Une semaine après l’incendie qui a touché une partie des quartiers nord de la ville, des sinistrés remettent en question la stratégie de lutte contre les incendies. Le préfet, lui, « assume tous les choix ».
Comment un incendie dont le départ a été signalé trois heures plus tôt a-t-il pu ravager complètement ou rendre inhabitables plus de 70 logements dans la deuxième ville de France ? Une semaine après le feu qui, dans l’après-midi du mardi 8 juillet, a touché plusieurs quartiers de la limite nord de Marseille, la question alimente la colère de ceux qui ont vu leur maison et leurs biens partir en fumée. Ce jour-là, le mistral soufflait à plus de 80 kilomètres-heure et la végétation, garrigue et pinède, affichait un niveau de sécheresse exceptionnel, facilitant la propagation du sinistre. Mais les victimes des flammes en sont persuadées : quelque chose n’a pas fonctionné dans la gestion de la crise....
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Comment un incendie dont le départ a été signalé trois heures plus tôt a-t-il pu ravager complètement ou rendre inhabitables plus de 70 logements dans la deuxième ville de France ? Une semaine après le feu qui, dans l’après-midi du mardi 8 juillet, a touché plusieurs quartiers de la limite nord de Marseille, la question alimente la colère de ceux qui ont vu leur maison et leurs biens partir en fumée. Ce jour-là, le mistral soufflait à plus de 80 kilomètres-heure et la végétation, garrigue et pinède, affichait un niveau de sécheresse exceptionnel, facilitant la propagation du sinistre. Mais les victimes des flammes en sont persuadées : quelque chose n’a pas fonctionné dans la gestion de la crise....

Incendies à Marseille : à l’Estaque, la colère et les questions des victimes du feu
Une semaine après l’incendie qui a touché une partie des quartiers nord de la ville, des sinistrés remettent en question la stratégie de lutte contre les incendies. Le préfet, lui, « assume tous les choix ».


Incendie à Marseille: des délais d'intervention "trop tardifs"? Le préfet des Bouches-du-Rhône répond aux critiques
Le préfet des Bouches-du-Rhône a répondu dans un communiqué aux critiques sur le temps d'intervention des forces de secours et de sécurité sur l'incendie des Pennes-Mirabeau et de Marseille. Il assume ses décisions et rappelle qu'aucun mort ni blessé grave n'est à déplorer.