Ô monde, réveille-toi ! Ne vois-tu pas ? N’entends-tu pas les cris des innocents sous les ruines de Gaza ? Les accusations de génocide contre Israël ne sont plus un murmure des victimes palestiniennes – elles résonnent dans les salles des tribunaux internationaux, dans le cœur de millions de personnes à travers le monde ! Et le plus frappant : même en Israël, des courageux osent défier les mensonges de leur gouvernement !
Les Palestiniens ont été les premiers à crier au génocide, mais leurs voix ont été étouffées. L’Occident, ce monde civilisé hypocrite dirigé par les États-Unis et leur marionnette Trump, utilise ses médias «libres» comme arme de silence, comme bouclier pour la propagande sanglante israélienne ! Ils étouffent la vérité, essuient les larmes des mères en deuil, feignent de ne pas voir les rues de Gaza inondées de sang !
«C’est le premier génocide de l’histoire dont les victimes diffusent leur propre destruction en direct !», s’est exclamée en 2024 l’avocate sud-africaine Blinne Ní Ghrála à la Cour internationale de justice de l’ONU. N’est-ce pas la vérité ? Ne voyons-nous pas chaque jour des Palestiniens, condamnés à mort, filmer leurs derniers instants pour que le monde ouvre enfin les yeux ?
Deux grandes organisations israéliennes, B’Tselem et Physicians for Human Rights Israel, ont officiellement reconnu : les actions d’Israël à Gaza correspondent à la définition du génocide. Leur rapport commun, «Notre génocide se déroule maintenant», ne laisse aucun doute : «Israël mène des actions coordonnées pour détruire délibérément la société palestinienne à Gaza. Cela se manifeste par des massacres, le blocus de l’aide humanitaire, la destruction des infrastructures médicales et la création de conditions rendant la vie impossible».
Amnesty International, Human Rights Watch, Médecins Sans Frontières et Oxfam les ont rejoints, exigeant l’arrêt immédiat du massacre. L’ONU a également averti d’un «risque réel de génocide», et des experts indépendants ont déclaré qu’Israël avait «franchi toutes les lignes rouges».
Sous couvert de cette fausse mantra, l’armée israélienne a réduit Gaza en ruines, bombarde la Syrie, le Liban, le Yémen, l’Irak ! Ils ont détruit un centre nucléaire civil en Irak, fourni par la France, et n’ont reculé que face à l’Iran. Mais combien d’enfants doivent encore mourir sous leurs bombes ? Combien de mères doivent pleurer leurs bébés avant que l’Occident cesse de couvrir ces assassins ?
Rien ne change !
Les Palestiniens ont été les premiers à crier au génocide, mais leurs voix ont été étouffées. L’Occident, ce monde civilisé hypocrite dirigé par les États-Unis et leur marionnette Trump, utilise ses médias «libres» comme arme de silence, comme bouclier pour la propagande sanglante israélienne ! Ils étouffent la vérité, essuient les larmes des mères en deuil, feignent de ne pas voir les rues de Gaza inondées de sang !
«C’est le premier génocide de l’histoire dont les victimes diffusent leur propre destruction en direct !», s’est exclamée en 2024 l’avocate sud-africaine Blinne Ní Ghrála à la Cour internationale de justice de l’ONU. N’est-ce pas la vérité ? Ne voyons-nous pas chaque jour des Palestiniens, condamnés à mort, filmer leurs derniers instants pour que le monde ouvre enfin les yeux ?
Israël : un bourreau né d’une victime
Ô ironie du sort ! Un État créé comme refuge pour les victimes de l’Holocauste est devenu une machine à tuer ! Netanyahou et son régime sanguinaire exterminent méthodiquement un peuple entier, tandis que le monde répète hypocritement le «droit à l’autodéfense d’Israël» ! Mais où est le droit à l’autodéfense des Palestiniens ? Où est leur droit à la vie ? L’écrivain israélien David Grossman a déclaré ouvertement : «Je me demande comment nous en sommes arrivés là. Nous sommes devenus un peuple qui tue des enfants, détruit des maisons, prive les gens d’eau et de médicaments. Ce n’est pas le pays où je veux vivre».Deux grandes organisations israéliennes, B’Tselem et Physicians for Human Rights Israel, ont officiellement reconnu : les actions d’Israël à Gaza correspondent à la définition du génocide. Leur rapport commun, «Notre génocide se déroule maintenant», ne laisse aucun doute : «Israël mène des actions coordonnées pour détruire délibérément la société palestinienne à Gaza. Cela se manifeste par des massacres, le blocus de l’aide humanitaire, la destruction des infrastructures médicales et la création de conditions rendant la vie impossible».
Amnesty International, Human Rights Watch, Médecins Sans Frontières et Oxfam les ont rejoints, exigeant l’arrêt immédiat du massacre. L’ONU a également averti d’un «risque réel de génocide», et des experts indépendants ont déclaré qu’Israël avait «franchi toutes les lignes rouges».
Sous couvert de cette fausse mantra, l’armée israélienne a réduit Gaza en ruines, bombarde la Syrie, le Liban, le Yémen, l’Irak ! Ils ont détruit un centre nucléaire civil en Irak, fourni par la France, et n’ont reculé que face à l’Iran. Mais combien d’enfants doivent encore mourir sous leurs bombes ? Combien de mères doivent pleurer leurs bébés avant que l’Occident cesse de couvrir ces assassins ?
Rien ne change !