Cher soeur, cher frère,
Récemment converti à l'islam, je me remet en question sur le métier que j'exerce actuellement.
Effectivement, je suis trader en paris sportif, j'achète et vend des actions en fonction de leurs mouvement de cote.
Je gagne correctement ma vie et ce métier me plait vraiment.
Cependant, vagabondant régulièrement sur internet, je m'aperçois que bons nombres de soeurs et freres condamnent le fait de jouer.
Je vois souvent les versets 90 et 91 de la sourate Al-maeda revenir sans cesse pour condamner les questions en rapport avec le jeux...
Cependant je n'entend jamais personne parler du verset 93 qui nous dévoile :
93. Ce n'est pas un pêché pour ceux qui ont la foi et font de bonnes oeuvres en ce qu'ils ont consommé (du vin et des gains des jeux de hasard avant leur prohibition) pourvu qu'ils soient pieux (en évitant les choses interdites après en avoir eu connaissance) et qu'ils croient (en acceptant leur prohibition) et qu'ils fassent de bonnes oeuvres; puis qui (continuent) d'être pieux et de croire et qui (demeurent) pieux et bienfaisants. Car Allah aime les bienfaisants.
Qu'en pensez-vous?
Il est pourtant dis que ce n'était pas un pêche "à condition de" ?
Il n'est d'ailleurs jamais condamné dans le livre, tout comme l'alcool... Contrairement à la fornication pour vous donnez un exemple.
Merci à toutes et à tous pour vos futur réponses.
Paix sur vous.
Rémy.
Récemment converti à l'islam, je me remet en question sur le métier que j'exerce actuellement.
Effectivement, je suis trader en paris sportif, j'achète et vend des actions en fonction de leurs mouvement de cote.
Je gagne correctement ma vie et ce métier me plait vraiment.
Cependant, vagabondant régulièrement sur internet, je m'aperçois que bons nombres de soeurs et freres condamnent le fait de jouer.
Je vois souvent les versets 90 et 91 de la sourate Al-maeda revenir sans cesse pour condamner les questions en rapport avec le jeux...
Cependant je n'entend jamais personne parler du verset 93 qui nous dévoile :
93. Ce n'est pas un pêché pour ceux qui ont la foi et font de bonnes oeuvres en ce qu'ils ont consommé (du vin et des gains des jeux de hasard avant leur prohibition) pourvu qu'ils soient pieux (en évitant les choses interdites après en avoir eu connaissance) et qu'ils croient (en acceptant leur prohibition) et qu'ils fassent de bonnes oeuvres; puis qui (continuent) d'être pieux et de croire et qui (demeurent) pieux et bienfaisants. Car Allah aime les bienfaisants.
Qu'en pensez-vous?
Il est pourtant dis que ce n'était pas un pêche "à condition de" ?
Il n'est d'ailleurs jamais condamné dans le livre, tout comme l'alcool... Contrairement à la fornication pour vous donnez un exemple.
Merci à toutes et à tous pour vos futur réponses.
Paix sur vous.
Rémy.