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Coronavirus : Les huiles essentielles, une solution pour prévenir ou diminuer le risque?
Les huiles essentielles pourraient favoriser la prévention du risque du coronavirus dans les lieux publics ou privés.
France-Soir
Des alternatives aux traitements dont on ne parle pas. Pourquoi ? Les huiles essentielles contiennent des composants chimiques qui favorisent la prévention du risque des virus dans les lieux publics ou privés.
La priorité est aux études médicales (Discover, Angers) sur une série de traitements dont l’hydroxychloroquine fait partie. Dans l’interview du Professeur Christian Perrone nous avons évoqué les protocoles de tests ainsi que les besoins d’adaptation de la vision de la médecine en temps de crise sanitaire. Des points d’interrogations subsistent sur le process de sélection ou pas du protocole du Professeur Didier Raoult, de la mise de la chloroquine sur la liste des substances vénéneuse en Janvier 2020 par la ministre Buzyn. Les grandes divergences et combats de chefs entre médecins sont apparues au grand jour. L’incertitude restant toujours de savoir comment traiter, en mode préventif ou curatif avec les traitements exposés. Peu de choses ont été écrites sur les autres traitements même si le président dans son discours d’hier a bien dit que l’on ferait tout pour trouver une solution.
Des pistes alternatives crédibles existent.
Dans le cadre d’alternatives nouvelles nous avons déjà évoqué différentes voies, dont l’éther éthylique inhalé comme hypothèse de traitement du COVID 19, proposé par un médecin généraliste de terrain et d’ephad confronté à la difficulté de soigner ses malades parfois avec les moyens du bord.
Un médecin anesthésiste à qui nous avons posé la question sur l’éther nous répondait :
De plus, pour des médecins généralistes de l’EST et de BELGIQUE, l’utilisation de l’Azithromycine en phase de toux, en détruisant une bactérie intestinale potentialisatrice du Coronavirus, pourrait réduire notablement le passage en détresse respiratoire aigüe, cause de décès.
Enfin, la différence de létalité entre les pays nordiques et sud Européens, aurait peut-être une part d’explication par une approche différente de l’hygiène (comportement) ainsi que l’usage des thermes et des saunas dans ces pays, l’air très chaud respiré pouvant atteindre le virus dans les voies aériennes.
Publié le 14/04/2020 à 15:42 - Mise à jour le 18/04/2020 à 20:06
Les huiles essentielles pourraient favoriser la prévention du risque du coronavirus dans les lieux publics ou privés.
France-Soir
Des alternatives aux traitements dont on ne parle pas. Pourquoi ? Les huiles essentielles contiennent des composants chimiques qui favorisent la prévention du risque des virus dans les lieux publics ou privés.
La priorité est aux études médicales (Discover, Angers) sur une série de traitements dont l’hydroxychloroquine fait partie. Dans l’interview du Professeur Christian Perrone nous avons évoqué les protocoles de tests ainsi que les besoins d’adaptation de la vision de la médecine en temps de crise sanitaire. Des points d’interrogations subsistent sur le process de sélection ou pas du protocole du Professeur Didier Raoult, de la mise de la chloroquine sur la liste des substances vénéneuse en Janvier 2020 par la ministre Buzyn. Les grandes divergences et combats de chefs entre médecins sont apparues au grand jour. L’incertitude restant toujours de savoir comment traiter, en mode préventif ou curatif avec les traitements exposés. Peu de choses ont été écrites sur les autres traitements même si le président dans son discours d’hier a bien dit que l’on ferait tout pour trouver une solution.
Des pistes alternatives crédibles existent.
Dans le cadre d’alternatives nouvelles nous avons déjà évoqué différentes voies, dont l’éther éthylique inhalé comme hypothèse de traitement du COVID 19, proposé par un médecin généraliste de terrain et d’ephad confronté à la difficulté de soigner ses malades parfois avec les moyens du bord.
Un médecin anesthésiste à qui nous avons posé la question sur l’éther nous répondait :
En continuant nos recherches, nous avons trouvé que cette hypothèse était déjà évoquée, peut-être expérimentée par un Médecin Chercheur américain le Dr Zhiyi Zuo du Department of Anesthesiology, University of Virginia Health System.« C’est effectivement une piste logique et intelligente puisque les anesthésiques halogénés pénètrent au cœur du poumon »
De plus, pour des médecins généralistes de l’EST et de BELGIQUE, l’utilisation de l’Azithromycine en phase de toux, en détruisant une bactérie intestinale potentialisatrice du Coronavirus, pourrait réduire notablement le passage en détresse respiratoire aigüe, cause de décès.
Enfin, la différence de létalité entre les pays nordiques et sud Européens, aurait peut-être une part d’explication par une approche différente de l’hygiène (comportement) ainsi que l’usage des thermes et des saunas dans ces pays, l’air très chaud respiré pouvant atteindre le virus dans les voies aériennes.