Il est des refus de combattre qui, loin d’être une capitulation, constituent de véritables actes de résistance, en l’occurrence contre la normalisation de l’image et des relations avec Israël.
A Agadir, lors des championnats du monde de judo, Amina Belkadi, la talentueuse judokate algérienne qui fait la fierté de la wilaya de Tlemcem, d’où elle est originaire, a brillé par son absence sur le tatami, portant haut les couleurs de l’Algérie rangée, historiquement et inconditionnellement, du côté de la Palestine.
A l’annonce du résultat du tirage au sort qui l’opposait à une adversaire israélienne, la championne d’Afrique dans la catégorie des moins de 63 kg n’a pas hésité une seule seconde à jeter l’éponge, en signe de sa plus vive protestation contre la chimérique “seule démocratie du Proche-Orient” mais bien réel Etat d’Apartheid, sévissant en toute impunité dans cette région du monde.
Elle a ainsi perpétué une longue tradition de boycott sportif d’Israël, marchant sur les pas d’autres athlètes algériens. Parmi eux, les forfaits salués en hauts faits d’armes, à Barcelone et à Rome, du champion d’Afrique de judo, Meziane Dahmani, et de la lutteuse Meryem Ben Moussa sont encore dans toutes les mémoires.
A Agadir, lors des championnats du monde de judo, Amina Belkadi, la talentueuse judokate algérienne qui fait la fierté de la wilaya de Tlemcem, d’où elle est originaire, a brillé par son absence sur le tatami, portant haut les couleurs de l’Algérie rangée, historiquement et inconditionnellement, du côté de la Palestine.
A l’annonce du résultat du tirage au sort qui l’opposait à une adversaire israélienne, la championne d’Afrique dans la catégorie des moins de 63 kg n’a pas hésité une seule seconde à jeter l’éponge, en signe de sa plus vive protestation contre la chimérique “seule démocratie du Proche-Orient” mais bien réel Etat d’Apartheid, sévissant en toute impunité dans cette région du monde.
Elle a ainsi perpétué une longue tradition de boycott sportif d’Israël, marchant sur les pas d’autres athlètes algériens. Parmi eux, les forfaits salués en hauts faits d’armes, à Barcelone et à Rome, du champion d’Afrique de judo, Meziane Dahmani, et de la lutteuse Meryem Ben Moussa sont encore dans toutes les mémoires.