Le jardinage et le potageage (conseils, techniques, trucs et astuces)

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Ces poisons végétaux qui poussent dans nos jardins

EN IMAGES - Elles n'ont pas l'air comme ça, et pourtant... Nombre de plantes d'ornement sont toxiques. Savoir les reconnaître est indispensable surtout si on a des enfants en bas âge. Portraits en images

Les plantes, à qui l'on donnerait volontiers le bon Dieu sans confession, sont, en réalité, le plus grand réservoir de poisons naturels existant sur Terre. Tout le monde connaît l'histoire de la grande ciguë (Conium maculatum), une herbe sauvage voisine de la carotte, que les Grecs anciens administraient
aux condamnés à mort et dont Socrate fut l'une des plus célèbres victimes. La littérature n'est pas en reste. Le père d'Hamlet, la célèbre pièce de Shakespeare, meurt empoisonné par de la jusquiame. Dans les romans d'Agatha Christie, les assassins ont très souvent recours à des «plantes tueuses»: belladone, aconit, digitale...

La première appartient à la famille des Solanacées, comme la tomate et la pomme de terre (faiblement toxique si elle est consommée verte) mais aussi le tabac -la nicotine est un puissant insecticide sans parler de la cigarette qui tue 70.000 personnes chaque année en France- et le datura, surnommé l'«herbe aux fous». Les Renonculacées comptent, elles aussi, bon nombre d'empoisonneuses, tels l'aconit, déjà cité, et les hellébores, que l'on trouve en montagne mais aussi... dans nos jardins. Tout comme les Liliacées (colchique, muguet, lis gloriosa... ) et, curieusement, les Fabacées ou légumineuses. C'est le cas, notamment, du cytise dont la graine, mortellement toxique, peut-être confondue avec celle de ses inoffensifs cousins, le pois et le haricot.

Histoire de plantes: la beauté fatale du laurier-rose - Regarder sur Figaro Live

Mais on trouve des tueuses dans bien d'autres familles botaniques. En dépit de ses fleurs ravissantes, le laurier-rose, omniprésent dans le midi de la France, est particulièrement redoutable. En 1808, lors de la guerre d'Espagne, des soldats de l'armée de Napoléon périrent après avoir ingéré de la viande grillée avec du bois de cet arbuste! La graine de ricin, superbe plante de la famille des Euphorbiacées, que l'on trouve de plus en plus fréquemment dans les parcs et jardins publics, sécrète un poison, la ricine, 6000 fois plus dangereux que le cyanure. Quant à l'if (Taxus baccata ), symbole des jardins à la française avec le buis (vénéneux lui aussi), il peut à la fois tuer un cheval ou... soigner des personnes atteintes de cancer.

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Fascinante dualité de la nature

Car la plupart de ces poisons végétaux servent, à faible dose, de médicament.

Ainsi de la digitaline, extraite de la digitale, capable aussi bien de traiter l'insuffisance cardiaque que de provoquer un arrêt du cœur. Fascinante dualité de la nature...

Citons enfin le daphné odorant (Daphne odora) et le daphné bois-gentil (D. mezereum) à qui l'on donnerait le bon Dieu sans confession:
ces charmants petits arbustes dont les fleurs embaument le jardin au cœur de l'hiver sont, en réalité, des toxiques redoutables par ingestion tant pour les hommes que pour les animaux.
À tel point, qu'il est recommandé de se munir de gants pour les tailler, leur sève provoquant cloques et rougeurs.

au jardin, les cas d'intoxication sont, heureusement, assez rares.

Mais les enfants de moins de 4 ans, qui ont tendance à mettre à la bouche tout ce qui passe à leur portée, sont particulièrement à risque. Tout comme les animaux domestiques (chiens, lapins).

Pour s'en prémunir, la solution consiste à identifier les plantes vénéneuses que vous cultivez. Cet article ne pouvant les énumérer toutes, le site Toxiplante conçu par une équipe de pharmaciens vous y aidera, avec la fiche détaillée de 147 d'entre elles.
Dans tous les cas, plantez-les dans des endroits du jardin peu accessibles aux jeunes enfants et veillez à ramasser et à éliminer systématiquement tous les déchets de taille.

http://news.lefigaro.fr/jardin/2018..._medium=email&utm_campaign=ActuConseilsJardin

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13 Utilisations Étonnantes de la Cendre de Bois Pour la Maison et le Jardin

tomates
compost
limaces escargots

Vous vous êtes déjà demandé ce que vous pouviez faire de toute cette cendre de bois de la cheminée ?

Si vous faites souvent du feu à la maison, je suis sûre que vous vous êtes déjà posé la question !

Eh bien, sachez que la cendre de bois peut servir à la maison, dans le jardin, dans le tas de compost et comme insecticide. Regardez :

https://www.comment-economiser.fr/13-utilisations-cendres-de-bois-maison-jardin.html


mam



https://www.comment-economiser.fr/13-utilisations-cendres-de-bois-maison-jardin.html
 

mam80

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AU JARDIN CE WEEK-END - Des salades, des carottes ou des radis dès le mois d'avril, c'est possible
À condition d'offrir à cette délicate et savoureuse verdure un abri douillet.
Voici comment.
Cela fait plusieurs siècles, en effet, que les jardiniers savent tirer profit du fameux effet de serre décrit par le physicien français Joseph Fourier (1768-1830) et dont l'amplification à l'échelle de l'atmosphère terrestre défraie la chronique.
Au potager, le phénomène est 100% bénéfique.
Semées sous des abris de verre, de plastique ou de plexiglas transparents, les plantes germent, croissent et mûrissent plus vite à la faveur du surcroît de température emmagasinée.
Le gain de précocité est estimé à environ 15 jours: de quoi espérer récolter des laitues,des carottes primeurs, des navets ou des radis dès le mois d'avril, sous réserve de remplir certaines conditions.

l faut tout d'abord se doter d'un équipement adéquat, châssis ou tunnel, disponible dans le commerce mais qu'il est relativement facile de fabriquer soi-même.
Le premier consiste en un cadre en bois (ou en briques qui retiennent mieux la chaleur) rectangulaire sur lequel reposent en pente légère des panneaux amovibles de verre ou de plexiglas.
Pour obtenir un bon effet de serre, ce «toit» doit idéalement être exposé au sud afin de recevoir le maximum de rayonnement solaire.
Vous veillerez également à ce que votre châssis ne soit pas non plus obscurci par l'ombre, très allongée en cette saison, des habitations ou des arbres alentour.
Même contrainte pour le tunnel, constitué d'arceaux métalliques ou plastiques sur lesquels on tend un long film (5 ou 10 m) de polyéthylène traité anti-UV.

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mam80

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suite et fin
En cas de coup de froid, toujours à craindre en cette saison, vous gagnerez de précieux degrés en posant des canisses de bruyères sur le toit du châssis, qu'il vous faudra retirer pendant la journée, ou en couvrant les plantes d'un voile d'hivernage ou de forçage épais, en polypropylène non tissé.

La préparation du sol requiert ensuite le plus grand soin: décompactage sans retournement au moyen d'une griffe, apport modéré de compost ou de fumier bien mûr puis affinage à la houe ou au râteau pour obtenir un lit de semences propice à la levée.

Vous pouvez également préparer une couche chaude dans votre châssis en enfouissant du fumier frais (cheval idéalement) entre 20 et 60 cm de profondeur que vous arroserez copieusement avant de le recouvrir d'un mélange de terreau et de terre de jardin.
La chaleur dégagée par la fermentation (jusqu'à 60°C pendant le «coup de feu») procure un chauffage naturel très économique car sans apport d'énergie extérieur.
Mais la médaille à son revers: vous devrez surveiller régulièrement la température de la terre de votre châssis afin de semer ou de repiquer vos plants dès que celle-ci redescend aux environs de 20°C environ selon les cultures.

Semer des variétés adaptées à l'hiver
Dans tous les cas, ces techniques de forçage demandent une grande disponibilité ne serait-ce que pour aérer l'abri quotidiennement, en l'ouvrant ou l'entrouvrant (selon la météo) le matin et en le fermant le soir, sauf épisode de froid glacial.
En cas d'oubli, la sanction peut être immédiate: les chauds rayons du soleil de mars risquent de transformer le châssis ou le tunnel en étuve et de griller vos cultures. Un sacré paradoxe, en plein hiver... Il faut également arroser chaque fois que nécessaire, mais modérément, avec de l'eau à température ambiante pour éviter qu'elle ne refroidisse la terre et favorise le développement de maladies fongiques. Les légumes primeurs, ça se mérite!

Enfin, il est impératif de semer des variétés adaptées à la culture d'hiver -autrement c'est l'échec assuré. En voici une sélection:

• Salades: ‘Carmen', ‘Gotte jaune d'or' (la plus précoce), ‘Reine de Mai', ‘Novappia' pour les laitues pommées. ‘Dorée de printemps', ‘Blonde de Paris' ou ‘Red Bowl' (feuilles à couper), pour les batavias. Une mention spéciale pour les laitues pommées ‘Deliane' et ‘Sagess', créations récentes de Vilmorin qui ont le grand avantage de résister au bremia, maladie plus connue sous le nom de mildiou de la salade de même que la batavia ‘Magenta' de Gautier semences.

Carottes: vous avez le choix entre des variétés courtes (6 à 12 cm de long) comme ‘Bellot' et ‘Oxhella' ou rondes (3 à 4 cm de diamètre) comme ‘Marché de Paris' et ‘Chantenay à cœur rouge'. Les hybrides F1 ‘Jerada' ou ‘Jeannette' (18-22 cm) se sèment à partir de la fin février. Dans tous les cas, faites tremper les graines 24 heures avant dans un verre d'eau pour faciliter la germination. Eclaircissez très rapidement après la levée qui intervient un peu plus tard qu'en pleine saison en ne gardant qu'une jeune carotte tous les 2 à 3 cm. Si tout se passe bien (au jardin, on n'est jamais sûr...), la récolte intervient au bout de 60 à 70 jours.

Navets: le bien nommé ‘Boule de neige' se sème à partir de maintenant, de même que ‘Milan rouge', ‘Candia', ou l'hybride F1 ‘Tokyo Top' qui se récolte au bout de 50 jours seulement.

Radis: à partir de la mi-février, semez des variétés à croissance rapide comme kiva, Gaufer, Sarda ou encore le célèbre ‘radis de 18 jours' sans oublier le ‘radis à forcer rond écarlate'.

Petit pois: ‘Douce Provence', ‘Nain hâtif d'Annonay' ou ‘Plein le panier' pour les variétés naines (moins de 60 cm en hauteur) à grains lisses et ‘Merveille de Kelvédon' ou ‘Karina' pour les grains ridés. À semer dès maintenant pour une récolte en avril.
a rédaction vous conseille
http://news.lefigaro.fr/jardin/2019..._medium=email&utm_campaign=ActuConseilsJardin

mam
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
Salam mam'zelle et merci :love:

il peut à la fois tuer un cheval ou... soigner des personnes atteintes de cancer
à méditer :mignon:

13 Utilisations Étonnantes de la Cendre de Bois Pour la Maison et le Jardin

tomates
compost
limaces escargots

Vous vous êtes déjà demandé ce que vous pouviez faire de toute cette cendre de bois de la cheminée ?

Si vous faites souvent du feu à la maison, je suis sûre que vous vous êtes déjà posé la question !

Eh bien, sachez que la cendre de bois peut servir à la maison, dans le jardin, dans le tas de compost et comme insecticide. Regardez :

https://www.comment-economiser.fr/13-utilisations-cendres-de-bois-maison-jardin.html


mam



https://www.comment-economiser.fr/13-utilisations-cendres-de-bois-maison-jardin.html
C'est mon quotidien :cool:

idem pour la suite

PS: @hibou si tu as des questions c'est içi :)
 

SynthaxError

Un chleuh dans la kasbah
VIB
On peut utiliser le compagnonage de plantes pour éviter certains ravageurs, tel que la bourrache qui repousse les limaces/escargots ou encore le basilic qui repousse certains insectes volants avides de feuilles fraiches.

Ou encore planter de la consoude au pied des arbres fruitiers, planter des racines de consoude Boking 14, ses graines sont stériles, ce qui évitera à votre jardin d'être envahi par la consoude. Car la consoude officinale, elle, contrairement à la Boking 14 développera des tas de graines qui se resemerons seules une fois tombée à terre. La consoude est un excellent fertilisant au pied des arbres ou en mulch, en plantation vivace ou en purin pour tout le jardin !! Elle est facilement mutipliable en bouture par les racines.

Jardiner en permaculture est économique et naturel. :)
 

mam80

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Pomme de terre: plantez des variétés tolérantes au mildiou :wazaa:

AU JARDIN CE WEEK-END - La lutte chimique étant désormais interdite dans les jardins, la génétique aide à prévenir les attaques de ce redoutable parasite.

Le mildiou est une calamité pour les amateurs de patates.

Il y a un siècle et demi, en Irlande, ce parasite microscopique provoqua une épouvantable famine qui fit un million de victimes et contraint deux autres millions d'habitants de l'île à émigrer vers les États-Unis.

Si les jardiniers de 2019 ne risquent évidemment pas de vivre pareil scénario, il n'en demeure pas moins vrai que Phytophtora infestans (de son petit nom latin), a la capacité d'anéantir en quelques jours, la quasi-totalité de leurs pommes de terre mais aussi de leurs pieds de tomates.

Les attaques, fulgurantes, se produisent généralement à partir de la mi juin et jusqu'à la fin de l'été (pour les tomates), lorsque le temps est chaud et humide.

Tout commence par l'apparition de taches brunes sur les feuilles qui se dessèchent, pouvant laisser croire, à tort, que la plante manque d'eau. La maladie gagne ensuite rapidement les tiges et in fine les tubercules.
Adieu frites, purées et salades piémontaises dont on se régalait à l'avance: la récolte peut être entièrement perdue.

Si vous vous apprêtez à dénicher vos futurs plants de pommes de terre en vue des semis qui démarreront dans un mois au plus tôt, il est recommandé de choisir des variétés tolérantes à ce fléau (et non pas résistantes comme on peut le lire dans certaines gazettes).

Ce point est d'autant plus important que les jardiniers amateurs n'ont plus le droit, depuis le 1er janvier dernier, de recourir à des fongicides de synthèse, seul moyen efficace, en cas d'été pluvieux, de sauver sa récolte du désastre, une fois la maladie installée.

«Les variétés de pomme de terre disponibles sur le marché sont classées sur une échelle de 1 à 9 pour leur sensibilité au mildiou, explique Michel Straebler, responsable de la section pomme de terre au Groupement national interprofessionnel des semences et des plants (Gnis).

Celles qui se comportent le mieux attrapent la maladie 10 à 15 jours après les autres, ce qui permet de les récolter avant que le mildiou ne fasse de gros dégâts sur les tubercules».


Si la plupart de ces pommes de terre peu sensibles (note de 7 sur 9) ou très peu sensibles (8/9) sont réservées aux professionnels, on en trouve quand même quelques-unes dans les jardineries ou sur les catalogues de vente en ligne destinés aux jardiniers.
En voici une liste non exhaustive:

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mam80

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Allians (note 7/9): variété d'origine allemande à chair ferme non farineuse. demi-précoce et productive. Idéale en salade, rissolée ou en robe des champs.

Apollo (7/9, également peu sensible au mildiou sur tubercule): Variété précoce, d'origine française, précoce convenant bien à la production de primeurs. Bonne tenue à la cuisson, idéale pour frites et purée.

Cephora (8/9): inscrite en France en 2013, il s'agit d'une pomme de terre fondante, de bonne qualité gustative, demi-tardive, qui convient bien aux gratins, pommes au four, purées, frites.

Coquine (8/9): variété française (2008) précoce à demi-précoce polyvalente en cuisine et appréciable pour son goût et sa texture. Bon rendement.

Maiwen (7/9): pomme terre française d'obtention récente (2015) à chair tendre et au tubercule allongé, demi-précoce. Idéale en purée, potage et pomme au four.

Passion (8/9): variété demi-précoce à gros tubercules de création récente elle aussi (2014). Productive et goûteuse, elle tient bien à la cuisson, rissolée ou au four.

Tentation (8/9): Variété demi-précoce, productive, inscrite en 2015, aux tubercules allongés et à la chair jaune pâle. Polyvalente, elle a d'excellentes qualités culinaires.

Zen (7/9): précoce et productive, c'est une variété polyvalente à l'instar de ‘Mona Lisa'.



Signalons qu'un certain nombre de variétés anciennes, abusivement présentées comme «résistantes» au mildiou, ne le sont pas ou plus.

C'est le cas, par exemple, de ‘Rose de France' (également connue sous le nom de ‘Cirielle') dont la note, de 4 sur 9, signifie qu'elle est assez sensible au parasite.

Comme l'explique Michel Straebler, «Phytophthora infestans mute beaucoup, seule la sélection de nouvelles variétés permet d'y faire face».

D'autres, comme la série des ‘Sarpo', d'origine hongroise, ont de piètres qualités gustatives.
À éviter donc.

Enfin, on trouve, dans le lot, beaucoup de variétés inscrites sur des catalogues d'autres pays de l'Union européenne pour lesquelles on ne dispose pas de données expérimentales sur leur sensibilité au mildiou.


Ensuite, la tolérance génétique n'est pas une assurance tout risque.

Mieux vaut traiter préventivement à la bouillie bordelaise (encore autorisée) en cas de conditions climatiques humides très favorables au parasite, surtout si vous avez planté des variétés tardives destinées à la conservation que vous ne récolterez qu'à la fin de l'été.

http://news.lefigaro.fr/jardin/2019..._medium=email&utm_campaign=ActuConseilsJardin


mam
 

mam80

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Diviser le framboisier
Diviser les framboisiers permet de garder des plants vigoureux et productifs et de multiplier facilement son nombre de plants.

Quand diviser
Entre les mois de novembre et mars, lorsque la plante est en repos végétatif.
Diviser les framboisiers tous les 2 ou 3 ans afin d’éliminer une partie des rejets. Garder alors environ 10 tiges par mètre linéaire. Les rejets peuvent être replantés au jardin.
Matériel nécessaire
Une fourche bêche et une bêche bien tranchante.
Préparer la division
Si l’on divise la plante en vue de replanter les rejets dans le jardin, choisir des rejets vigoureux.
Si l'on souhaite aérer le buisson de framboisier, choisir les rejets les moins vigoureux en vue de les éliminer.
Comment diviser
  • Déterrer la souche du framboisier à l'aide d'une fourche bêche.
  • Diviser la touffe en la coupant à l’aide d’une bêche bien tranchante. La coupure doit être nette. Selon la taille du plant, diviser la touffe entre 2 et 4 parties appelées éclats de touffe, composées de tige de rejets, rhizomes et racines.
  • Replanter et arroser immédiatement la souche afin d’éviter tout dessèchement.
  • Réinstaller immédiatement les éclats de touffes au jardin, de préférence dans un sol léger et bien bêché, à 20 cm de profondeur. Enrichir le sol avec du terreau ou du compost pour favoriser la reprise.
Après la division
Arroser abondamment les nouveaux plants de framboisier replantés au jardin et rabattre leurs tiges au-dessus d’un bourgeon à 20 cm de hauteur pour faciliter leur reprise.

https://www.rustica.fr/articles-jardin/diviser-framboisier,6478.html


mam
 

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Salam @mam80,
merci pour le partage :)

Quand on veut fait du bio, il faut se résoudre à avoir des soucis. le tout c'est de s'y préparer.
On sépare au max les parcelles d'une mème famille, et on respecte la rotation des cultures.
Et des qu'on a un doute qu'un plant est contaminé on supprime. Et on oublie pas de nettoyer les outils en particulier le sécateur :intello:
 

mam80

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je cherche des infos sur le nom des plantes dépolluantes des sols
en métaux lourds pour se les procurer


c'est pour une expérience dans la ville avec chacun sa spécialité
j'aurais préférer les plantes médicinales mais bon
l'essentiel est le savoir et la transmission

quelqu'un aurait il des informations svp tout le monde
merci

mam

ps par ex on m'a parlé du choux verts ????
 
Dernière édition:

mam80

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Salam @mam80,
merci pour le partage :)

Quand on veut fait du bio, il faut se résoudre à avoir des soucis. le tout c'est de s'y préparer.
On sépare au max les parcelles d'une mème famille, et on respecte la rotation des cultures.
Et des qu'on a un doute qu'un plant est contaminé on supprime. Et on oublie pas de nettoyer les outils en particulier le sécateur :intello:

oh oui

mam
 

mam80

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Pommiers, poiriers: les secrets d'une taille réussie

AU JARDIN CE WEEK-END - En facilitant la circulation de la sève, de l'air et de la lumière, la taille permet d'améliorer le calibre et la qualité gustative des fruits.
Mode d'emploi.

Les températures clémentes et l'ensoleillement généreux prédits par Météo Consult pour ces derniers jours de février sont particulièrement propices à la taille des arbres fruitiers à pépin comme le pommier ou le poirier. L'opération a de multiples vertus, notamment d'améliorer la qualité et la quantité de votre prochaine récolte. Comme l'explique Dominique Cousin dans La taille simple des fruitiers, un petit livre épatant publié l'automne dernier chez Ulmer: «les meilleurs fruits sont produits sur des branches jeunes et vigoureuses correctement alimentées par les racines».

Tout l'art du jardinier consiste donc, par de judicieux coups de sécateur, à orienter la sève vers les rameaux fructifères, appelés lambourdes ou coursonnes, qui, avec l'arrivée du printemps, seront en fleur dans les semaines qui viennent.

Plusieurs situations se présentent.

Dans le cas des arbres de plein vent, caractérisés par un tronc plus ou moins haut (basse tige ou gobelet, demi-tige, haute tige) surmonté d'une couronne composée de 5 à 6 branches charpentières, la taille ne présente pas de difficultés particulières. Il s'agit, en premier lieu, d'éliminer les branches mortes ou malades puis de couper les rameaux orientés vers l'intérieur de l'arbre afin de faciliter la circulation de l'air et de la lumière. Ce faisant on évite de créer des conditions favorables à la propagation des champignons pathogènes (tavelure, moniliose) contre lesquels l'emploi de produits chimiques est interdit depuis le 1er janvier dernier
. On supprimera également les gourmands, rameaux de l'année qui poussent de manière anarchique et pompent la sève inutilement, ainsi que les branches en double ou celles qui se croisent (n'en conserver qu'une sur deux).


L'affaire se complique un peu avec les formes palissées, autrement dit les pommiers et poiriers conduits en espalier (cordon horizontal, palmette verrier, palmette oblique, drapeau Marchand, etc.) qui ont l'avantage de tenir moins de place dans les petits jardins et de pousser le long d'un mur ou d'une clôture.
En cette saison, il convient, dans un premier temps, de rabattre les charpentières de 25 à 30 cm pour éviter que la végétation se développe au sommet de l'arbre au détriment de la base.

La taille des pousses latérales, ou coursonnes, consiste ensuite à favoriser la fructification tout en conservant les organes floraux le plus près possible des charpentières afin, là encore, de raccourcir au maximum le trajet de la sève. Denis Retournard, ancien responsable du verger du jardin du Luxembourg à Paris, conseille de couper tous les rameaux non fructifères situés au-dessus des bourgeons à fleur: «la sève allant toujours vers le bourgeon situé le plus haut, on l'oblige ainsi à aller vers les futurs fruits et donc à améliorer leur calibre et leur qualité gustative».
La taille permet aussi de préparer la future récolte en suscitant la formation de rameaux florifères qui produiront l'année suivante.

Pour travailler dans de bonnes conditions, munissez-vous d'un sécateur bien affûté et préalablement désinfecté à l'alcool, pour éviter de transmettre certaines maladies.

À ce propos, profitez d'une éclaircie (au moins 12 heures sans pluie) pour procéder à votre deuxième traitement fongicide à base de bouillie bordelaise afin de lutter préventivement contre la tavelure ou la moniliose.

http://news.lefigaro.fr/jardin/2019..._medium=email&utm_campaign=ActuConseilsJardin
 

mam80

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On peut utiliser le compagnonage de plantes

Bien Associer les Légumes de votre Potager.

Cette technique est connue : elle s'appelle le compagnonnage des plantes.
Lorsque vous plantez des herbes et des légumes en petites rangées bien comme il faut, ils ont beaucoup moins de chances de se développer.
Pourquoi ? Car ils sont isolés et démunis face aux attaques des nuisibles par exemple.

Alors que si vous les plantez mélangés avec "des amis", leur santé et leur croissance seront stimulés par ses compagnons.

L'exemple le plus connu de compagnonnage est nommé : "les trois sœurs". Qui sont-elles ? Le maïs, les haricots grimpants et la courge :

- Le maïs pousse en hauteur. Il fournit aux haricots grimpants une sorte de treillis naturel pour s'accrocher.
- Les haricots, quant à eux, aident à stabiliser le maïs, car les racines de maïs sont très peu profondes.
- Les feuilles de courge offrent une sorte de paillis pour les haricots et le maïs, car elles conservent l'humidité.
- Les haricots produisent de l'azote dans le sol, ce dont raffolent le maïs et la courge. Les feuilles de courge sont piquantes et dissuadent les animaux de venir voler les haricots et le maïs.

Tout cela est plutôt cool, non ? Si seulement les frères et sœurs humains en faisaient autant...

Saviez-vous que beaucoup de plantes établissent ce genre de relation symbiotique ? En les encourageant dans votre propre jardin, vous obtiendrez des résultats spectaculaires.

Vos légumes seront en meilleure santé et plus savoureux. Vous trouverez moins de parasites qui ravagent votre jardin.

En plus, c'est agréable de voir ces différentes couleurs et textures de plantes les unes contre les autres au lieu de longues rangées strictes et droites.

Comment faire
Il faut d'abord choisir ce que vous voulez semer dans votre jardin. Puis, regardez les plantes qui s'associent bien avec celles que vous avez choisies.

Alors que certains légumes et herbes poussent très bien ensemble, d'autres peuvent être carrément nuisibles l'un à l'autre.

Utilisez ce guide des cultures associées lorsque vous prévoyez vos plantations.

Vous pourrez tracer le plan de votre jardin, en veillant à ce que chaque plante soit bien associée avec ses voisins.

Voici une courte liste des plantes les plus couramment semées et leurs compagnons bénéfiques et nuisibles :

1. Le basilic
Il s'accorde très bien avec les tomates. Il va repousser les vers de tomates et favoriser leur croissance. Il ne faut surtout pas le cultiver près de choux ou de haricots mange-tout, car il réduirait leur croissance et ferait baisser le rendement. Il ne s'entend pas bien avec la sauge non plus.
2. L'aneth
Elle s'accorde bien avec le chou-fleur, le brocoli, et d'autres crucifères (comme les choux de Bruxelles). Mais gardez-la loin du fenouil (car ils s'hybrident entre eux), et des carottes.
3. La ciboulette
Elle s'entend bien avec les tomates, les carottes et même les roses.
4. Les haricots
Ils s'accordent bien avec la plupart des plantes. Mais ils détestent tous ceux de la famille de l'oignon (oignons, la ciboulette, l'ail), ou de la betterave.
5. Le céleri
Il pousse bien avec les tomates, les haricots et le chou. Mais vous ne pouvez pas le planter près des melons, concombres ou courges.
6. Le romarin
Excellent près du chou, des haricots, et des carottes. Mais ne le plantez pas près du basilic, sinon votre romarin va mourir.
7. La courgette
Elle s'entend bien avec les tomates, les courges, les betteraves, les laitues, et tous ceux de la famille de la menthe. Mais gardez-la à l'écart de la pomme de terre. Ils vont provoquer la pourriture l'un de l'autre.
8. La sauge
Parfaite avec toutes les brassicacées (famille du chou), ainsi que les concombres et les haricots. Mais il ne faut pas la placer à proximité des oignons.

.../...
 

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Prenez des notes
Il est important de prendre et de conserver des notes pour que vous puissiez suivre la croissance de vos plantes.
Ces notes sont également essentielles notamment pour la planification de votre jardin de l'année suivante.
En effet, les cultures doivent toujours tourner d'une année sur l'autre. Cela permet de maximiser l'absorption des nutriments (et donc l'état de santé des plantes).

Rappelez-vous que certaines plantes ne peuvent pas être placées à proximité de leurs "ennemis". Elles ne peuvent donc pas être placées dans le sol où ces plantes ont poussé l'année précédente.

À moins que vous ayez une mémoire photographique infaillible et que vous vous rappeliez ce que vous avez planté et où vous les avez plantées, prenez des notes et des photos.

https://www.comment-economiser.fr/guide-pour-bien-associer-les-legumes-du-potager.html

mam
 

mam80

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Prenez des notes
Il est important de prendre et de conserver des notes pour que vous puissiez suivre la croissance de vos plantes.
Ces notes sont également essentielles notamment pour la planification de votre jardin de l'année suivante.
En effet, les cultures doivent toujours tourner d'une année sur l'autre. Cela permet de maximiser l'absorption des nutriments (et donc l'état de santé des plantes).

Rappelez-vous que certaines plantes ne peuvent pas être placées à proximité de leurs "ennemis". Elles ne peuvent donc pas être placées dans le sol où ces plantes ont poussé l'année précédente.

À moins que vous ayez une mémoire photographique infaillible et que vous vous rappeliez ce que vous avez planté et où vous les avez plantées, prenez des notes et des photos.

https://www.comment-economiser.fr/guide-pour-bien-associer-les-legumes-du-potager.html

mam



https://static.comment-economiser.fr/documents/images/compagnonnage-plantes-cultures-associees.jpg

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mam80

la rose et le réséda
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Maladies, ravageurs: ces fleurs qui résistent à tout

L'interdiction des pesticides chimiques dans les jardins remet au goût du jour ces plantes «dures à cuire» qui se passent allègrement de traitements, même bio.
En voici quelques-unes.

La fameuse loi Labbé, qui interdit, depuis le 1er janvier, l'usage des pesticides chimiques aux jardiniers amateurs, suscite diverses réactions.

Si les adeptes du bio s'en réjouissent haut et fort, les autres, tout aussi nombreux mais plus discrets, s'interrogent en silence.
Tout le monde, en effet, ne dispose pas (encore?) des connaissances et, surtout, du temps nécessaire pour lutter de manière exclusivement «naturelle» contre les parasites, au demeurant de plus en plus nombreux, qui s'en prennent aux plantes des jardins.

Comment réagiront, en effet, les «jardiniers du dimanche», pour qui cette activité n'est qu'un loisir (ou une corvée…) comme un autre, une fois confrontés à des attaques répétées de parasites en tout genre, faute de moyens de protection efficaces, bon marché et faciles à mettre en œuvre? Continueront-ils à semer et à planter autant de fleurs dans leur jardin? Mystère...

En attendant d'y voir plus clair, la bonne nouvelle est qu'il existe des «dures à cuire» capables de résister à toutes les «pestes» qui se présentent. Leur résilience n'ayant d'égale que leur beauté et, bien souvent, leur parfum, il y a encore moyen de constituer de beaux massifs sans trop se faire de mouron!

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mam80

la rose et le réséda
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suite et fin

C'est le cas de l'eschscholtzia, ou pavot de Californie, un indestructible à l'éclatante corolle jaune d'or qui fleurit tout l'été et se ressème seul comme un grand.

Les sauges, qui regroupent plus de 900 espèces (officinale, guarani, mellifera, involucre…), font également partie de ces plantes capables de se passer allègrement de tout traitement, chimique ou bio.

Tout comme le crocosmia, cousin sud-africain des iris qui ne craignent guère, eux non plus, que les limaces et les taupes.

D'autres, comme l'ancolie, ont le chic pour passer à travers les gouttes: sensible à l'oïdium, cette renonculacée entre en repos végétatif lorsque la maladie apparaît à la fin du printemps, si bien que les dégâts sont minimes.
Sauf pour les plantes voisines qu'il conviendra de traiter avec du soufre, un fongicide estampillé bio mais qui n'a qu'une action préventive.
Ce qui signifie qu'il est inopérant une fois le champignon installé...

Dans la même famille, l'anémone du Japon, les asters et les coréopsis affichent des performances honorables.

Rosiers tolérants
Côté arbustes, le buddléia ou arbre aux papillons, les odorants daphnés, l'althéa, l'oranger du Mexique, le deutzia, le forsythia, l'abélia, la sauge à petites feuilles (Salvia microphylla ) et bien d'autres encore sont des valeurs sûres.

Idem pour les nouveaux rosiers rendus tolérants aux maladies (marsonia, oïdium) grâce à la génétique et au long et patient travail de leurs obtenteurs.

Revers de la médaille: bon nombre d'anciennes variétés, très sensibles et désormais privées de protection, risquent fort de passer à la trappe. Tout comme d'ailleurs, le buis et le palmier des Canaries.
Victimes de la pyrale et de la cylindrocladiose pour l'un, du charançon rouge pour l'autre, ces espèces emblématiques sont en passe de disparaître de nos jardins à la française et de ceux de la Côte d'Azur.
En l'absence de progrès significatifs dans la mise au point de méthodes de biocontrôle performantes, en particulier contre les maladies où la panoplie reste largement insuffisante, la liste pourrait bien encore s'allonger...

http://news.lefigaro.fr/jardin/2019..._medium=email&utm_campaign=ActuConseilsJardin

mam
 

mam80

la rose et le réséda
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Les pucerons s’attaquent aux feuilles des plantes et rosiers pour en extraire la sève. Les dégâts qu’ils occasionnent peuvent être impressionnants. Tout comme ceux des autres parasites du jardin. Voici ce que recommandent nos grands-mères pour s’en débarrasser. 


Pour lutter contre les insectes qui ravagent les pommes de terre, plantez à proximité des pieds de coriandre, des haricots, aubergines, menthe, pétunias ou soucis.



Pour protéger vos framboisiers des vers mettez plutôt des myosotis.

S’agissant des pucerons, pour les écarter rien de tel que le persil, romarin, capucine, sauge, et pieds de lavande. Pour traiter les pucerons l’infusion de lavande, de consoude ou de fougères est particulièrement efficace. Faites infuser 100 g d’une de ces plantes dans un litre d’eau. Quand l’eau commence à bouillir retirez du feu et laissez refroidir. Après avoir filtré pulvérisez la solution.





Une autre astuce consiste à vaporiser sur les plantes attaquées de l’eau bicarbonatée.

La solution doit contenir 2 cuillerées à soupe de bicarbonate de soude pour un litre d’eau à laquelle vous pouvez ajouter 4 cuillères à soupe d’huile d’olive.
Il faut asperger les plantes tous les jours pendant une semaine.


Pour anéantir ces insectes, il est également conseillé de pulvériser du savon noir ou du savon de Marseille dilué dans de l’eau dans les proportions suivantes : 150 grammes pour un litre. 



Enfin si vous le pouvez, accueillez un hérisson dans votre jardin.

Ce mammifère éliminera de façon parfaitement naturelle les insectes, mais également les escargots et les limaces.

https://www.grands-meres.net/jardin...rdin&utm_medium=email&utm_campaign=newsletter

mam
 

mam80

la rose et le réséda
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Des scientifiques révèlent l’intelligence et la sensibilité des plantes

Elles perçoivent la gravité, le vent et leur position qu'elles peuvent corriger : les plantes possèdent une forme d'« intelligence » qui fascine scientifiques et grand public.

Des chercheurs de l'Inra qui mènent l'enquête ont fait de surprenantes découvertes.

Dans les locaux de l'Institut national de la recherche agronomique (Inra) de Clermont-Ferrand, l'installation a des airs de décor de cinéma pour un film de science-fiction.
Dans une sphère de lumière blanche aveuglante, alimentée par plus de 90 néons, le chercheur Bruno Moulia installe une jonquille inclinée à l'horizontale, maintenue au milieu par un arceau métallique.

Une fois cette boule de lumière refermée, à l'abri de toute autre lumière extérieure dans une structure octogonale digne d'un vaisseau spatial, la plante -- partageant le même comportement que l'arbre -- va opérer une drôle de chorégraphie.

« Baignant de toute part dans cette lumière, elle ne peut pas l'utiliser pour savoir où est le haut, où est le bas. Pourtant, elle va complètement se redresser vers le haut. Elle perçoit la gravité », explique le directeur de l'Unité de recherche sur la Physique et physiologie intégrative de l'arbre en environnement fluctuant (Piaf).

Ce qu'il faut retenir
  • À Clermont-Ferrand, des chercheurs de l’Inra enquêtent sur la sensibilité et la perception des plantes.
  • Leurs expériences ont mis en évidence que les plantes sont douées de proprioception, possèdent le sens du toucher, percevraient les sons, les odeurs et auraient aussi une sorte de mémoire…
  • La recherche dans ce domaine en est à ses débuts.
  • Les plantes, immobiles, communiquent grâce à des signaux chimiques.
Quand des plantes se touchent par leurs feuilles, elles envoient des signaux chimiques dans le sol qui signalent à leurs voisines d'éviter les zones trop peuplées. C'est ce que suggère une étude suédoise portant sur de jeunes plants de maïs.



mam
 
A

AncienMembre

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Bonjour
j'ai acheté des graines (salades, tomates, oseille) pour faire pousser sur mon balcon
pour l'instant j'essaie de les faire germer, j'ai mis du terreau dans des pots de yaourt avec les graines, mais au bout d'une semaine, rien...
qu'est ce que j'ai pu faire de travers ?
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Bonjour
j'ai acheté des graines (salades, tomates, oseille) pour faire pousser sur mon balcon
pour l'instant j'essaie de les faire germer, j'ai mis du terreau dans des pots de yaourt avec les graines, mais au bout d'une semaine, rien...
qu'est ce que j'ai pu faire de travers ?


tu as fait des trous avec une vrille dans tes pots de yaourt avant d'y mettre le terreau ?

tu as planter Lune montante ou Lune descendante ?



il faut quand même un peu de patience aussi



mam
 
A

AncienMembre

Non connecté
merci beaucoup pour ta réponse. Euh oui j'ai troué les pots avec un couteau pointu.

Par contre pour la lune, je n'ai pas fait attention du tout. Les pots sont sur la table du salon, qui est ensoleillée (par la vitre) le matin
 
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mam80

la rose et le réséda
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tu arroses régulièrement ? en petite quantité ?

astuce pour arroser : prend le bouchon d'une bouteille en plastique, fais au moins 6 trous
(avec une vrille ou un clou et un marteau) remplis la bouteille et attend le lendemain pour l'utiliser ........(° ambiante)

mam
 
A

AncienMembre

Non connecté
j'arrose un peu tous les jours mais peut être je mets trop d'eau
je vais essayer ton truc ...
les graines de salade ca monte au bout de combien de jours?
 

mam80

la rose et le réséda
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Clôture jardin : choix, réglementation et démarches

Le choix du matériau

Si vous souhaitez économiser sur la clôture, pensez au grillage proposé en rouleau. Notez cependant que le rendu n’est pas particulièrement esthétique. Les grillages ne s’installent donc pas en façade. Les murs se dotent d’une excellente longévité et n’exigent aucun entretien spécifique. Les panneaux de bois offrent, quant à eux, un rendu esthétique qui s’harmonise aisément avec la végétation de votre jardin. L’entretien se fait environ tous les 5 ans. Par ailleurs, il est possible de planter une haie. Dans ce cas, il faudra la tailler régulièrement.


Le matériau se choisit donc en fonction de son design mais aussi de l’entretien qu’il nécessite.

Une autorisation est-elle obligatoire ?

En règle générale, chaque propriétaire est libre de clôturer sa propriété. Il est cependant indispensable de vous informer sur les règles d’urbanisme de votre commune. L’architecture d’un mur, les critères esthétiques à respecter, les hauteurs minimum… sont autant de caractéristiques qui peuvent influencer votre projet.


Il faut aussi noter que certaines situations exigent une déclaration en amont :


  • la propriété se situe au cœur d’un site sauvegardé ou dans le champ de visibilité d’un monument classé
  • la propriété se situe dans un site classé, inscrit ou en cours de classement
  • la propriété se situe dans une zone concernée par un PLU (Plan Local d’Urbanisme)
  • la propriété se situe dans une commune où toute clôture est soumise à une déclaration préalable obligatoire.

En outre, il est impératif de respecter les obligations en termes de servitude de passage. Les riverains qui résident dans un fond enclavé doivent ainsi pouvoir accéder à leur propriété sans aucune difficulté.

Le cas spécifique des clôtures électriques

Hautement sécuritaires contre les intrusions mais également dangereuses, les clôtures électriques s’installent obligatoirement sur autorisation. Des panneaux où la mention “clôture électrique” est inscrite en lettres capitales noires sur fond jaune sont à placer bien en évidence, en respectant une distance maximum de 50 mètres.


mam
 

mam80

la rose et le réséda
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Soignez votre jardin grâce aux plantes

Prenez un rosier comme témoin

La vigne et le rosier sont sensibles à l’oïdium, un champignon parasite provoquant un feutrage blanc sur les feuilles, les tiges et éventuellement les eurs des végétaux, altérant leur rendement et leur qualité. Le rosier étant toujours attaqué avant la vigne, il est conseillé d’en planter un en bordure des ceps. Ainsi, si vous voyez que le rosier est atteint, vous pourrez immédiatement traiter la vigne et l’épargner de la maladie.

Éloignez les aleurodes avec la menthe poivrée

Coupez grossièrement 500 g de menthe poivrée, mettez-la dans un faitout contenant 5 litres d’eau et portez à ébullition. Laissez refroidir et infuser pendant 10 heures, filtrez, puis utilisez dans les 24 heures (cette infusion ne se conserve pas), dès le début de la récolte des tomates, mais aussi des courges, des aubergines, des choux... pour les préserver des aleurodes, ces minuscules mouches blanches qui se nourrissent de la sève des plantes.

Faites un traitement à la fougère aigle

Profitez d’une balade en forêt pour cueillir 500 g de feuilles de fougère aigle. Coupez-les grossièrement et faites-les macérer dans 5 litres d’eau, une dizaine de jours, en remuant quotidiennement, puis en refermant le récipient. Diluez 10 % de ce mélange filtré dans 90 % d’eau. Vaporisez sur les plantes d’ornement, les parties aériennes des plantes potagères et les arbres fruitiers, en traitement préventif et curatif des maladies fongiques (causées par un champignon) et contre les parasites.

Protégez vos pommes de terre avec la sauge officinale

Hachez 1 kg de feuilles de sauge officinale, mettez-les dans un seau et recouvrez-les de 10 litres d’eau froide. Versez 10 % de ce mélange filtré, additionné de 90 % d’eau, dans un vaporisateur et pulvérisez-le sur les pommes de terre, en prévention contre le mildiou. Attention, cependant, à ne pas en mettre sur les semis, car cela risquerait de bloquer la germination.

Stimulez les légumes à l’aide du pissenlit

Faites macérer 1 kg de pissenlits (avec les eurs, les feuilles et les racines préalablement nettoyées) dans 5 litres d’eau, pendant 10 jours, en remuant quotidiennement. Mettez 1 litre de ce purin filtré dans un arrosoir et mélangez-le à 5 litres d’eau. Versez au pied des légumes pour stimuler leur croissance.

Profitez des propriétés antifongiques du sureau

Hachez 300 g de feuilles fraîches de sureau, recouvrez-les de 3 litres d’eau froide et laissez macérer à couvert pendant 24 heures. Puis, faites bouillir le mélange pendant une trentaine de minutes, et laissez refroidir, sans retirer le couvercle, enfin, filtrez. Utilisez cette infusion en pulvérisation sur la partie supérieure des feuilles de tomate, courgette, vigne, pommier, rosier... qui sont sujettes à l’oïdium, au mildiou et à la rouille.

Nourrissez vos plantes avec des orties

Enfilez des gants épais et coupez grossièrement 500 g de feuilles et de tiges d’ortie. Faites-les macérer deux semaines dans 5 litres d’eau froide, en prenant soin de remuer tous les jours. Dans un arrosoir, versez 15 % de ce mélange, préalablement filtré, et 85 % d’eau. Tous les 15 jours, arrosez vos plantes avec cette préparation. L’ortie renferme de l’acide formique, de nombreux minéraux et éléments organiques qui stimuleront leur résistance et leur croissance, et favoriseront la floraison.

Repoussez les indésirables avec du lierre

Dans une forêt ou un sous-bois, coupez 500 g de feuilles de lierre, mettez-les dans un seau, puis laissez-les macérer dans 5 litres d’eau, pendant deux semaines, en prenant soin de remuer chaque jour. Utilisez ce purin en pulvérisation sur les végétaux afin de repousser les pucerons, les acariens et les mouches blanches.

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mam80

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Préservez votre potager grâce aux genêts

Parsemez votre potager de quelques branches de genêt. Il repousse les altises (puces des jardins), des coléoptères qui font des trous dans le feuillage des fleurs et des légumes et ralentissent ainsi leur croissance.

Soignez les pommiers à la prêle des champs

Mettez 500 g de feuilles de prêles des champs à macérer dans 5 litres d’eau, jusqu’à ce que le mélange devienne bien noir, ce qui prendra environ 15 jours. Filtrez-le pour le débarrasser de ses impuretés, puis versez 10 % de purin et 90 % d’eau dans un vaporisateur. Appliquez sur les arbres fruitiers tels que les pommiers et les poiriers, afin de les préserver de champignons parasites comme la tavelure, provoquant, entre autres, des taches sur les fruits.

Activez votre compost grâce à la camomille

Laissez infuser 100 g de fleurs de camomille hachées dans 2 litres d’eau froide, pendant 24 heures. Versez cette infusion sur votre tas de compost pour l’activer, le nourrir et éviter qu’il ne pourrisse.

Plantez de l’aneth pour éloigner les parasites

L’aneth, appelé aussi « faux anis » en raison de son parfum, fait fuir de nombreux parasites. Alors, n’hésitez pas à le planter en pleine terre, au bord du potager et, dans un pot, près d’un massif de fleurs. En outre, cette herbacée attire les insectes auxiliaires comme les coccinelles et les chrysopes, qui sont friands de pucerons et d’acariens.

Fiez-vous aux trèfles blancs

Le trèfle blanc est un bon indicateur, car lorsqu’il prolifère, cela signifie que le sol doit être enrichi en azote. Néanmoins, s’il envahit trop le jardin, fauchez-le et utilisez-le pour pailler les arbres fruitiers.

Utilisez la consoude comme engrais vert

Plante herbacée vivace, la consoude est une plante reconnaissable à ses grandes feuilles ovales et rugueuses, et à ses petites grappes orales de couleur rose pourpre ou blanchâtre. Vous la trouverez dans les endroits humides, comme les bois, les forêts ou les fossés. Ramassez une trentaine de feuilles, puis faites-les bouillir dans 4 litres d’eau. Laissez reposer la préparation pendant une demi-journée et pulvérisez-la au pied de vos plantes euries et sur vos semis. Riche en potasse, elle favorise la croissance des végétaux.

Servez-vous d’infusion de lavande comme répulsif

Mettez 200 g de feuilles de lavande officinale dans 2 litres d’eau froide, couvrez et portez à ébullition. Retirez du feu, laissez refroidir pendant 24 heures, puis filtrez l’infusion. Pulvérisez-la pure sur les végétaux pour éloigner les fourmis, les pucerons et la mouche de la carotte, dont la larve creuse les racines des légumes et entraîne leur pourrissement.


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ALERTE météo POUR LES JARDINIERS en france

Retour du froid et de l’humidité à partir du 2 avril
Depuis l’arrivée du printemps, les conditions climatiques sont globalement clémentes en France, avec des températures plus douces et un soleil généreux dans une grande partie du pays. Le dernier week-end de mars devrait être largement ensoleillé, avec des températures de saison. Malheureusement, cela ne va pas durer !

Selon les dernières prévisions de Météo France, « Le temps devient de plus en plus agité, humide et frais à partir de mardi 2 avril ». Un épisode de vent fort est, par ailleurs, attendu en milieu de semaine sur les Alpes et le pourtour méditerranéen.

De la neige prévue la première semaine d’avril en France
Selon les prévisions, de l’air froid venu de l’Arctique devrait s’abattre sur la France la première semaine d’avril : les températures accuseront une nette baisse dès mardi 2 avril, d’abord sur un tiers nord, pour gagner la moitié sud et passer légèrement en dessous des normales dès mercredi 3 avril : une chute brutale de 5° à 8°C est attendue en 24 heures dans le sud de la France.

Les températures pourraient ainsi se situer de 3 à 8°C sous les moyennes de saison sur l’ensemble de la France jusqu’au 7 avril, accompagnées de précipitations. La neige pourrait faire son grand retour, puisque des chutes de neige sont prévues en montagne à basse altitude, dès 600 mètres.
Mais rassurez-vous, si l’on en croit les prévisions saisonnières pour le prochain trimestre, des conditions plus chaudes et plus sèches que la normale sont attendues !



mam
 

mam80

la rose et le réséda
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des poules remplacent les pesticides dans des vergers en BRETAGNE

Un arboriculteur passé en bio depuis 12 ans a constaté que les poules noires locales, de Janzé, dévorent les insectes qui auparavant décimaient ses arbres fruitiers. Il élève aussi des moutons pour désherber ses parcelles.

«Depuis que je suis passé en Bio, j’ai complètement revu mes pratiques». Christophe Bitauld est arboriculteur à Saulnières en Ile-et-Vilaine. Après des recherches et des essais, le Breton a installé des poules dans ses vergers afin de les débarrasser d’insectes nuisibles.

Le test a été concluant. «Nous avons fait un premier essai en mettant 80 poules en liberté sur 3 hectares, tout en laissant les autres parcelles sans aucun traitement», indique le producteur.

Dès la première année, l’arboriculteur constate que cette solution est efficace.

Alors que les arbres fruitiers étaient dévorés par un petit insecte, l’anthonome du pommier, l’appétit des poules a permis de réduire sa présence de 80% sur les parcelles foulées par les gallinacées. Une aubaine, car ces insectes détruisent jusqu’à 90% de la production.


Cette solution a été découverte presque par hasard. Dominique Biche, conseiller arboriculture à la chambre d’agriculture des Côtes d’Armor, menait des recherches pour tenter de débarrasser les pommiers du petit prédateur, sans recourir à des produits phytosanitaires.

Au cours de ses recherches, le technicien observe que dans un verger de particuliers, la présence de poules fait drastiquement diminuer les populations d’anthonomes. De passage à l’écomusée de Rennes, ce dernier constate par ailleurs que les poules locales, les poules noires de Janzé, en voie de disparition, sont particulièrement vives. «Elles sont plus puissantes au niveau des ailes et sont capables de se percher rapidement dans les arbres pour échapper au renard», précise le spécialiste. Il en déduit donc que cette race serait parfaite pour dévorer les insectes dans les vergers.
Faire revivre une race ancienne
Ainsi, lorsque Christophe Bitauld explique qu’il recherche une solution naturelle pour se débarrasser des insectes qui dévorent ses pommiers, le technicien de la chambre d’agriculture lui fait part de ses constats.

L’agriculteur décide alors de mener l’expérience grandeur nature. Il se procure quelques poules auprès de l’écomusée et commence par faire de l’élevage, car il ne reste que peu de spécimens de cette race ancienne. Puis, il se rend rapidement compte de l’efficacité de cette solution et décide de faire croître le cheptel de ces poules qui gambadent de troncs en troncs pour y manger les insectes. Aujourd’hui, il élève 200 poules noires de Janzé qu’il installe à tour de rôle dans ses parcelles.
Elles sont tellement efficaces que le producteur n’a besoin de les laisser sur une parcelle qu’une fois tous les trois ans. L’agriculteur précise qu’il ne nourrit pas les poules mais il les rentre le soir pour éviter qu’elles ne se fassent dévorer par les renards.

Le producteur se réjouit également de la qualité des œufs de ces poules élevées en plein air. «Ils sont excellents et les chefs se les arrachent!», affirme Christophe Bitauld. Les poules vivent aussi avec les 120 moutons présents dans les 30 hectares de parcelles pour les désherber.

Ces dernières ont également débarrassé les moutons des tics, ténia et de la douve. «Les moutons et les poules vivent en symbiose sur les vergers», affirme l’agriculteur heureux.


mam
 
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