POLITIQUE - Le fils du président de la République répond à la polémique autour de sa candidature à la tête de l'Epad...
Il va falloir qu'il soit plus fort s'il veut marcher dans les pas de son père. Accusé d'avoir bénéficié de son patronyme pour briguer la présidence de l'Epad, l'établissement public de La Défense, le fils du président de la république supporte de moins en moins la polémique.
«Depuis que je me suis lancé en politique, j'ai toujours fait l'objet de critiques, déclare-t-il au Parisien. Quand on fait ce métier, il faut s'y attendre, s'y préparer. Mais je suis très déterminé, très motivé et j'observe que c'est surtout la gauche qui tire sur moi. Ce sont des attaques très partiales. On oublie vite, ou on fait mine d'oublier, que j'ai été élu conseiller général du canton de Neuilly-Sud au suffrage universel. Puis élu président de groupe au conseil général des Hauts-de-Seine par mes pairs», détaille le jeune homme.
Ce procès en légitimité, on me le fera toujours.
«Depuis deux ans, je suis sur le terrain, je travaille, j'ai toujours été soutenu par ma majorité. Mais quoi que je dise, quoi que je fasse, je serai critiqué. Ce procès en légitimité, on me le fera toujours. Si je devais être jugé aux raccourcis, aux critiques, aux amalgames dont je suis l'objet, je serais probablement condamné à la perpétuité», se justifie-t-il enfin.
Jean Sarkozy reconnaît, néanmoins, avoir discuté de l'Epad avec son père. «Il est évident que j'ai informé ceux qui me sont proches, c'est normal. Cela dit, je trace ma route», a-t-il ajouté.
M. D.
Il va falloir qu'il soit plus fort s'il veut marcher dans les pas de son père. Accusé d'avoir bénéficié de son patronyme pour briguer la présidence de l'Epad, l'établissement public de La Défense, le fils du président de la république supporte de moins en moins la polémique.
«Depuis que je me suis lancé en politique, j'ai toujours fait l'objet de critiques, déclare-t-il au Parisien. Quand on fait ce métier, il faut s'y attendre, s'y préparer. Mais je suis très déterminé, très motivé et j'observe que c'est surtout la gauche qui tire sur moi. Ce sont des attaques très partiales. On oublie vite, ou on fait mine d'oublier, que j'ai été élu conseiller général du canton de Neuilly-Sud au suffrage universel. Puis élu président de groupe au conseil général des Hauts-de-Seine par mes pairs», détaille le jeune homme.
Ce procès en légitimité, on me le fera toujours.
«Depuis deux ans, je suis sur le terrain, je travaille, j'ai toujours été soutenu par ma majorité. Mais quoi que je dise, quoi que je fasse, je serai critiqué. Ce procès en légitimité, on me le fera toujours. Si je devais être jugé aux raccourcis, aux critiques, aux amalgames dont je suis l'objet, je serais probablement condamné à la perpétuité», se justifie-t-il enfin.
Jean Sarkozy reconnaît, néanmoins, avoir discuté de l'Epad avec son père. «Il est évident que j'ai informé ceux qui me sont proches, c'est normal. Cela dit, je trace ma route», a-t-il ajouté.
M. D.