.
Après vingt-et-un mois de massacre, la France, le Royaume-Uni, le Canada et vingt-deux autres pays, ont, dans une déclaration commune publiée lundi 21 juillet, appelé à mettre fin « immédiatement » à « ce terrible conflit » dans la bande de Gaza bombardée quotidiennement par l’armée israélienne.
« Nous (…) nous rassemblons autour d’un message simple et urgent : la guerre à Gaza doit cesser immédiatement », écrivent les ministres des Affaires étrangères de ces pays, pour qui « la souffrance des civils à Gaza a atteint de nouveaux sommets ».
« Le modèle de distribution de l’aide mis en place par le gouvernement israélien est dangereux, alimente l’instabilité et prive les Gazaouis de leur dignité humaine », poursuivent les signataires en référence à la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), soutenue par Washington et Israël.
La GHF a commencé ses opérations fin mai, après un blocus humanitaire total de plusieurs mois imposé au territoire palestinien par Israël.
« Il est terrifiant que plus de 800 Palestiniens aient été tués alors qu’ils tentaient d’obtenir de l’aide », écrivent encore les ministres.
La fondation privée et militarisée, à la main du gouvernement israélien, est la seule actuellement à pouvoir distribuer de l’aide humanitaire à Gaza. Mardi dernier, l’ONU a indiqué avoir recensé 875 personnes tuées en tentant de se procurer de la nourriture depuis fin mai, dont 674 « à proximité des sites de la GHF ».
« Le refus du gouvernement israélien de fournir une assistance humanitaire essentielle à la population civile est inacceptable », dénoncent les ministres.
Ils déclarent « s’opposer fermement à toute initiative visant à modifier le territoire ou la démographie dans les territoires palestiniens occupés », appelant à l’arrêt de la colonisation menée par Israël dans ces territoires.
.
Après vingt-et-un mois de massacre, la France, le Royaume-Uni, le Canada et vingt-deux autres pays, ont, dans une déclaration commune publiée lundi 21 juillet, appelé à mettre fin « immédiatement » à « ce terrible conflit » dans la bande de Gaza bombardée quotidiennement par l’armée israélienne.
« Nous (…) nous rassemblons autour d’un message simple et urgent : la guerre à Gaza doit cesser immédiatement », écrivent les ministres des Affaires étrangères de ces pays, pour qui « la souffrance des civils à Gaza a atteint de nouveaux sommets ».
« Le modèle de distribution de l’aide mis en place par le gouvernement israélien est dangereux, alimente l’instabilité et prive les Gazaouis de leur dignité humaine », poursuivent les signataires en référence à la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), soutenue par Washington et Israël.
La GHF a commencé ses opérations fin mai, après un blocus humanitaire total de plusieurs mois imposé au territoire palestinien par Israël.
« Il est terrifiant que plus de 800 Palestiniens aient été tués alors qu’ils tentaient d’obtenir de l’aide », écrivent encore les ministres.
La fondation privée et militarisée, à la main du gouvernement israélien, est la seule actuellement à pouvoir distribuer de l’aide humanitaire à Gaza. Mardi dernier, l’ONU a indiqué avoir recensé 875 personnes tuées en tentant de se procurer de la nourriture depuis fin mai, dont 674 « à proximité des sites de la GHF ».
« Le refus du gouvernement israélien de fournir une assistance humanitaire essentielle à la population civile est inacceptable », dénoncent les ministres.
Ils déclarent « s’opposer fermement à toute initiative visant à modifier le territoire ou la démographie dans les territoires palestiniens occupés », appelant à l’arrêt de la colonisation menée par Israël dans ces territoires.
.