HPS décroche un important marché en France

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Le groupe HPS renforce son activité à l'international. L'entreprise spécialisée dans les solutions monétiques vient de signer une convention avec le Cedicam en France. Il s'agit d'un groupement d'intérêt économique (GIE), filiale du groupe Crédit Agricole France. Une plateforme technique traitant l'ensemble des flux monétiques pour le compte de 39 caisses régionales du Crédit Agricole, du Crédit Lyonnais ainsi que trois banques à l'international (Grèce, Italie et Pologne).

En termes de volume, le Cedicam a traité, en 2010, plus de 1,44 milliards de demandes d'autorisation. Ce qui représente près de 35% de parts de marché en France et fait du Cedicam, le numéro 1 de l'activité d'acquisition des commerçants en France. C'est en août 2010 que le Cedicam avait passé commande pour la solution PowerCard de HPS pour remplacer la solution qui était installée au niveau de ses caisses régionales. Le contrat vient d'être signé entre Mohamed Horani, président du groupe HPS et Bernard Noe!, DG du Cedicam. «D'un montant de 5,3 millions d'euros, le projet consiste en une refonte globale de toute l'activité back-office commerçants et automates du Cedicam, qui à terme, pourra disposer d'une plateforme d'acquisition la plus aboutie de toutes les grandes banques européennes», explique Horani. Après la réception de la commande, le groupe HPS a procédé au benchmark de la solution PowerCard dans les laboratoires d'IBM à Montpellier. Une étape importante avant la livraison du produit fini. « Des tests de performance ont été effectués pour qualifier la, robustesse et les capacités de notre solution quant à la gestion des gros volumes. Les résultats ont été probants», ajoute-t-on auprès de HPS Group.

La solution s'est révélée en mesure de gérer 350.000 commerçants avec 3.000 utilisateurs simultanés et un pic on-line de 250 transactions par seconde. Autre performance de la solution, des traitements batch de 6 millions de transactions par heure et un historique de 6 mois, soit un total de 1,2 milliard de transactions. « La qualité de ces résultats a conforté le choix de la solution PowerCard par le Cedicam, une plateforme reconnue parmi les meilleures solutions de paiement électronique au monde par le Gartner, leader américain dans le domaine des études IT », poursuit Horani. Après la phase tests, des workshops ont été organisés avec l'ensemble des acteurs du Cedicam. L'objectif était de définir leurs besoins métiers ainsi que les meilleures solutions pour y répondre. «Cette importante étape a été clôturée avec succès et célébrée lors de la cérémonie qui a eu lieu le 26 mai pour sceller le partenariat entre le Cedicam et HPS Group», conclut le président du groupe HPS.
Aujourd'hui, le spécialiste marocain de la monétique démarre la phase d'intégration de la solution au niveau du système d'information du Cedicam et la reprise de l'ensemble de l'activité back-office commerçant sur la plateforme PowerCard.

L'Economiste
 
Le groupe HPS renforce son activité à l'international. L'entreprise spécialisée dans les solutions monétiques vient de signer une convention avec le Cedicam en France. Il s'agit d'un groupement d'intérêt économique (GIE), filiale du groupe Crédit Agricole France. Une plateforme technique traitant l'ensemble des flux monétiques pour le compte de 39 caisses régionales du Crédit Agricole, du Crédit Lyonnais ainsi que trois banques à l'international (Grèce, Italie et Pologne).

En termes de volume, le Cedicam a traité, en 2010, plus de 1,44 milliards de demandes d'autorisation. Ce qui représente près de 35% de parts de marché en France et fait du Cedicam, le numéro 1 de l'activité d'acquisition des commerçants en France. C'est en août 2010 que le Cedicam avait passé commande pour la solution PowerCard de HPS pour remplacer la solution qui était installée au niveau de ses caisses régionales. Le contrat vient d'être signé entre Mohamed Horani, président du groupe HPS et Bernard Noe!, DG du Cedicam. «D'un montant de 5,3 millions d'euros, le projet consiste en une refonte globale de toute l'activité back-office commerçants et automates du Cedicam, qui à terme, pourra disposer d'une plateforme d'acquisition la plus aboutie de toutes les grandes banques européennes», explique Horani. Après la réception de la commande, le groupe HPS a procédé au benchmark de la solution PowerCard dans les laboratoires d'IBM à Montpellier. Une étape importante avant la livraison du produit fini. « Des tests de performance ont été effectués pour qualifier la, robustesse et les capacités de notre solution quant à la gestion des gros volumes. Les résultats ont été probants», ajoute-t-on auprès de HPS Group.

La solution s'est révélée en mesure de gérer 350.000 commerçants avec 3.000 utilisateurs simultanés et un pic on-line de 250 transactions par seconde. Autre performance de la solution, des traitements batch de 6 millions de transactions par heure et un historique de 6 mois, soit un total de 1,2 milliard de transactions. « La qualité de ces résultats a conforté le choix de la solution PowerCard par le Cedicam, une plateforme reconnue parmi les meilleures solutions de paiement électronique au monde par le Gartner, leader américain dans le domaine des études IT », poursuit Horani. Après la phase tests, des workshops ont été organisés avec l'ensemble des acteurs du Cedicam. L'objectif était de définir leurs besoins métiers ainsi que les meilleures solutions pour y répondre. «Cette importante étape a été clôturée avec succès et célébrée lors de la cérémonie qui a eu lieu le 26 mai pour sceller le partenariat entre le Cedicam et HPS Group», conclut le président du groupe HPS.
Aujourd'hui, le spécialiste marocain de la monétique démarre la phase d'intégration de la solution au niveau du système d'information du Cedicam et la reprise de l'ensemble de l'activité back-office commerçant sur la plateforme PowerCard.

L'Economiste

HPS est l'exemple de l'entreprise marocaine technologique par excellence, contrairement aux projets d'offshoring à très faible valeur ajoutée et aux centres d'appels de ***** dont le makhzen fait la promotion et qui veut en faire des piliers de l'économie !
 
HPS est l'exemple de l'entreprise marocaine technologique par excellence, contrairement aux projets d'offshoring à très faible valeur ajoutée et aux centres d'appels de ***** dont le makhzen fait la promotion et qui veut en faire des piliers de l'économie !
L'offshoring ne concerne pas les seuls centres d'appel mais tout ce qui peut être externalisé ,faudra remercier le makhzen d'avoir mis en place des plates formes à même d'accueillir ces entreprises qu'importe le niveau de leurs valeurs ajoutée ,elles emploient énormément de gens et apportent un savoir faire au pays.
 
L'offshoring ne concerne pas les seuls centres d'appel mais tout ce qui peut être externalisé ,faudra remercier le makhzen d'avoir mis en place des plates formes à même d'accueillir ces entreprises qu'importe le niveau de leurs valeurs ajoutée ,elles emploient énormément de gens et apportent un savoir faire au pays.

Il n' y a pas de savoir faire apporté au pays cher ami. Atos, Logica, GFI,... font toute la conception en France. Au Maroc, il n' y a que du codage, il n' y a pas de valeur ajoutée technique ou fonctionnelle, le volet commercial des affaires est traité à 100% en France, les marocains ne font qu'exécuter.

Ce qui me fait encore plus mal, c'est que:
- Ces entreprises qui se font un max de thune sur le dos des jeunes marocains ne paient aucun impôt sur les sociétés
- Ces entreprises louent les locaux d'offshroing à 90 DH / m², tout compris
- Et surtout, quand je voie ces jeunes titulaires de masters en biologie, en mathématiques, en physique qui sont obligés de se reconvertir en informatique pour écrire du code dicté par un Bac+2 en France, et qui en plus les traite comme de la *****, j'ai envie de cracher sur les gueules des ministres du Makhzen: C'est ça la solution qu'ils ont trouvée pour résorber le chômage ?
 
Il n' y a pas de savoir faire apporté au pays cher ami. Atos, Logica, GFI,... font toute la conception en France. Au Maroc, il n' y a que du codage, il n' y a pas de valeur ajoutée technique ou fonctionnelle, le volet commercial des affaires est traité à 100% en France, les marocains ne font qu'exécuter.

Ce qui me fait encore plus mal, c'est que:
- Ces entreprises qui se font un max de thune sur le dos des jeunes marocains ne paient aucun impôt sur les sociétés
- Ces entreprises louent les locaux d'offshroing à 90 DH / m², tout compris
- Et surtout, quand je voie ces jeunes titulaires de masters en biologie, en mathématiques, en physique qui sont obligés de se reconvertir en informatique pour écrire du code dicté par un Bac+2 en France, et qui en plus les traite comme de la *****, j'ai envie de cracher sur les gueules des ministres du Makhzen: C'est ça la solution qu'ils ont trouvée pour résorber le chômage ?
Tu te trompes, et lourdement. Et je pèse mes mots.

il y a la TMA et l'infogérance... entre autres.

Des ingénieurs lauréats des écoles d’ingénieurs marocaines sont recrutés pour l'essentiel et à tour de bras.


HPS se trouve à CasaNearShore.
 
Le groupe HPS renforce son activité à l'international. L'entreprise spécialisée dans les solutions monétiques vient de signer une convention avec le Cedicam en France. Il s'agit d'un groupement d'intérêt économique (GIE), filiale du groupe Crédit Agricole France. Une plateforme technique traitant l'ensemble des flux monétiques pour le compte de 39 caisses régionales du Crédit Agricole, du Crédit Lyonnais ainsi que trois banques à l'international (Grèce, Italie et Pologne).

En termes de volume, le Cedicam a traité, en 2010, plus de 1,44 milliards de demandes d'autorisation. Ce qui représente près de 35% de parts de marché en France et fait du Cedicam, le numéro 1 de l'activité d'acquisition des commerçants en France. C'est en août 2010 que le Cedicam avait passé commande pour la solution PowerCard de HPS pour remplacer la solution qui était installée au niveau de ses caisses régionales. Le contrat vient d'être signé entre Mohamed Horani, président du groupe HPS et Bernard Noe!, DG du Cedicam. «D'un montant de 5,3 millions d'euros, le projet consiste en une refonte globale de toute l'activité back-office commerçants et automates du Cedicam, qui à terme, pourra disposer d'une plateforme d'acquisition la plus aboutie de toutes les grandes banques européennes», explique Horani. Après la réception de la commande, le groupe HPS a procédé au benchmark de la solution PowerCard dans les laboratoires d'IBM à Montpellier. Une étape importante avant la livraison du produit fini. « Des tests de performance ont été effectués pour qualifier la, robustesse et les capacités de notre solution quant à la gestion des gros volumes. Les résultats ont été probants», ajoute-t-on auprès de HPS Group.

La solution s'est révélée en mesure de gérer 350.000 commerçants avec 3.000 utilisateurs simultanés et un pic on-line de 250 transactions par seconde. Autre performance de la solution, des traitements batch de 6 millions de transactions par heure et un historique de 6 mois, soit un total de 1,2 milliard de transactions. « La qualité de ces résultats a conforté le choix de la solution PowerCard par le Cedicam, une plateforme reconnue parmi les meilleures solutions de paiement électronique au monde par le Gartner, leader américain dans le domaine des études IT », poursuit Horani. Après la phase tests, des workshops ont été organisés avec l'ensemble des acteurs du Cedicam. L'objectif était de définir leurs besoins métiers ainsi que les meilleures solutions pour y répondre. «Cette importante étape a été clôturée avec succès et célébrée lors de la cérémonie qui a eu lieu le 26 mai pour sceller le partenariat entre le Cedicam et HPS Group», conclut le président du groupe HPS.
Aujourd'hui, le spécialiste marocain de la monétique démarre la phase d'intégration de la solution au niveau du système d'information du Cedicam et la reprise de l'ensemble de l'activité back-office commerçant sur la plateforme PowerCard.

L'Economiste

Ce qui est marrant, c'est l'information importante n'est pas de dans cet article bidon...
Un contrat de combien bon sang!!!!
Combien de millions...
 
Ce qui est marrant, c'est l'information importante n'est pas de dans cet article bidon...
Un contrat de combien bon sang!!!!
Combien de millions...
t'as apparemment pas aimé..

tu préfères un article susceptible de faire couler le sang... genre les "millions" de manifestants du 20 fevrier.

Relis l'article a tête reposée, ou change de lunettes, le chiffre y est bien.
 
Il n' y a pas de savoir faire apporté au pays cher ami. Atos, Logica, GFI,... font toute la conception en France. Au Maroc, il n' y a que du codage, il n' y a pas de valeur ajoutée technique ou fonctionnelle, le volet commercial des affaires est traité à 100% en France, les marocains ne font qu'exécuter.

Ce qui me fait encore plus mal, c'est que:
- Ces entreprises qui se font un max de thune sur le dos des jeunes marocains ne paient aucun impôt sur les sociétés
- Ces entreprises louent les locaux d'offshroing à 90 DH / m², tout compris
- Et surtout, quand je voie ces jeunes titulaires de masters en biologie, en mathématiques, en physique qui sont obligés de se reconvertir en informatique pour écrire du code dicté par un Bac+2 en France, et qui en plus les traite comme de la *****, j'ai envie de cracher sur les gueules des ministres du Makhzen: C'est ça la solution qu'ils ont trouvée pour résorber le chômage ?

Te rends-tu seulement compte de l'énormité de ce que tu viens d'écrire ?
 
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