Une femme de 52 ans soignée pour un problème respiratoire au CHU de Rouen s'est retrouvée conduite manu militari vers un hôpital psychiatrique de la région ; elle affirme avoir été brutalisée quand elle a tenté de protester. Elle a déposé plainte.
Tous ses malheurs proviennent d'une toute bête erreur informatique... Une erreur lourde de conséquences pour une femme de 52 ans, qui affirme avoir été internée contre son gré et brutalisée par les ambulanciers quand elle a voulu protester.
Coumba Tall se trouvait au service des urgences du CHU de Rouen pour un problème respiratoire, le 29 juin dernier, quand l'incident s'est produit. "Elle attendait que ma soeur vienne la chercher lorsque deux ambulanciers l'ont appelée et lui ont ordonné de monter dans leur véhicule", a affirmé son fils Amadou Tall.
L'hôpital assume l'erreur, pas "le comportement brutal"
Comprenant une fois à bord qu'on ne la reconduisait pas chez elle, elle a protesté, ce qui lui a valu, assure-t-elle d'être insultée, plaquée au sol et immobilisée par une clé de bras. Ce n'est qu'une fois arrivée à l'hôpital psychiatrique que l'erreur a été reconnue. Elle a dû être hospitalisée au CHU à la suite du traumatisme subi.
Du côté du CHU, on reconnaît "une erreur" en invoquant un problème lié à la saisie informatique. L'établissement s'est dit prêt à "assumer" ses responsabilités tout en demandant de "faire la distinction entre l'erreur du CHU et le comportement brutal des ambulanciers", selon Rémi Heym, son responsable de la communication.
Coumba Tall a porté plainte après avoir été examinée par un médecin légiste qui a constaté les marques laissées par la brutalité des ambulanciers, selon son fils. La société des Ambulances de Bihorel qui l'a transportée a reconnu un "problème" ce jour-là et précisé que le chauffeur du véhicule avait depuis été mis à pied.
Tf1.fr
Meskina elle en a bavé pour rien, la pauvre....
Tous ses malheurs proviennent d'une toute bête erreur informatique... Une erreur lourde de conséquences pour une femme de 52 ans, qui affirme avoir été internée contre son gré et brutalisée par les ambulanciers quand elle a voulu protester.
Coumba Tall se trouvait au service des urgences du CHU de Rouen pour un problème respiratoire, le 29 juin dernier, quand l'incident s'est produit. "Elle attendait que ma soeur vienne la chercher lorsque deux ambulanciers l'ont appelée et lui ont ordonné de monter dans leur véhicule", a affirmé son fils Amadou Tall.
L'hôpital assume l'erreur, pas "le comportement brutal"
Comprenant une fois à bord qu'on ne la reconduisait pas chez elle, elle a protesté, ce qui lui a valu, assure-t-elle d'être insultée, plaquée au sol et immobilisée par une clé de bras. Ce n'est qu'une fois arrivée à l'hôpital psychiatrique que l'erreur a été reconnue. Elle a dû être hospitalisée au CHU à la suite du traumatisme subi.
Du côté du CHU, on reconnaît "une erreur" en invoquant un problème lié à la saisie informatique. L'établissement s'est dit prêt à "assumer" ses responsabilités tout en demandant de "faire la distinction entre l'erreur du CHU et le comportement brutal des ambulanciers", selon Rémi Heym, son responsable de la communication.
Coumba Tall a porté plainte après avoir été examinée par un médecin légiste qui a constaté les marques laissées par la brutalité des ambulanciers, selon son fils. La société des Ambulances de Bihorel qui l'a transportée a reconnu un "problème" ce jour-là et précisé que le chauffeur du véhicule avait depuis été mis à pied.
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Meskina elle en a bavé pour rien, la pauvre....
