Le travail des enfants dans le monde témoigne actuellement de l’échec des différentes politiques entreprises afin faire de l'enfance un passage pour l'apprentissage, l'éducation et la construction de l'adulte de demain.
Le 12 juin de chaque année marque la célébration de la Journée mondiale contre le travail des enfants, l'occasion idoine pour renouveler l'engagement des États aux différents niveaux pour éradiquer le travail de cette frange de la société.
Le Maroc, à l’instar des autres pays du monde, célèbre mercredi cette journée largement soutenue par les gouvernements, les organisations d’employeurs et de travailleurs, les agences des Nations Unies et d’autres parties concernées.
Les départements gouvernementaux, les syndicats, les entreprises, les centres de recherche et les universités, ainsi que la société civile sont concernés par le travail des enfants qui les prive de leur enfance, de leur potentiel et de leur dignité mais également de leur scolarité, leur santé et de leur développement physique et mental.
"La seule chose qu'un enfant devrait faire travailler est son imagination" est le thème voulu pour cette année. “Pourtant aujourd’hui, quelque 152 millions d’enfants sont encore astreints au travail”, souligne l’Organisation internationale du travail (OIT), faisant observer que le travail des enfants est présent dans pratiquement tous les secteurs, mais avec 70% dans l’agriculture.
L’année 2019 se veut également une occasion pour célébrer 100 ans de progression de la justice sociale et de promotion du travail décent, relève l'OIT sur sur site internet, soulignant que cette commémoration mettra l’accent les progrès accomplis en 100 ans de soutien de l’OIT aux pays pour combattre le travail des enfants.
La protection des enfants est inscrite dans le Préambule de la Constitution de l'OIT, depuis sa création en 1919.
“C’est l’exploitation des enfants qui constitue le mal... le plus insupportable au cœur des hommes. Un travail sérieux en matière de législation sociale commence toujours par la protection des enfants”, souligne le Premier directeur de l'OIT, Albert Thomas.
L’année 2019 marque aussi le 20ème anniversaire de l’adoption de la Convention (n°182) sur les pires formes de travail des enfants.
Le 12 juin de chaque année marque la célébration de la Journée mondiale contre le travail des enfants, l'occasion idoine pour renouveler l'engagement des États aux différents niveaux pour éradiquer le travail de cette frange de la société.
Le Maroc, à l’instar des autres pays du monde, célèbre mercredi cette journée largement soutenue par les gouvernements, les organisations d’employeurs et de travailleurs, les agences des Nations Unies et d’autres parties concernées.
Les départements gouvernementaux, les syndicats, les entreprises, les centres de recherche et les universités, ainsi que la société civile sont concernés par le travail des enfants qui les prive de leur enfance, de leur potentiel et de leur dignité mais également de leur scolarité, leur santé et de leur développement physique et mental.
"La seule chose qu'un enfant devrait faire travailler est son imagination" est le thème voulu pour cette année. “Pourtant aujourd’hui, quelque 152 millions d’enfants sont encore astreints au travail”, souligne l’Organisation internationale du travail (OIT), faisant observer que le travail des enfants est présent dans pratiquement tous les secteurs, mais avec 70% dans l’agriculture.
L’année 2019 se veut également une occasion pour célébrer 100 ans de progression de la justice sociale et de promotion du travail décent, relève l'OIT sur sur site internet, soulignant que cette commémoration mettra l’accent les progrès accomplis en 100 ans de soutien de l’OIT aux pays pour combattre le travail des enfants.
La protection des enfants est inscrite dans le Préambule de la Constitution de l'OIT, depuis sa création en 1919.
“C’est l’exploitation des enfants qui constitue le mal... le plus insupportable au cœur des hommes. Un travail sérieux en matière de législation sociale commence toujours par la protection des enfants”, souligne le Premier directeur de l'OIT, Albert Thomas.
L’année 2019 marque aussi le 20ème anniversaire de l’adoption de la Convention (n°182) sur les pires formes de travail des enfants.