Grève générale contre la réforme des retraites

Retraites : le gouvernement trafique (encore) ses cas-types

Il ignore son propre projet de loi
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Le gouvernement a mis en ligne des carrières-types, en chiffrant leurs futures pensions de retraite avec ou sans le projet de loi actuel. Des exemples présentant la réforme sous un jour particulièrement favorable. Sauf que les calculs ignorent l'une des dispositions essentielles de ce projet : le recul progressif de l'âge d'équilibre.

Encore des cas-types truqués sur la réforme des retraites ? En juillet, Arrêt sur images vous racontait comment le rapport Delevoye présentait les comparaisons de revenus de plusieurs travailleurs partant à la retraite selon le système actuel et selon le futur système, tel que présenté dans le rapport. Le gouvernement se refusant depuis le début à proposer un simulateur permettant à chacun de visualiser ce que le futur système allait changer pour leur retraite, il fallait se contenter de ces quelques "cas-types". Sauf que ce qui était présenté comme le "système actuel" était en fait un système fictif, moins favorable aux retraités que celui en cours actuellement. "En fait, il ne compare pas un futur système avec le système actuel, mais deux réformes possibles", commentait alors l'économiste Michael Zemmour à ASI. Avec pareil tour de passe-passe, il devenait facile de faire passer le futur système pour plus favorable qu'il ne l'est.

Les mères gagnantes, vraiment ?

Ce vendredi 24 janvier, l'étude d'impact de ce qui est devenu un projet de loi était présentée devant le Conseil des ministres. Etude d'impact qui contient, comme le rapport Delevoye, des cas-types permettant de comparer les retraites de salariés fictifs dans le cadre du système actuel, et du futur système. Comme on pouvait s'y attendre, les médias se sont précipités sur les cas-types, notamment pour les confronter aux promesses du gouvernement. Le Parisien, notamment, publiait dès jeudi les cas-types concernant les mères, l'un des principaux éléments de langage du gouvernement étant que sa réforme bénéficierait à ces dernières.

Conclusion du Parisien : sur les six situations de femmes "testées", quatre sont perdantes dans le nouveau système
, si elles partent en retraite avant 65 ans. Des chiffres que Muriel Pénicaud, la ministre du Travail, contestait vendredi matin sur France Inter. Sans dire en quoi ils étaient erronés, expliquant qu'elle ne voulait pas "rentrer dans les détails, parce que ça va saouler tout le monde". La ministre assurait au contraire que "90% des femmes vont avoir en moyenne 5% de plus".
 

Drianke

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Retraite : le Conseil d’Etat tacle la réforme

Dans un avis publié ce vendredi, l’institution émet plusieurs critiques sur le projet du gouvernement, notamment des «projections financières lacunaires».


Présenté ce vendredi matin en Conseil des ministres, le projet de loi réformant les retraites pèse pas moins de 2,4 kg. Un texte de 1000 pages, composé notamment d'une étude d'impact, sur lequel s'est prononcé le Conseil d'Etat. Et il n'est pas tendre. Dans son avis publié ce vendredi toujours sur Legifrance, il commence par dénoncer le manque de temps pour examiner ce volumineux texte : « La volonté du gouvernement de disposer de l'avis (NDLR : du Conseil d'Etat) dans un délai de trois semaines ne l'a pas mis à même de mener sa mission avec la sérénité et les délais de réflexion nécessaires pour garantir au mieux la sécurité juridique de l'examen ». Sur le fond, la juridiction administrative tacle pour commencer les « projections financières » figurant dans le projet de loi et l'étude d'impact. Projections « qui restent lacunaires », écrit-elle.

« Dans certains cas, cette étude reste en deçà de ce qu'elle devrait être, de sorte qu'il incombe au gouvernement de l'améliorer encore avant le dépôt du projet de loi au Parlement ». S'agissant de l'impact de la réforme, le Conseil d'Etat pointe notamment un manque d'informations « sur la situation individuelle des assurés et des employeurs, sur le taux d'emploi des seniors, les dépenses d'assurance-chômage et celles liées aux minima sociaux ». Bref une large partie de l'environnement de la réforme. Au passage, les conseillers rappellent à l'ordre le gouvernement, précisant que « les documents d'impact doivent répondre aux exigences générales d'objectivité et de sincérité »…

Ce n'est pas fini. Le projet de loi habilite le gouvernement à régler par le biais de 29 ordonnances une quarantaine de questions pas encore réglées. Des questions jugées importantes par le Conseil d'Etat qui cite, par exemple, « les conditions d'entrée en vigueur de la réforme ». « S'en remettre à des ordonnances pour la définition d'éléments structurants du nouveau système de retraite fait perdre la visibilité nécessaire à l'appréciation des conséquences de la réforme », glisse le Conseil d'Etat à l'adresse des parlementaires qui examineront le texte.

Des abus de langage

Dans son avis, le Conseil d'Etat, va même jusqu'à dénoncer des abus de langage. « Le projet de loi ne crée pas un régime universel de retraite, écrit-il, mais un système universel par points à l'intérieur duquel existent cinq régimes, et à l'intérieur de chacun de ces régimes créés ou maintenus, des règles dérogatoires à celles du système universel. »

Abus de langage encore, dans l'usage du slogan : « Chaque euro cotisé ouvre les mêmes droits pour tous. » Le Conseil d'Etat juge que « cet objectif reflète imparfaitement la complexité et la diversité des règles de cotisation ou d'ouverture de droits définies par le projet de loi ». Voilà qui est clair.

Enfin, gros problème en vue pour le gouvernement qui prévoit dans son projet de renvoyer à une loi de programmation les dispositions devant compenser par une hausse de salaire, la perte de pension qu'entraînera le système universel pour les enseignants et chercheurs fonctionnaires. Pour le Conseil d'Etat qui les rejette, « ces dispositions constituent une injonction au gouvernement de déposer un projet de loi et sont ainsi contraires à la Constitution ». À quelques petits détails près, le reste du texte est validé.

http://www.leparisien.fr/economie/r...WV0uO5_HsG2GJshsDAH69k9ysw#xtor=AD-1481423552
 

GPA2SOU

Personne n'a le droit de mourir le ventre vide

Drianke

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RETRAITE : "Il faut espérer un coronavirus chez les plus de 70 ans" Dérapage en direct de Dominique Da Silva, député LREM
 

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L’image contient peut-être : une personne ou plus, personnes debout et plein air
Benjamin Curau-Vachonà Le peuple s'organise pour la Grève Générale illimitée
⚠️Ce matin au Lycée Aristide Berges comme dans plein d'autres lycées en France, les E3C Blanquer sont annulées et l'envoi de "médiateurs"? surarmés et cagoulés face à cette horde de profs et lycéens dangereux et radicalisés n'y auront rien changé
Merci Laura de twitter. Bientôt les chiens et les lances flammes 🤔
 

Drianke

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Que sait-on de cette vidéo d'un pompier se prenant un tir de LBD dans la tête ?
Lors de la manifestation des pompiers, ce mardi 28 janvier, l'un d'entre eux monté sur un camion lanceur d'eau a reçu un tir, vraisemblablement de LBD, dans la tête.

Question posée par Gwenaelle, le 28/01/20

Bonjour,
Les pompiers manifestaient ce mardi 28 janvier, pour dénoncer le manque de moyens et de reconnaissance et réclamer des garanties sur leur retraite. La mobilisation s’est terminée par des affrontements avec les forces de l’ordre, les pompiers ayant notamment tenté de bloquer le périphérique. A un moment, ils ont essayé de forcer les barricades antiémeutes. Vous nous interrogez sur une vidéo, filmée par le journaliste Brice Ivanovic, et montrant un pompier qui a réussi à escalader et s’asseoir sur un camion à eau. Agitant un fumigène, il se prend un projectile, vraisemblablement un tir de lanceur de balle de défense (LBD) dans la tête.

A 7 secondes dans la vidéo, on entend clairement un plop (caractéristique du LBD), puis on voit un projectile (venant de la droite de l’image) arriver en tir tendu et rebondir sur le pompier, qui s’écroule et perd conscience avant de se rasseoir lentement quelques secondes plus tard.


Un pompier grimpe sur le canon à eau. Tir de LBD.#PompiersEnColere #manifestation
Vidéo intégrée


Contacté par CheckNews, Brice Ivanovic raconte que «le pompier est monté sur la barricade, un collègue lui passe un fumigène et puis il se prend le tir de LBD». Dans un premier temps, le journaliste a cru que le pompier s’était pris le tir dans le dos. Mais un visionnage de ses images en haute définition et au ralenti montre que le projectile rebondit bien au niveau de sa tempe. Une séquence de l’évacuation fournie par Brice Ivanovic à CheckNews montre d’ailleurs le pompier se tenir la tête.

Le journaliste Charles Baudry a lui aussi filmé la scène. Il confirme à CheckNews avoir vu le tir dans la tête.

La séquence a aussi été filmée par BFM TV, depuis un autre angle. On y voit les pompiers tenter de forcer les barricades antiémeutes puis l’un d’entre eux, avec un sac en bandoulière turquoise, escalader la barricade et grimper sur le camion à eau. Il s’y assied sous les vivats de ses camarades, et l’un d’entre eux lui passe un fumigène. On le voit soudainement s’effondrer puis reprendre conscience, faire un signe en mettant ses bras en croix et redescendre lui-même du camion. Il est ensuite évacué, à pied, par ses camarades.



https://www.liberation.fr/checknews...JGn8BkBZr44Py23D8TBM4pPUMk#Echobox=1580238076


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Le service de réanimation entame une grève illimitée

Une semaine après avoir déposé un préavis de grève auprès de la direction du Chiva, les agents paramédicaux du service de réanimation sont passés depuis hier à la vitesse supérieure.
En grève, mais en poste. Après avoir déposé un préavis de grève illimité vendredi dernier, l’équipe paramédicale du service de réanimation du Chiva (42 infirmiers et aides soignants) est passée à l’action. Hier, le personnel en service minimum est donc entré dans une grève illimitée, après l’avoir fait savoir à l’entrée de l’hôpital.

Jusqu’à (avant) hier minuit, la direction avait l’obligation de réunir les salariés en grève avec l’organisation syndicale, mais elle n’a formulé aucune invitation pour négocier avec les agents. Cela démontre le peu de respect que l’on nous accorde", réprouve Virginie Fachon, infirmière et secrétaire générale de la CGT-Chiva.

S’estimant surchargés, les agents dénoncent de façon générale "des conditions dégradées qui aboutissent à la mise en danger des usagers", et expriment plusieurs revendications : la fin des autoremplacements, un planning régulier respectant la réglementation des 35 heures, le remplacement d’un matériel vieillissant ou encore le recrutement rapide de quatre professionnels formés aux spécificités d’un tel service.
"Le service de réanimation tourne en sous-effectif grâce aux agents qui acceptent de revenir travailler sur leur temps de repos, au bon vouloir des cadres. On nous enlève du personnel qui n’est pas remplacé, des temps partiels ne sont pas respectés et, depuis peu, des certains travaillent en alternance de jour et de nuit. La direction met aussi en œuvre des directives pour faire disparaître des congés annuels ou des RTT et on se retrouve avec des agents qui effectuent des heures gratuites", dénonce encore la responsable syndicale.
Un rythme de travail et un planning jugés "anarchiques", qui n’engendre cependant pas un taux d’absentéisme si élevé.
"Il y en a, mais pas tant que ça. Par professionnalisme, les agents reviennent pour ne pas laisser en plan les collègues en difficulté ou ceux qui ont besoin de soins. On se serre les coudes, mais il ne faut plus tirer sur la corde. Si on se met en grève, ce n’est pas sans raison", alerte une infirmière de nuit du service.

La direction du Chiva répond
"Le Chiva attache le plus grand prix à son service de réanimation, qui est le seul de l’Ariège. Les normes d’encadrement de personnel sont scrupuleusement respectées et nous démentons les informations erronées qui circulent à ce sujet", réplique Jean-Marc Viguier, directeur de l’établissement. Avant de poursuivre : "Nous nous attachons à renforcer la formation du pool des agents de remplacement et, bien sûr, au renouvellement régulier du matériel, sur lequel nous éprouvons des difficultés en raison de notre situation financière détériorée. De ce point de vue, l’abondement récent par l’État d’une enveloppe financière destinée à l’équipement courant de l’hôpital est une bonne nouvelle ; nous allons bien sûr l’utiliser en direction des nécessités les plus fortes (qui ne concernent pas seulement la réanimation bien entendu)."

https://www.ladepeche.fr/2020/01/31...IpAXf4JI4qHidf1n36TZ38QVM6a8mS6F3X1vWSkNrjSNI
 

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Réforme des retraites : Premier round à l’Assemblée, bataille d’amendements en vue

DEPUTES L’examen de la vaste réforme des retraites, article par article, démarre ce lundi après-midi en commission à l’Assemblée nationale, sous une rafale d’amendements des oppositions

Un gros pavé pour commencer la semaine. L’examen de la réforme des retraites commence ce lundi, à l’Assemblée nationale. Quelque 22.000 amendements – un record sous cette législature – ont été déposés sur ce projet contesté visant à créer un « système universel » de retraite par points.

De quoi gripper les travaux de la commission spéciale de 71 députés, qui risque de ne pas parvenir à achever l’examen des 65 articles du projet de loi ordinaire et les cinq du projet de loi organique, avant leur arrivée dans l’hémicycle le 17 février.

19.000 rien que pour les Insoumis

Les 17 Insoumis, qui assument « l’obstruction » selon leur chef de file Jean-Luc Mélenchon, en ont déposé à eux seuls environ 19.000. « C’est du ZADisme législatif », tance le co-rapporteur Olivier Véran. Cela vire à « l’absurdité », selon le ministre des Relations avec le Parlement Marc Fesneau, qui pointe des amendements LFI supprimant chaque alinéa, y compris sur minima de pension ou pénibilité.......................

 

Drianke

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Réforme des retraites : à quoi s'attendre pour la grève du 6 février ?

eux mois après les débuts du mouvement de protestation contre la réforme des retraites, une nouvelle journée de mobilisation est prévue jeudi 6 février. L'intersyndicale appelle "à interpeller les parlementaires" alors que le projet de loi est actuellement examiné en commission à l'Assemblée nationale.

Le 26 janvier, le Conseil d'État a rendu un avis sévère concernant la réforme prévue par le gouvernement. Au-delà du fait que l'institution regrette de ne pas avoir eu le temps de "garantir la sécurité juridique" du texte, elle déplore les "projections financières lacunaires" du gouvernement et un recours aux ordonnances qui "fait perdre la visibilité d'ensemble". Un avis dont l'exécutif ne semble pas avoir tenu compte, poursuivant son calendrier législatif.

Depuis lundi 3 février, le texte de loi est ainsi examiné en commission par les députés : plus de 22.000 amendements et une motion de censure ont déjà été déposés. En parallèle, à la suite du retrait de l'âge pivot du texte de loi, une conférence de financement de la réforme s'est ouverte le 3 février. La CFDT, à l'origine de cette proposition, a depuis appelé à suspendre le mouvement de protestation et, comme l'UNSA (autre syndicat réformiste), elle ne fait pas partie des signataires de l'appel à la mobilisation pour la journée du 6 février.

Des manifestations prévues

Le 29 janvier, date de la dernière journée d'appel à la mobilisation, 108.000 manifestants avaient défilé selon le Ministère de l'Intérieur, soit près de quatre fois moins que le 5 décembre, journée qui avait lancé le mouvement. .....


 

Drianke

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Témoignage " à Marseille nous sommes en grève depuis début décembre. Les carsat disparaîtraient pas en 2022 mais en décembre 2020. Le démantèlement de la sécurité sociale a bien commencé ils pensent aux urssaf gérées par les impôts et donc plus de caisse collecteur et distributeur des cotisations sociales cela veut dire plus de Caf ni de cpam (assurance-maladie )."

En marge de la nouvelle manifestation contre les retraites, 200 à 300 salariés de la Carsat ont débrayé aujourd'hui à Orléans. Avec la réforme des retraites, ils redoutent la disparation de l'organisme qui gère et paye les retraites. La Carsat emploie 750 personnes dans le Centre Val de Loir...






Réforme des retraites : les salariés de la CARSAT sont eux aussi inquiets

En marge de la nouvelle manifestation contre les retraites, 200 à 300 salariés de la Carsat ont débrayé aujourd'hui à Orléans. Avec la réforme des retraites, ils redoutent la disparation de l'organisme qui gère et paye les retraites. La Carsat emploie 750 personnes dans le Centre Val de Loir...
https://www.francebleu.fr/infos/soc...bHmQFJmScypBcG3npHPTxGxu-YBMiyBU0BC7wRhZoAlHU
 

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Reforme des retraites: Les avocats votent la poursuite de leur mouvement

SOCIAL Vent debout contre le projet de réforme qui prévoit, selon eux, de doubler leurs cotisations retraite, les avocats manifestent depuis le 6 janvier

 

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Réforme des retraites : 140 personnalités signent une tribune pour demander un référendum

Ils sont responsables associatifs et politiques, sociologues, avocats ou comédiens, et signent cette tribune dans « L’Humanité ».

« Monsieur le président, soumettez au référendum votre réforme des retraites ». L’appel adressé à Emmanuel Macron fait la « une » du quotidien L’Humanité, lundi 10 février. Plus de 140 responsables associatifs et politiques de gauche, sociologues, syndicalistes, avocats, mais aussi des comédiens et réalisateurs signent une tribune réclamant un référendum sur le retrait de la réforme des retraites.

Le « niveau de défiance » à l’égard de cette réforme, avec « plus de deux mois de mobilisation » et « une majorité de Français qui demandent toujours le retrait », « pose un problème démocratique majeur », estiment les signataires. Parmi eux, les grandes figures de la gauche sont réunies pour l’occasion : les signatures du chef de file de La France insoumise (LFI) Jean-Luc Mélenchon, le secrétaire national d’Europe Ecologie-les Verts (EELV), Julien Bayou, et le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, se côtoient dans les pages du journal fondé par Jean Jaurès.....

https://www.lemonde.fr/politique/ar...ur-demander-un-referendum_6029057_823448.html
 

Drianke

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🛑🛑🛑LA CONFÉRENCE DE PRESSE DES AVOCATES DES LYCÉENS FRANCILIENS AUSSI SUR FRANCE INFO 🛑🛑🛑
Lycéens en garde à vue à Paris : les avocates réclament des explications au procureur sur les irrégularités de la procédure
Après les gardes à vue de plusieurs lycéens parisiens, en marge des manifestations contre la réforme du baccalauréat, trois avocates vouloir écrire au procureur pour demander des explications sur les irrégularités. Les familles dénoncent des humiliations.
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Après les gardes à vue de plusieurs lycéens parisiens, en marge des manifestations contre la réforme du baccalauréat, trois avocates annoncent vouloir écrire au procureur pour demander des explications sur les irrégularités. Les familles dénoncent des humiliations.


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Lycéens en garde à vue à Paris : les avocates réclament des explications au procureur sur les irrégularités de la procédure

Après les gardes à vue de plusieurs lycéens parisiens, en marge des manifestations contre la réforme du baccalauréat, trois avocates annoncent vouloir écrire au procureur pour demander des explications sur les irrégularités. Les familles dénoncent des humiliations.
 
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