J'essaye de comprendre la religion.

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion sokoo
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Comme tu veux, ben regarde au moins le tout premier recueil de hadith, qui date de 60 de l'Hégire :). Il y a seulement 137 hadith dedans.

J'en est lu pas mal de hadiths, mais la question n'est pas là, comme je les dit, le Coran dit que Muhammad devait pas expliqué le Coran, juste le récité donc voila, pour moi sa mets fin au hadiths qui serait "l'explication du Coran".
 
J'en est lu pas mal de hadiths, mais la question n'est pas là, comme je les dit, le Coran dit que Muhammad devait pas expliqué le Coran, juste le récité donc voila, pour moi sa mets fin au hadiths qui serait "l'explication du Coran".
Selon toi le Coran dit. Mais bon, on a dit pas de débat :langue:.
 
Il faudrait lire ou relire le dogme :
- jugement particulier http://www.vatican.va/archive/FRA0013/__P2G.HTM
- jugement dernier http://www.vatican.va/archive/FRA0013/__P2K.HTM

Oui, c'est justement au Jugement dernier que je faisais référence. Et le paradis peut faire référence au lieu où les justes attendent l'heure du jugement dernier (NT, traduction oecuménique, Le Livre de poche, note sur Luc 23:43), c'est en tous cas dans ce sens là qu'il fut compris dans un premier temps.
 
Une lecture moins litteraliste ne donne pas naissance au Coranisme, ce qui à donner naissance au coranisme c'est la contradiction entre les hadiths, le peu de fiabilité qu'ils ont dans la méthodologie de leur authentification avec le Coran qui contredit tous ça.

Le Coran, comme tous livre, possède des passage littéraliste et des passage métaphorique. Le sunnisme au contraire, pour justifier les paradoxe utilise souvent l'interprétation métaphorique, pour faire dire au versets, ce qu'ils ne disent pas si il étais prit au pied de la lettre.


J'ai fais un raccourci dans le sens où le littéralisme empêche la moindre réflexion quant aux hadith.

C'est en rejetant ce type de lecture, aveugle et dogmatique qu'il y a un rejet progressif des hadith, puis cela mène au coranisme.
Après quoi, il y a relecture, et là, chaque croyant choisi sa propre grille de lecture, qui peut alors retourner vers un littéralisme complet rare ou même sans littéralisme du tout (selon que le croyant contextualise beaucoup ou non)
 
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