Sous le beau titre « Ce que la Palestine apporte au monde », l’Institut du monde arabe (IMA) se donne pour ambition de mettre en lumière la Palestine dans toute sa beauté artistique, poétique et culturelle.

« La troisième livraison d’Araborama – une collection lancée par l’IMA et le Seuil pour décrypter la complexité et l’inventivité du monde arabe – s’attache à définir la Palestine : son peuple, ses frontières, son histoire, sa réalité hors du prisme du conflit. Son titre, Ce que la Palestine apporte au monde, est complété par « ce qu’elle donne à voir et à entendre » avec les expositions que l’Institut présente de mai à novembre 2023. Ces expositions ambitionnent de rendre palpables et concrètes la vitalité et la créativité d’une société sous le joug de l’occupation, et de rendre sensible la résistance de la vie dans ce temps suspendu qui se poursuit. Le propos n’est pas de « documenter » la réalité de l’existence palestinienne mais de considérer comment les plasticiens palestiniens et arabes l’ont dépassée, rencontrant ainsi les interrogations de tout artiste en train de créer. »
Elias Sambar, commissaire de l’exposition

LES PALESTINIENS ET LES PALESTINIENNES EN LEURS MUSÉES
Niveaux -1 et -2 de l’Institut
Commissariat : Elias Sanbar, Marion Slitine, Eric Delpont
Depuis 2016, l’IMA abrite en ses murs la collection du futur Musée national d’art moderne et contemporain de la Palestine qui devrait voir le jour à Jérusalem Est. Elias Sanbar, écrivain et ancien ambassadeur de la Palestine auprès de l’UNESCO, est à l’origine de ce projet de musée coordonné par l’artiste Ernest Pignon Ernest.
De l’art informel à l’hyperréalisme, l’ensemble est composé de 400 œuvres issues de dons d’artistes des cinq continents à qui il a été demandé de choisir ce qu’ils souhaitent donner à voir aux Palestiniens. Cette « collection solidaire » réunit des questionnements communs aux artistes et à leur futur public : que veut dire être humain, dans son corps et son identité, et que signifie vivre, pour soi et avec ou parmi les autres ?
L’exposition « Les Palestiniens et les Palestiniennes en leurs musées » mettra en lumière les correspondances entre une sélection d’œuvres issues des collections du futur Musée d’art moderne et contemporain de la Palestine et des collections du Musée de l’IMA. Les rencontres, les échos et les parallèles parfois inattendus qui en émanent invitent par le regard à imaginer la Palestine de demain.
Au sein de cet accrochage, le projet Sahab (« nuage » en arabe) interroge quant à lui la façon de traiter le passé, d’agir dans le présent et d’imaginer un futur en Palestine. Ce projet est porté par le collectif Hawaf (« marges » en arabe), initié par les trois artistes visuels Mohamed Abusal à Gaza, Mohamed Bourouissa à Paris et Salman Nawati en Suède, ainsi que l’architecte Sondos EL-Nakhala à Gaza.
Un espace sera dédié à Mahmoud Darwich, figure majeure de la poésie palestinienne dont l’œuvre a influencé de nombreux créateurs du monde arabe. Ces textes seront mis en regard avec les œuvres de l’artiste algérien Rachid Koraïchi...................
mondafrique.com

« La troisième livraison d’Araborama – une collection lancée par l’IMA et le Seuil pour décrypter la complexité et l’inventivité du monde arabe – s’attache à définir la Palestine : son peuple, ses frontières, son histoire, sa réalité hors du prisme du conflit. Son titre, Ce que la Palestine apporte au monde, est complété par « ce qu’elle donne à voir et à entendre » avec les expositions que l’Institut présente de mai à novembre 2023. Ces expositions ambitionnent de rendre palpables et concrètes la vitalité et la créativité d’une société sous le joug de l’occupation, et de rendre sensible la résistance de la vie dans ce temps suspendu qui se poursuit. Le propos n’est pas de « documenter » la réalité de l’existence palestinienne mais de considérer comment les plasticiens palestiniens et arabes l’ont dépassée, rencontrant ainsi les interrogations de tout artiste en train de créer. »
Elias Sambar, commissaire de l’exposition

LES PALESTINIENS ET LES PALESTINIENNES EN LEURS MUSÉES
Niveaux -1 et -2 de l’Institut
Commissariat : Elias Sanbar, Marion Slitine, Eric Delpont
Depuis 2016, l’IMA abrite en ses murs la collection du futur Musée national d’art moderne et contemporain de la Palestine qui devrait voir le jour à Jérusalem Est. Elias Sanbar, écrivain et ancien ambassadeur de la Palestine auprès de l’UNESCO, est à l’origine de ce projet de musée coordonné par l’artiste Ernest Pignon Ernest.
De l’art informel à l’hyperréalisme, l’ensemble est composé de 400 œuvres issues de dons d’artistes des cinq continents à qui il a été demandé de choisir ce qu’ils souhaitent donner à voir aux Palestiniens. Cette « collection solidaire » réunit des questionnements communs aux artistes et à leur futur public : que veut dire être humain, dans son corps et son identité, et que signifie vivre, pour soi et avec ou parmi les autres ?
L’exposition « Les Palestiniens et les Palestiniennes en leurs musées » mettra en lumière les correspondances entre une sélection d’œuvres issues des collections du futur Musée d’art moderne et contemporain de la Palestine et des collections du Musée de l’IMA. Les rencontres, les échos et les parallèles parfois inattendus qui en émanent invitent par le regard à imaginer la Palestine de demain.
Au sein de cet accrochage, le projet Sahab (« nuage » en arabe) interroge quant à lui la façon de traiter le passé, d’agir dans le présent et d’imaginer un futur en Palestine. Ce projet est porté par le collectif Hawaf (« marges » en arabe), initié par les trois artistes visuels Mohamed Abusal à Gaza, Mohamed Bourouissa à Paris et Salman Nawati en Suède, ainsi que l’architecte Sondos EL-Nakhala à Gaza.
Un espace sera dédié à Mahmoud Darwich, figure majeure de la poésie palestinienne dont l’œuvre a influencé de nombreux créateurs du monde arabe. Ces textes seront mis en regard avec les œuvres de l’artiste algérien Rachid Koraïchi...................

IMA, 90000 visiteurs pour l’exposition sur la Palestine
Sous le beau titre « Ce que la Palestine apporte au monde », l’Institut du monde arabe (IMA) se donne pour ambition de mettre en lumière la Palestine dans toute sa beauté artistique, poétique et culturelle. Jack Lang, président de l’Institut du monde arabe,décide de prolonger d’un mois et demi...
