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Philosophie, spiritualité et autres religions
L' amonisme ou l' atonisme ou culte d' Amon , la religion egyptienne ancienne : Faire revivre la religion egyptienne ancienne
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[QUOTE="adian, post: 17760956, member: 378557"] A Dendera se trouvent deux reliefs consacrés aux Hathors qui sont liés à l’intronisation de la déesse. Dans l’un, elles jouent du tambourin:dans l’autre, ce sont trois Hathors qui frappent du tambourin et quatre qui jouent à l’aide de sistres de types différents : un sistre naos et un sistre hathorique. Les sept déesses, en plus de leurs attributs hathoriques, portent la coiffe à vautour typique des déesses-mères. Hathor y reçoit diverses épithètes, parmi lesquelles : « la maîtresse du sistre naos », « la maîtresse du sistre crécelle ». La déesse est aussi appelée « Soleil féminin » : « Nous jouons du sistre pour le Soleil féminin. » Le sistre est l’instrument qui devait favoriser l’épiphanie de la déesse. Dans ce même temple de Dendera, pas moins de douze Hathors musiciennes, associées à différentes localités, jouant du sistre et du tambourin, sont encore figurées dans la décoration entourant une niche. Celle-ci servait de réceptacle pour les statues divines de la déesse Hathor. Le décor de la bordure inférieure de la niche montre que celle-ci est à interpréter comme étant « soulevée » par quatre déesses célestes soulevant le signe du ciel. Ainsi, la niche, destinée à contenir des effigies divines d’Hathor, constitue un espace céleste propice à l’apparition d’Hathor. Le rôle des Hathors musiciennes est clair : elles dansent et font de la musique pour favoriser sa présence divine dans la statue qui doit lui servir d’habitacle. Les épithètes de la déesse, la « Dorée », « celle qui brille comme l’or », la « Maîtresse du ciel » montrent qu’Hathor est vénérée en sa qualité d’entité solaire. Elle est le « disque solaire féminin égal du disque masculin ». Bien qu’aucune déesse ne joue de la harpe, une inscription du côté droit du relief indique qu’on lui joue de la harpe. Hathor est identifiée à « Meskhenet qui élève son Horus ». Elle est aussi « Celle qui est pleine de vie, qui aime la bandelette rouge »,soit une allusion au lien protecteur unissant la mère à l’enfant, probablement le cordon ombilical. Ce dernier trouve aussi son expression dans une amulette en forme de lien rouge, destinée à la protection de la naissance et la renaissance. Ce cordon rouge est lié notamment aux sept vaches du Livre des Morts, aux Sept Hathors, à Hathor, mais aussi au dieu chacal Anubis, portant un tel cordon rouge à son cou et qui joue un rôle important dans la renaissance des morts [/QUOTE]
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