l' ecriture religieuse Garshuni des chretiens arameens

Garshuni ou Karshuni ( alphabet syriaque : ޓުޫޘޢޝ , alphabet arabe : كرشوني ) sont des écritures arabes utilisant l'alphabet syriaque. Le mot "Garshuni", dérivé du mot "grasha" qui se traduit littéralement par "tirer", a été utilisé par George Kiraz pour inventer le terme "garshunographie", désignant l'écriture d'une langue dans l'écriture d'une autre. [1]
Histoire

Garshuni est né au VIIe siècle, [ citation nécessaire ] lorsque l'arabe devenait la langue parlée dominante dans le Croissant fertile , mais l'alphabet arabe n'était pas encore complètement développé. Il est prouvé que l'écriture de l'arabe en Garshuni a influencé le style de l'écriture arabe moderne.


Après cette période initiale, l'écriture Garshuni s'est poursuivie jusqu'à nos jours dans certaines communautés chrétiennes syriaques des régions arabophones du Levant et de la Mésopotamie , qui utilisent couramment l'écriture Sertâ. [2]

L' alphabet syriaque a trois variétés principales :


  • Estrangelâ (l'écriture syriaque classique),
  • Madnhâyâ (l'écriture syriaque orientale, souvent appelée « assyrienne » ou « nestorienne »),
  • Sertâ (l'écriture syriaque occidentale, souvent appelée « jacobite » ou « maronite »).

L'alphabet syriaque est étendu par l'utilisation de signes diacritiques pour écrire l'arabe Garshuni.



Garshuni script of the sertâ variety used for a story in Arabic : وَقَدْ فَاتَ ٱلْيَوْمُ بَعْدَ ٱلْيَوْمِ، وٱلْأُسْبُوعُ بًعْدَ ٱلْأُسْبُوعِ، وَلَمْ يَرْجِعْ ٱلْأَمِيرُ ٱلْأَكْبَرُ كَذَلِكَ، وَمَكَثَتِ ٱلْأَمِيرَة ٱلْمِسْكِيَنةُ مًضْطَرِبَةً مَشْغُولَةَ ٱلْبَالِ عَلَى أخَوَيْهَا. وَكُلَّمَا ٱسْتَيْقَظَتْ…
 
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