Jean Sarkozy: «Quoi que je fasse, je serai critiqué»

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
POLITIQUE - Le fils du président de la République répond à la polémique autour de sa candidature à la tête de l'Epad...

Il va falloir qu'il soit plus fort s'il veut marcher dans les pas de son père. Accusé d'avoir bénéficié de son patronyme pour briguer la présidence de l'Epad, l'établissement public de La Défense, le fils du président de la république supporte de moins en moins la polémique.

«Depuis que je me suis lancé en politique, j'ai toujours fait l'objet de critiques, déclare-t-il au Parisien. Quand on fait ce métier, il faut s'y attendre, s'y préparer. Mais je suis très déterminé, très motivé et j'observe que c'est surtout la gauche qui tire sur moi. Ce sont des attaques très partiales. On oublie vite, ou on fait mine d'oublier, que j'ai été élu conseiller général du canton de Neuilly-Sud au suffrage universel. Puis élu président de groupe au conseil général des Hauts-de-Seine par mes pairs», détaille le jeune homme.

Ce procès en légitimité, on me le fera toujours.

«Depuis deux ans, je suis sur le terrain, je travaille, j'ai toujours été soutenu par ma majorité. Mais quoi que je dise, quoi que je fasse, je serai critiqué. Ce procès en légitimité, on me le fera toujours. Si je devais être jugé aux raccourcis, aux critiques, aux amalgames dont je suis l'objet, je serais probablement condamné à la perpétuité», se justifie-t-il enfin.

Jean Sarkozy reconnaît, néanmoins, avoir discuté de l'Epad avec son père. «Il est évident que j'ai informé ceux qui me sont proches, c'est normal. Cela dit, je trace ma route», a-t-il ajouté.
M. D.
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
les coups se succèdent au profit de sa famille et il ne cesse de prendre les gens (français) pour des ****..on critique ce qui se passe chez les autres et on en fait pas moins (c'est typiquement français ça d'ailleurs), et vas y que ça dénonce les censures dans les pays voisins (et un blog de sa femme qui saute à cause de quelques commentaires), et ça dénonce le pris parti de la justice dans certains pays dans des affaires de justice (encore une fois une affaire qui touche son fils et démontre qu'il ne vaut pas mieux et/ou ne fait pas mieux que ces pays qu'il critique à tout bout de champs), un gosse élu dans l'ancien 'district' de son père (pas trop dur quand le papa est encore chef de parti et président de la république)..

son fils prétend être compétent qu'il aille se présenter dans un canton où il n'aura pas de soutien de papa chéri et qu'il fasse ses preuves..n'est ce pas cela la république? :rolleyes:
 
On trouve un argument intéressant chez les défenseurs de cette candidature. La candidat ayant été élu au suffrage universel, son élection à la présidence de l'EPAD est légitime. Peut-être peut-on juger à cet argument de la confusion opérée entre légitimité politique et ce qu'on pourrait appeler légitimité gestionnaire. Être élu du peuple et du conseil d'administration, c'est pareil. Et il semble que cette confusion restera un acquis de cette présidence. Madame Parisot n'a pas craint d'affronter les rires des journalistes en justifiant cette confusion.
 
Ce jeune homme n'a pas compris que les critiques dont il faisait l'objet étaient : CONSTRUCTIVES.

Dans ce pays ou les tours de passe passe constituent la partie de plaisir des dominants, des abbérations éléctorales ( soit disant élu???) dénotent bien la comédie gouvernementale dans lequel les citoyens sont les tristes spéctateurs qui doivent rires ou pleurer!

Quelle grave injustice! On a l'impression d'être ballotter de comédie en comédie ( la burka, la taxe sur le carbone, jean la défense, les empreintes génétiques... quoi d'autres à l'affiche bientot ??? Ah oui CARLA. )
 

harissagirl

Quidquid latine dictum sit, altum sonatur
VIB
mais il n' a jamais été elu nominalement il a été élu sur une liste divers droite !!!

faut rappeler le contexte : à la base jean sarkozy était avec le candidat parachuté à la mairie de neuilly par sarkozy , david martinon . Il croyait que les neuilléens allaient automatiquement voté par ce candidat estampillé président .

Le problème c' est que ces derniers ont boudé David martinon " martinon non non ", ils voulaient pas du candidat sarkosyste et donc de celui qui le soutenait , jean sarkozy .

Du coup ce dernier qui soutenait " à mort " david martinon a compris ( ou plutot son père ) que c' était mort justement .Il a donc rallié in extremis la liste de Fromantin , celui qui était en tete des sondages ,a fait un deal et a été élu sur sa liste parmi un tas d ' autres de conseillers généraux , après que tous les autres challengers se soient retirés .

La tete de liste c' était Fromantin .

Sans ajouter qu' une election ne confère pas pas magie de compétences particulières ...

et ce jean a été élu en mars 2008 , donc pas pdt 2 ans
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
La politique en famille, ça peut faire mal

DRAMES - Toutes les histoires ne finissent pas forcément bien, exemples locaux à l'appui...

Si Jean Sarkozy peut compter aujourd'hui sur le soutien de son père, quand les liens familiaux croisent les liens politiques, les désaccords tournent rapidement au drame. Les habitants de Puteaux (Hauts-de-Seine) et Bray-Dunes s'en souviennent, qui ont par exemple dû trancher des désaccords familiaux à travers les élections municipales. Récit.

La saga des Ceccaldi-Reynaud. Courant 2004, le maire UMP de Puteaux (Hauts-de-Seine), Charles Ceccaldi-Reynaud, démissionne pour raisons de santé. A qui transmet-t-il le mandat? A sa fille Joëlle, qui siège comme adjointe depuis 1995. Mais un peu moins d'un an plus tard, remis sur pied, il souhaite récupérer ce qu'il perçoit comme étant son bien. Sauf que Joëlle Ceccaldi-Reynaud a pris goût à la fonction et décide donc de ne pas céder aux demandes de son père.

C'est que chez les Ceccaldi-Reynaud, on est tenace: le père, devenu député à la faveur de l'arrivée au gouvernement de Nicolas Sarkozy en 1993, n'avait accepté de démissionner en 1995 qu'en échange d'un mandat de sénateur. Forcément, la situation génère des conseils municipaux pour le moins houleux. «Les arcades, c'est mon idée, de toute façon vous n'avez pas d'idées», lance Charles Ceccaldi-Reynaud à sa fille devenue maire. La vidéo a été filmée par le blogueur et élu Modem Christophe Grébert:

http://www.20minutes.fr/article/356239/Politique-La-politique-en-famille-ca-peut-faire-mal.php
 

petitbijou

Casablanca d'antan
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L'élection de Jean Sarkozy comme administrateur de l'Epad sur 20minutes.fr
POLITIQUE - Le conseil général des Hauts-de-Seine désigne ce vendredi matin son nouveau représentant au conseil d'administration de l'Epad...

Pour rafraîchir, cliquez ici.

11h45: Jean Sarkozy salue Patrick Jarry pour n'avoir pas formulé d'attaque personnelle à son encontre.

11h43: Jean Sarkozy à Pascal Buchet: Vos métaphores sont une profonde insulte». Il se prévaut d'avoir mis au coeur du débat pulic les préoccupations sur la Défense», grâce à la polémique que sa candidature à suscité.

11h41: Jean Srkozy prend la parole. «Je veux entrer dans le débat sur le fond», indique-t-il. Il s'adresse à Pascal Buchet et demande «le respect pour les élus de la Droite, au même titre que ceux de la Gauche».

11h40: Le monde entier regarde la Défense depuis longtemps. Son développement, aps toujours compris de tous est essentiel. Il soutient la candidature de Jean Sarkozy.

11h38: Jean Sarkozy va parler, mais Patrick Devedjian rappelle d'abord son respect à Jean Sarkozy, et sa totale loyauté à Nicolas Sarkozy.

11h35: Seulement deux candidats se présentent. Nicole Garcia, candidate du rassemblement de la Gauche à la parole. La candidature de Jean Sarkozy n'est pas légitime, la sienne oui. Elle serait la première salariée du secteur à entrer au CA de l'Epad, depuis sa création en 1958, et rétablirait un semblant de parité: il n'y a que trois femmes au CA. Elle soutiendra Patrick Jarry à la présidence de l'Epad si elle est élue.

http://www.20minutes.fr/article/357...administrateur-de-l-Epad-sur-20minutes-fr.php
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Jean Sarkozy ou le complexe du «petit ***»

MEDIA - Son regard sur sa stratégie médiatique...

«Je sais que j'ai une image de petit ***» Déjà, en juin, Jean Sarkozy confiait à 20Minutes son malaise de faire de la politique en étant «fils de». «Il faut que je fasse mes preuves par les urnes», expliquait-il, lucide sur le symbole qu'il représente. Non pas que le jeune homme ne croie pas en sa valeur. Mais «quand je donne mon point de vue, on voit celui de mon père».

La prudence, selon lui, s'imposait donc. Et d'expliquer pourquoi il refusait constamment les nombreux «prime time» que les télés lui proposaient. «Si on me demande ce que je pense de l'Iran, on pensera que ma position est celle de l'Elysée.» Une prudence médiatique mise à mal ces dernières semaines.

Ambition dans les Hauts-de-Seine

Avec la polémique sur sa légitimité à présider l'Epad, Jean Sarkozy a vu se concrétiser avec force ses craintes originelles. Accusation de népotisme, mise à l'index médiatique, happenings associatifs pour le ridiculiser, émoi public jusque dans les rangs de la majorité. Bref, le scénario catastrophe tant redouté. Qui l'a incité finalement à revenir à sa ligne de conduite initiale: ne pas brûler trop vite les étapes au risque de se brûler les ailes. Sans pour autant renoncer à ses ambitions, notamment dans les Hauts-de-Seine.

Car si Jean Sarkozy est mal à l'aise sur sa filiation, il ne l'est pas sur le fait de chasser sur les terres patrimoniales. «Neuilly, c'est vraiment là que j'ai grandi. J'irais ailleurs juste par calcul?» Ce jeudi, sur le plateau de France2, interrogé sur une éventuelle candidature à la présidence du conseil général des Hauts-de-Seine en 2011, il s'est laissé une porte ouverte: «il sera temps de présenter un projet, il sera temps de l'incarner». Grande ouverte.

Alexandre Sulzer
 

godless

On est bien peu de chose.
VIB
POLITIQUE - Le fils du président de la République répond à la polémique autour de sa candidature à la tête de l'Epad...

Il va falloir qu'il soit plus fort s'il veut marcher dans les pas de son père. Accusé d'avoir bénéficié de son patronyme pour briguer la présidence de l'Epad, l'établissement public de La Défense, le fils du président de la république supporte de moins en moins la polémique.

«Depuis que je me suis lancé en politique, j'ai toujours fait l'objet de critiques, déclare-t-il au Parisien. Quand on fait ce métier, il faut s'y attendre, s'y préparer. Mais je suis très déterminé, très motivé et j'observe que c'est surtout la gauche qui tire sur moi. Ce sont des attaques très partiales. On oublie vite, ou on fait mine d'oublier, que j'ai été élu conseiller général du canton de Neuilly-Sud au suffrage universel. Puis élu président de groupe au conseil général des Hauts-de-Seine par mes pairs», détaille le jeune homme.

Ce procès en légitimité, on me le fera toujours.

«Depuis deux ans, je suis sur le terrain, je travaille, j'ai toujours été soutenu par ma majorité. Mais quoi que je dise, quoi que je fasse, je serai critiqué. Ce procès en légitimité, on me le fera toujours. Si je devais être jugé aux raccourcis, aux critiques, aux amalgames dont je suis l'objet, je serais probablement condamné à la perpétuité», se justifie-t-il enfin.

Jean Sarkozy reconnaît, néanmoins, avoir discuté de l'Epad avec son père. «Il est évident que j'ai informé ceux qui me sont proches, c'est normal. Cela dit, je trace ma route», a-t-il ajouté.
M. D.
Ohhh... Le pauv'chou... Calimero n'aurait pas dit mieux.

Il travaille, il travaille, il travaille... Apparemment, il travaille beaucoup, mais pas pour ses études... :D
 

godless

On est bien peu de chose.
VIB
Son altesse ne supporte pas la critique ?

quand on pense que même les meilleurs sont souvent sujets à la critique...
Oui, comme tu dis, les meilleurs.

Mais il ne comprend pas pourquoi un nul comme lui attire ainsi autant l'attention.
Peut-être vraiment trop nul pour comprendre...??? ;)
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Jean Sarkozy, moins président, mais plus crédible

POLITIQUE - Son passage à France2 a amélioré son image...

L'intervention télévisée de Jean Sarkozy , jeudi dernier, a amélioré son image aux yeux de 23% des Français, selon les questions d'actualités du baromètre BVA-Orange-L'Express-France Inter diffusé lundi.


Une preuve de sagesse pour 43% des sondés

Interrogés sur l'impact de cette intervention, 23% des personnes interrogées répondent qu'elle a plutôt amélioré l'image qu'ils avaient de Jean Sarkozy, 69% qu'elle n'a pas changé cette image, 6% qu'elle a plutôt détérioré l'image, et 2% ne se prononcent pas.
Par ailleurs, 43% des personnes interrogées estiment que le changement d'attitude de Jean Sarkozy --qui a annoncé jeudi soir au JT de France 2 qu'il renonçait à briguer la présidence de l'Epad-- est une preuve de sagesse et de maturité de sa part, 42% que c'est la preuve que son père a reculé face à l'opinion publique, et 15% ne se prononcent pas.

http://www.20minutes.fr/article/358261/Politique-Jean-Sarkozy-moins-president-mais-plus-credible.php
 

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Le mea culpa de Nicolas Sarkozy au sujet de la candidature de son fils à l'Epad

POLITIQUE - Le président regrette la polémique...

«C’était sans doute une erreur». Ces mots viennent de l’Elysée, au sujet de la candidature de Jean Sarkozy à la présidence de l’Epad.

Nicolas Sarkozy ne s'était pas opposé à la candidature de son fils cadet parce qu'il ne s'agissait pas d'une fonction «rémunérée». «Le président de l'Epad n'a pas de salaire, pas de bureau, pas de secrétaire, pas de voiture, pas de chauffeur», a ajouté une source de l’Elysée.

Accusé de népotisme

Le chef de l'Etat, qui avait lui-même présidé l'Epad lorsqu'il était élu des Hauts-de-Seine, a considéré qu'il avait «mal raisonné», selon la même une source. Le 22 octobre, Jean Sarkozy avait renoncé à briguer la présidence de l'Etablissement public d'aménagement de la Défense, après deux semaines d'intense polémique. Le président Sarkozy avait notamment été accusé de «népotisme» par l'opposition.

Avec agence
 
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