ensuite rendue à sa famille, nourrissant ainsi les habituelles accusations d’instrumentalisation d’enfants par les activistes palestiniens. Dans ses comptes rendus, l’armée israélienne considère tous les participants sans exception comme des «émeutiers», suivant sa ligne de communication depuis le début de la semaine, après avoir déclaré la mobilisation «mouvement hostile».
Le bilan humain est très lourd. Il dépasse en un jour le nombre de Gazaouis tués durant tout le mois de protestations qui avait suivi la déclaration de Trump en décembre. Selon les médias locaux, les victimes avaient entre 18 et 34 ans, l’armée revendiquant avoir abattu parmi eux «une figure centrale de l’organisation du Hamas». Le ministère de la Santé de Gaza dénombre des centaines de blessés, dont au moins 200 par balles selon le Croissant Rouge palestinien, alors que Tsahal assure n’avoir visé que les «meneurs».

libération
Chut
Ah non même pas besoin rien aux infos
Ah ils sont tous sur l héritage Halliday
 
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