Andgel777
Les Secrets du Bonheur =>dans les Livres
Le vieillissement de la population canadienne a poussé le système il y a quelques années à envisager une immigration de masse mais surtout très ciblée.
Qu’en est -il aujourd’hui ?
De façons réfléchies et en se servant des expériences vécues par les pays d'Europe dans les années 50, demandeur de migrants pour reconstruire des zones meurtries par les bombardements.
Le Québec va donc proposer son hospitalité à des gens qui n'ont pas forcément besoin d'immigrer mais à qui on va faire miroiter une ascension sociale fulgurante pour leurs enfants. Sans prendre en compte des facteurs essentiels comme les problèmes sociaux d'intégration, le déracinement, l'adaptation au climat faisant passer les migrants d’un extrême à l'autre.
Des pharmaciens, médecins où mêmes avocats ont succombé à la tentation pour ensuite se voir cantonner à des métiers moins prestigieux, l’équivalence n’étant pas prise en compte. À l'époque 8 immigrants par an pouvaient accéder au programme universitaire, en d’autres termes une forme d'escroquerie humaine avec soit-dit en passant la somme conséquente de 4700$ pour une inscription en fac de médecine.
La grande frustration d’une immigration marocaine dupée par certains pays voulant à n'importe quel prix pallier aux problèmes démographiques d'une population vieillissante.
Le Québec désirant faire mieux que les pays d'immigration d'après-guerre en exploitant la matière grise de pays comme le Maroc. Mais surtout en optant pour une immigration sélective recherchant ainsi des hommes et des femmes formés par leur propre pays, tout en sachant pertinemment qu'on ne proposera pas d'équivalence à ces gens-là, en matière de statut social.
Les immigrés Français l'avaient bien compris et pour beaucoup sont revenue après 5 ans d'expatriation.
Un taux de chômage élevé, suivi par conséquent d’un taux de divorce non négligeable.
Une population d’immigrés habituée à un climat doux et ensoleillé, une distance considérable rendant les trajets vers le Maroc plus compliqués. La fragilité des immigrants et la discrimination qu'ils subissent poussent certains dans l’ennui et la dépression. Beaucoup d’entre eux dépendant alors d'aides sociales.
Le Québec voulant rajeunir sa population avec des enfants qui seront bien éduqué et porteurs de valeurs par des parents faisant partie d’une catégorie sociale élevée.
Qu’en est -il aujourd’hui ?
De façons réfléchies et en se servant des expériences vécues par les pays d'Europe dans les années 50, demandeur de migrants pour reconstruire des zones meurtries par les bombardements.
Le Québec va donc proposer son hospitalité à des gens qui n'ont pas forcément besoin d'immigrer mais à qui on va faire miroiter une ascension sociale fulgurante pour leurs enfants. Sans prendre en compte des facteurs essentiels comme les problèmes sociaux d'intégration, le déracinement, l'adaptation au climat faisant passer les migrants d’un extrême à l'autre.
Des pharmaciens, médecins où mêmes avocats ont succombé à la tentation pour ensuite se voir cantonner à des métiers moins prestigieux, l’équivalence n’étant pas prise en compte. À l'époque 8 immigrants par an pouvaient accéder au programme universitaire, en d’autres termes une forme d'escroquerie humaine avec soit-dit en passant la somme conséquente de 4700$ pour une inscription en fac de médecine.
La grande frustration d’une immigration marocaine dupée par certains pays voulant à n'importe quel prix pallier aux problèmes démographiques d'une population vieillissante.
Le Québec désirant faire mieux que les pays d'immigration d'après-guerre en exploitant la matière grise de pays comme le Maroc. Mais surtout en optant pour une immigration sélective recherchant ainsi des hommes et des femmes formés par leur propre pays, tout en sachant pertinemment qu'on ne proposera pas d'équivalence à ces gens-là, en matière de statut social.
Les immigrés Français l'avaient bien compris et pour beaucoup sont revenue après 5 ans d'expatriation.
Un taux de chômage élevé, suivi par conséquent d’un taux de divorce non négligeable.
Une population d’immigrés habituée à un climat doux et ensoleillé, une distance considérable rendant les trajets vers le Maroc plus compliqués. La fragilité des immigrants et la discrimination qu'ils subissent poussent certains dans l’ennui et la dépression. Beaucoup d’entre eux dépendant alors d'aides sociales.
Le Québec voulant rajeunir sa population avec des enfants qui seront bien éduqué et porteurs de valeurs par des parents faisant partie d’une catégorie sociale élevée.
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