Difkoum
Anti sioniste et khawa khawa.
(épisode 4 / un article de Abderrazzak Boussaid)
Mona Eltahawy منى الطحاوى, née le 1er août 1967 (52 ans) à Port-Saïd en Égypte, est une journaliste, écrivaine ("Foulards et hymens" ), militante féministe, activiste et commentatrice freelance égypto-américaine basée au Caire et à New York.
Elle a acquis la citoyenneté américaine en 2011 après avoir été violée et eu ses deux bras cassés à place Tahrir alors qu'elle couvrait les événements de la révolution égyptienne.
Elle a écrit des essais et des éditoriaux pour les publications dans le monde entier sur l'Égypte et le monde islamique, y compris les problèmes des femmes et les affaires politiques et sociales. Son travail est paru notamment dans le Washington Post, The New York Times, Christian Science Monitor et le Miami Herald.
Elle a aussi été analyste, souvent invitée à la radio et à la télévision et a également parlé publiquement dans des universités, des tables rondes et des rencontres interreligieuses sur les droits humains et la réforme du monde islamique, le féminisme et les relations islamo-chrétiennes.
Elle parle au nom des droits des femmes dans le monde arabe et s'oppose aux mutilations génitales féminines.
Dans son premier livre contre la misogynie dans le monde arabe "Foulards et hymens" , dont voici un extrait :
( ...Nous, les femmes arabes, vivons dans une culture qui nous est fondamentalement hostile. Dire la difficulté de vivre dans une société patriarcale qui diabolise la femme, la cache, la rejette. Dire la situation de ces femmes forcées de porter le hijab et le niqab, embarquées en pleine rue pour un " test de virginité ", battues, violées, excisées, mutilées. Dire que si le monde arabe hait ses femmes, c'est parce qu'il les craint. Qu'il craint ce qui se trouve sous le voile, le nie, piétine son existence, sous prétexte de mieux le préserver. Parler pour libérer la parole féminine. Car l'acte le plus subversif qu'une femme puisse commettre est de parler de sa vie comme si elle importait réellement...)
Elle dit pourquoi le Moyen-Orient doit faire sa révolution sexuelle ! Elle y dénonce « un mélange toxique de culture et de religion » et en particulier la diffusion de son interprétation ultraconservatrice venue d'Arabie saoudite.
Mona Eltahawy منى الطحاوى, née le 1er août 1967 (52 ans) à Port-Saïd en Égypte, est une journaliste, écrivaine ("Foulards et hymens" ), militante féministe, activiste et commentatrice freelance égypto-américaine basée au Caire et à New York.
Elle a acquis la citoyenneté américaine en 2011 après avoir été violée et eu ses deux bras cassés à place Tahrir alors qu'elle couvrait les événements de la révolution égyptienne.
Elle a écrit des essais et des éditoriaux pour les publications dans le monde entier sur l'Égypte et le monde islamique, y compris les problèmes des femmes et les affaires politiques et sociales. Son travail est paru notamment dans le Washington Post, The New York Times, Christian Science Monitor et le Miami Herald.
Elle a aussi été analyste, souvent invitée à la radio et à la télévision et a également parlé publiquement dans des universités, des tables rondes et des rencontres interreligieuses sur les droits humains et la réforme du monde islamique, le féminisme et les relations islamo-chrétiennes.
Elle parle au nom des droits des femmes dans le monde arabe et s'oppose aux mutilations génitales féminines.
Dans son premier livre contre la misogynie dans le monde arabe "Foulards et hymens" , dont voici un extrait :
( ...Nous, les femmes arabes, vivons dans une culture qui nous est fondamentalement hostile. Dire la difficulté de vivre dans une société patriarcale qui diabolise la femme, la cache, la rejette. Dire la situation de ces femmes forcées de porter le hijab et le niqab, embarquées en pleine rue pour un " test de virginité ", battues, violées, excisées, mutilées. Dire que si le monde arabe hait ses femmes, c'est parce qu'il les craint. Qu'il craint ce qui se trouve sous le voile, le nie, piétine son existence, sous prétexte de mieux le préserver. Parler pour libérer la parole féminine. Car l'acte le plus subversif qu'une femme puisse commettre est de parler de sa vie comme si elle importait réellement...)
Elle dit pourquoi le Moyen-Orient doit faire sa révolution sexuelle ! Elle y dénonce « un mélange toxique de culture et de religion » et en particulier la diffusion de son interprétation ultraconservatrice venue d'Arabie saoudite.