« il faut faire revenir les éducateurs de rue dans les quartiers »

Curios

VIB
Bladinaute averti
Faute d’adultes référents, les jeunes des cités n’ont plus affaire qu’à des caïds et à des policiers, estime l’anthropologue et éducateur Amar Henni. Les travailleurs sociaux doivent d’urgence intervenir hors de l’école pour les sortir de l’intégrisme ou de la délinquance.
Dans un contexte marqué par les attentats, les récents affrontements entre jeunes et policiers dans les banlieues françaises, l’agression de quatre fonctionnaires à Viry-Châtillon (Essonne) ont ranimé l’éternel débat sur les mythes des « zones de non-droit ». Cependant, parler de « ghettoïsation » n’est pas approprié. La question centrale est celle de l’éducation, et nous devons réinvestir cette question éducative, pas seulement dans le cadre scolaire, mais aussi en dehors de l’école avec des professionnels.
Il existe chez certains jeunes ce que j’appelle une « banalisation de la mort », apparue dans le milieu des années 1980. La désindustrialisation et l’intrusion de l’héroïne dans les quartiers ont fait des ravages. Ce sont des milliers de décès qui ont été passés sous silence ; ils n’ont pas compté comme des enfants d’ouvriers mais comme des « toxicos » ou des voyous.
Dès lors que la drogue avait envahi les quartiers populaires, des « vocations » de trafiquants se sont multipliées. Et avec elles, des mécanismes propres à la délinquance se sont imposés. Des jeunes pouvaient avoir grandi dans le même quartier, avoir les mêmes origines sociales et s’entretuer pour défendre leur « réputation ». Ainsi, le meurtre s’est banalisé. La mort ne relevait plus du sacré. La liste de jeunes tués par des forces de l’ordre, par des gardiens d’immeuble, par des agents de sécurité ou par d’autres jeunes pour un regard, une futilité venaient conforter un « imaginaire » où tuer ou se faire tuer devenait banal. Nous sommes même passés d’une « banalisation de la mort »...

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Fadwa2016

Roudania
Il faut allée faire le constat dans d'autres Pays développé
prenons l'exemple des USA
comment le gang le plus dangereux a pu prendre racine dans les quartier populaire et ghetto MS13 et MS18
en s'approchant des plus jeune
Et les initiés à la vente de drogue et même aux liquidations d'autres jeunes
la Banlieux Française finira dans la bain de sang,violence et les règlement de compte
aller à Marseilles c'est déjà le cas
il faut de la prévention et l'assistance d'associative pour intégrer les jeune de quartier sensibles.
LA présence de policier qui sont là aussi pour la sécurité de la population de quartier
 
Non pourquoi ressortir les grands frères
Beaucoup d’éducateurs ne foutent rein et profitent des sorties et animations
Une Mjc reflète l'image de la municipalité et je ne pense vraiment pas que l’Éducateur éradiqueras la violence la drogue et le reste
Il faut autres choses on parle de mal vivre et on se rend compte que beaucoup des cités sont devenues flambant neuves
Je pense qu le seul éducateur possible c'est la base les Parents .
 
Encore un délire d'un pseudo scientifique , un" anthropologue "qui prétend disséquer l'arbi , comme le faisait les siens durant la colonisation. Il ne nous a pas donné les mensurations des crânes des populations étudiées mais affirme que des éducateurs- pour remplacer le rôle des parents peut lutter contre l'intégrisme et la délinquance. C'est une insulte à nos chibanis et leurs valeurs. Une inquiétante méconnaissance de l'Islam et se son vécu
 
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