«Je ne veux plus que mon nom soit associé à celui de Nicolas Dupont-Aignan», explique un candidat aux législatives
Au lendemain de l’annonce de l’accord entre Nicolas Dupont-Aignan, leader du parti Debout la France (DLF) et Marine Le Pen (FN), Ludovic Lussiez, candidat DLF aux législatives dans la 12e circonscription et son suppléant, respectivement secrétaire départemental adjoint et secrétaire de la 12e, quittent le parti.
L’amateur de trek extrême et de course à pied, celui qui a défié le Kilimandjaro, en a le souffle coupé. Ludovic Lussiez, secrétaire départemental adjoint du parti Debout la France, candidat aux législatives dans la 12e circonscription, a appris le ralliement de Nicolas Dupont-Aignan au Front national « par France 2, à la télé ». « J’ai plus de jambes… Ça me rend malade ». La voix mal assurée, visiblement au bord de l’émotion, Ludovic Lussiez a beaucoup de mal à encaisser le choc de la part de celui qu’il considérait comme le seul homme politique « à avoir un discours sans haine », comme le digne héritier de son modèle, « Philippe Seguin, un homme droit dans ses bottes ».
Suite : http://www.lavoixdunord.fr/155271/a...socie-celui-de-nicolas-dupont-aignan-explique
Au lendemain de l’annonce de l’accord entre Nicolas Dupont-Aignan, leader du parti Debout la France (DLF) et Marine Le Pen (FN), Ludovic Lussiez, candidat DLF aux législatives dans la 12e circonscription et son suppléant, respectivement secrétaire départemental adjoint et secrétaire de la 12e, quittent le parti.
L’amateur de trek extrême et de course à pied, celui qui a défié le Kilimandjaro, en a le souffle coupé. Ludovic Lussiez, secrétaire départemental adjoint du parti Debout la France, candidat aux législatives dans la 12e circonscription, a appris le ralliement de Nicolas Dupont-Aignan au Front national « par France 2, à la télé ». « J’ai plus de jambes… Ça me rend malade ». La voix mal assurée, visiblement au bord de l’émotion, Ludovic Lussiez a beaucoup de mal à encaisser le choc de la part de celui qu’il considérait comme le seul homme politique « à avoir un discours sans haine », comme le digne héritier de son modèle, « Philippe Seguin, un homme droit dans ses bottes ».
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