Tous les écoliers d’Amérique du Nord apprennent ce poème qui commence par ces vers devenus forcément célèbres:
“In fourteen hundred ninety-two
Colombus sailed the ocean blue,”
Poème, contine écrit pour immortaliser auprès de la jeunesse la “découverte” du “nouveau monde” par la chrétienté occidentale au XVème siècle.
Colomb, un aventurier italien, mercenaire du roi d’Espagne, de son nom espagnol Cristobal Colón, qui veut dire “le colonisateur porteur de la croix” posa le pied sur les îles des Caraïbes le 12 octobre 1492, où il fit de suite érigé une croix et des gibets, histoire de donner d’entrée, le ton de l’aventure.
Le narratif colonial nous dit qu’il apporta les lumières de la civilisation chrétienne en ces terres paiennes, le poème à sa gloire citant même le “commerce des épices” avec les locaux.
Si bon nombre connaît le narratif officiel, immortalisé par le “Gégé” national dans un film de propagande de commande réalisé par Ridley Scott en 1992, dont le but évident fut de redorer l’image de Colomb ternie par la vérité historique émergeant pas à pas et contrant le narratif propagandiste colonialiste.
Le 12 octobre fut célébré pour la première fois 300 ans après l’arrivée de Colomb, le 12 octobre 1792. Le 12 octobre fut déclaré fête nationale “Colombus Day” en 1912, puis de nouveau par le président FDR en 1934. Ce n’est que plus tard, sous la présidence de Richard Nixon, en 1971, que “Colombus Day” fut établi comme fête nationale ayant lieu tous les seconds lundis du mois d’octobre.
L’arrivée de Colomb en ce jour néfaste de 1492 marqua le début du plus grand holocauste de l’histoire de l’humanité qui vit la destruction et l’annihilation d’entre 30 et plus de 100 millions d’indigènes, selon les sources, depuis cette époque sur l’ensemble du continent des Amériques. Si les chiffres sont toujours débattus, le massacre généralisé, qui continue de nos jours alors que nous écrivons ces lignes, aux Etats-Unis, au Canada, au Brésil, dans la forêt amazonienne et là où des intérêts liés aux ressources naturelles et leur exploitation par les corporations et gouvernements sont en jeu, lui est totalement avéré par les archives.
Célébrer le jour de Colomb, célébrer le mythe de la civilisation apportée au “nouveau monde”, c’est célébrer le plus grand holocauste qui s’est tenu sur cette planète et pour l’expliquer un peu mieux, laissons la place aux historiens et à la parole historique autochtone..................
http://www.espritsciencemetaphysiques.com/celebration-genocide-lhistoire-amerique.html
“In fourteen hundred ninety-two
Colombus sailed the ocean blue,”
Poème, contine écrit pour immortaliser auprès de la jeunesse la “découverte” du “nouveau monde” par la chrétienté occidentale au XVème siècle.
Colomb, un aventurier italien, mercenaire du roi d’Espagne, de son nom espagnol Cristobal Colón, qui veut dire “le colonisateur porteur de la croix” posa le pied sur les îles des Caraïbes le 12 octobre 1492, où il fit de suite érigé une croix et des gibets, histoire de donner d’entrée, le ton de l’aventure.
Le narratif colonial nous dit qu’il apporta les lumières de la civilisation chrétienne en ces terres paiennes, le poème à sa gloire citant même le “commerce des épices” avec les locaux.
Si bon nombre connaît le narratif officiel, immortalisé par le “Gégé” national dans un film de propagande de commande réalisé par Ridley Scott en 1992, dont le but évident fut de redorer l’image de Colomb ternie par la vérité historique émergeant pas à pas et contrant le narratif propagandiste colonialiste.
Le 12 octobre fut célébré pour la première fois 300 ans après l’arrivée de Colomb, le 12 octobre 1792. Le 12 octobre fut déclaré fête nationale “Colombus Day” en 1912, puis de nouveau par le président FDR en 1934. Ce n’est que plus tard, sous la présidence de Richard Nixon, en 1971, que “Colombus Day” fut établi comme fête nationale ayant lieu tous les seconds lundis du mois d’octobre.
L’arrivée de Colomb en ce jour néfaste de 1492 marqua le début du plus grand holocauste de l’histoire de l’humanité qui vit la destruction et l’annihilation d’entre 30 et plus de 100 millions d’indigènes, selon les sources, depuis cette époque sur l’ensemble du continent des Amériques. Si les chiffres sont toujours débattus, le massacre généralisé, qui continue de nos jours alors que nous écrivons ces lignes, aux Etats-Unis, au Canada, au Brésil, dans la forêt amazonienne et là où des intérêts liés aux ressources naturelles et leur exploitation par les corporations et gouvernements sont en jeu, lui est totalement avéré par les archives.
Célébrer le jour de Colomb, célébrer le mythe de la civilisation apportée au “nouveau monde”, c’est célébrer le plus grand holocauste qui s’est tenu sur cette planète et pour l’expliquer un peu mieux, laissons la place aux historiens et à la parole historique autochtone..................
http://www.espritsciencemetaphysiques.com/celebration-genocide-lhistoire-amerique.html