Un point de vue moins optimiste:
" Faute de moyens, même les fameuses « missions » d'éducation ou de santé, qui emploient 40.000 médecins cubains dans les « barrios » (les quartiers difficiles), et qui ont permis d'alphabétiser des centaines de milliers d'adultes ayant abandonné l'école, sont en train de s'effondrer.
Quant à l'industrie, elle compte deux fois moins d'entreprises (6.000) qu'il y a quatorze ans. « Dans l'ensemble de l'économie, 170.000 entreprises ont fermé et le secteur informel emploie 45 % de la population active », souligne l'économiste José Todo Hardy. Des chiffres qui tendent à contredire le taux de chômage de seulement 7 % mis en avant par le régime.
Les exportations non pétrolières ont reculé en valeur absolue depuis 2007. Les haciendas aux terres pourtant fertiles, expropriées par l'Etat à hauteur de 3 millions d'hectares, sont à l'arrêt, au point qu'on parle désormais « d'agriculture portuaire » : la quasi-totalité des produits alimentaires est importée, tout comme 70 % de ce que consomme ce pays de 28 millions d'habitants. (...)
...le taux d'homicide aurait quadruplé en douze ans, pour être 70 fois supérieur à celui en vigueur en France."
Suite ici:
http://www.lesechos.fr/entreprises-...enezuela-le-grand-gachis-petrolier-370289.php
" Faute de moyens, même les fameuses « missions » d'éducation ou de santé, qui emploient 40.000 médecins cubains dans les « barrios » (les quartiers difficiles), et qui ont permis d'alphabétiser des centaines de milliers d'adultes ayant abandonné l'école, sont en train de s'effondrer.
Quant à l'industrie, elle compte deux fois moins d'entreprises (6.000) qu'il y a quatorze ans. « Dans l'ensemble de l'économie, 170.000 entreprises ont fermé et le secteur informel emploie 45 % de la population active », souligne l'économiste José Todo Hardy. Des chiffres qui tendent à contredire le taux de chômage de seulement 7 % mis en avant par le régime.
Les exportations non pétrolières ont reculé en valeur absolue depuis 2007. Les haciendas aux terres pourtant fertiles, expropriées par l'Etat à hauteur de 3 millions d'hectares, sont à l'arrêt, au point qu'on parle désormais « d'agriculture portuaire » : la quasi-totalité des produits alimentaires est importée, tout comme 70 % de ce que consomme ce pays de 28 millions d'habitants. (...)
...le taux d'homicide aurait quadruplé en douze ans, pour être 70 fois supérieur à celui en vigueur en France."
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