Justement ça me met au courant.. de l'actu
Julie, qui accuse 22 pompiers de Paris de viols : la cour d'appel de Versailles rejette la requalification pour "viol"
- Initiateur de la discussion NowHereMan
- Date de début
Justement ça me met au courant.. de l'actu
Comme si à 13 ans on pouvait être consentante !
Ces 3 hommes,c'est des adultes et ils s'en prennent à une gamine de 13 ans à l'époque des faits. Ils n'ont aucune morale : ça pourrait être leur fille ou leur soeur .
La justice,en requalifiant les faits, lui donne l'impression de passer de victime à coupable en quelque sorte.
Ça va être dur pour elle de se reconstruire après tout ça
Ce pays de malheur ne fonctionne plus sur le plan de la justice,c'est insensée d'avoir et de laisser des ordures travailler dans le droit et la justice quand des décisions pareil sont prise,je vireraient sur le champs ces personnes des tribunaux,ainsi que le ministère de la justice en entier
A
AncienMembre
Non connecté
Je suis vraiment etonné tout les médias en on parlé, à part si tu ne vi pas en France...
Ou alors ça confirme ce que je pense, les merdias ne parlent pas assez de tout ça... Beurk
#JusticePourJulie : La terrible histoire d'une mineure qui aurait été violée par plusieurs pompiers de Paris
L'hashtag #JusticePourJulie a de quoi faire grincer des dents. Il dénonce des viols en réunion qu'une adolescente aurait subis pendant plusieurs années... Des viols commis par une vingtaine de sapeurs-pompiers de Paris.
Si la devise des sapeurs-pompiers de Paris est "sauver ou périr", dans le cas du hashtag #JusticePourJulie, ils n'ont ni sauvé et ont même failli faire périr. Tout commence en 2008, Julie, adolescente de 13 ans, fait la connaissance d'un pompier appartenant à la brigade d'intervention venue la chercher à son collège alors que la jeune fille a fait une crise de spasmophilie. Le soldat du feu récupère le numéro de téléphone de la victime via la fiche d'informations et entame des échanges avec elle. Julie pense que leur relation est purement amicale, il en profite pour gagner sa confiance et forcer une relation sexuelle avec elle. Il reproduit l'acte à plusieurs reprises - parfois en réunion - et donne même le numéro à ses collègues pour leur passer le "bon plan".
Dépressive suite à son premier viol, Julie est fortement médicamentée - elle se décrit elle-même comme un "légume" - et dans l'incapacité de s'ériger contre ces figures de l'autorité qu'elle avait pour habitude d'idolâtrer. Elle est rapidement étiquetée "nympho" et subit, pendant près de deux ans, des viols répétés dans des caves, des parkings et même sur le capot d'une voiture. Elle a alors entre 13 et 15 ans et ce sont près de vingt sapeurs-pompiers de Paris - tous adultes - qui ont profité d'elle. Lorsque sa mère l'apprend, elle engage immédiatement une procédure mais le chemin est long. Si les soldats du feu incriminés reconnaissent les rapports sexuels avec à l'époque la mineure, le juge d'instruction requalifie le viol aggravé en atteinte sexuelle sans violence et renvoie le dossier devant le tribunal correctionnel où les peines sont bien plus clémentes qu'aux Assises.
Tout au long de ce calvaire, Julie se scarifie, sombre de plus en plus dans la dépression et va jusqu'à se défenestrer pour en terminer avec sa souffrance. Le 21 juillet, désespérée, elle commet de nouveau une tentative de suicide et plonge dans le coma. C'est sa maman via son compte Twitter qui annonce la triste nouvelle. Julie, jeune femme désormais âgée de 24 ans et handicapée à plus de 80 %, se trouve entre la vie et la mort. Elle se réveillera quelques heures plus tard, mais aux côtés de sa mère, elle est décidée plus que jamais à faire valoir l'accusation de viol à travers notamment l'hashtag #JusticePourJulie et une pétition déjà signée par plus de 150 000 personnes. Le nouveau gouvernement d'Emmanuel Macron déjà entaché par des accusations d'agressions sexuelles et des propos sexistes interviendra-t-il dans cette sordide affaire ?
www.melty.fr
L'hashtag #JusticePourJulie a de quoi faire grincer des dents. Il dénonce des viols en réunion qu'une adolescente aurait subis pendant plusieurs années... Des viols commis par une vingtaine de sapeurs-pompiers de Paris.
Si la devise des sapeurs-pompiers de Paris est "sauver ou périr", dans le cas du hashtag #JusticePourJulie, ils n'ont ni sauvé et ont même failli faire périr. Tout commence en 2008, Julie, adolescente de 13 ans, fait la connaissance d'un pompier appartenant à la brigade d'intervention venue la chercher à son collège alors que la jeune fille a fait une crise de spasmophilie. Le soldat du feu récupère le numéro de téléphone de la victime via la fiche d'informations et entame des échanges avec elle. Julie pense que leur relation est purement amicale, il en profite pour gagner sa confiance et forcer une relation sexuelle avec elle. Il reproduit l'acte à plusieurs reprises - parfois en réunion - et donne même le numéro à ses collègues pour leur passer le "bon plan".
Dépressive suite à son premier viol, Julie est fortement médicamentée - elle se décrit elle-même comme un "légume" - et dans l'incapacité de s'ériger contre ces figures de l'autorité qu'elle avait pour habitude d'idolâtrer. Elle est rapidement étiquetée "nympho" et subit, pendant près de deux ans, des viols répétés dans des caves, des parkings et même sur le capot d'une voiture. Elle a alors entre 13 et 15 ans et ce sont près de vingt sapeurs-pompiers de Paris - tous adultes - qui ont profité d'elle. Lorsque sa mère l'apprend, elle engage immédiatement une procédure mais le chemin est long. Si les soldats du feu incriminés reconnaissent les rapports sexuels avec à l'époque la mineure, le juge d'instruction requalifie le viol aggravé en atteinte sexuelle sans violence et renvoie le dossier devant le tribunal correctionnel où les peines sont bien plus clémentes qu'aux Assises.
Tout au long de ce calvaire, Julie se scarifie, sombre de plus en plus dans la dépression et va jusqu'à se défenestrer pour en terminer avec sa souffrance. Le 21 juillet, désespérée, elle commet de nouveau une tentative de suicide et plonge dans le coma. C'est sa maman via son compte Twitter qui annonce la triste nouvelle. Julie, jeune femme désormais âgée de 24 ans et handicapée à plus de 80 %, se trouve entre la vie et la mort. Elle se réveillera quelques heures plus tard, mais aux côtés de sa mère, elle est décidée plus que jamais à faire valoir l'accusation de viol à travers notamment l'hashtag #JusticePourJulie et une pétition déjà signée par plus de 150 000 personnes. Le nouveau gouvernement d'Emmanuel Macron déjà entaché par des accusations d'agressions sexuelles et des propos sexistes interviendra-t-il dans cette sordide affaire ?
#JusticePourJulie : La terrible histoire d'une mineure qui aurait été violée par plusieurs pompiers de Paris
L'hashtag #JusticePourJulie a de quoi faire grincer des dents. Il dénonce des viols en réunion qu'une adolescente aurait subis pendant plusieurs années... Des viols commis par une vingtaine de sapeurs-pompiers de Paris.
www.melty.fr
Au contraire
Il y a tellement d'histoire sordide entre fourniret, Daval, le gars dresseurs de chiens (je ne sais plus comment il s'appelle) ect que je m'y perds
Cette histoire ne va pas faire pschitt ou ignoré par les médias comme celle de la touriste canadienne qui avait accusé des policiers au commissariat
c'est trop gros pour que ça passe comme une lettre à la poste.. la profession de Pompier est trop noble avec des valeurs morale très forte, pour qu'ils laissent cette affaire sordide sans impunité dans leur rang
c'est trop gros pour que ça passe comme une lettre à la poste.. la profession de Pompier est trop noble avec des valeurs morale très forte, pour qu'ils laissent cette affaire sordide sans impunité dans leur rang
A
AncienMembre
Non connecté
Plus de 300 sérieux, .... L'info n'a apparemment pas été assez relayé.. Pourquoi?
Je n'en sais rien
Mais c'était à quelle période de l'année ?
Ce n'est pas parce que moi je ne l'ai pas vu que forcément on en a pas parlé
A
AncienMembre
Non connecté
L'été il ya 2 ans
Et ils en ont reparlé juste avant l'affaire Paty, mais c'est passé aux oubliettes
Il vole du riz et des pâtes parce qu'il "avait faim" : 2 mois de prison ferme
Un jeune homme SDF de 18 ans, qui s'était introduit dans une maison de Figeac (Lot) pour y voler du riz et des pâtes "par nécessité", a été condamné à 2 mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Cahors. Son avocate...
Que dire ?
C'est ça l'injustice en France oh pardon la justice en France