Menu
Accueil
Forums
Liste des forums
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Liste des forums
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Catégorie Principale
Actualités marocaines
Lincroyable histoire de Rkia Abouali
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="petitbijou, post: 2569760, member: 67618"] Wanted : le CD du juge Une mafia locale, selon la famille de Rkia, apprend l’existence du CD et veut l’avoir. Son objectif : se garantir aussi l’impunité en ayant un moyen de faire pression sur les juges filmés. Pour avoir le précieux sésame, des ravisseurs (que les Abouali disent connaître) vont enlever le frère de Rkia, Mohamed. Ils réclameront en échange de sa libération, le fameux CD en plus d’une rançon. Peine perdue, même s’ils avaient failli tuer le frère qu’ils avaient séquestré dans une villa à Arougo (localité voisine de Tighassaline), leur plan a été déjoué par la police.« Malgré tous ces faits, les kidnappeurs ne seront pas poursuivis », déplore la mère de Rkia. « Ce sont mes fils qui ont eu par la suite tous les problèmes du monde avec la justice à cause du CD », regrette-t-elle. Parce qu’elle n’a pas pu faire relâcher ses frères, Mohamed et Mustapha, qui sont en prison depuis plusieurs mois, Rkia va perdre patience. En 2005, dans un moment de déprime, elle se fait enregistrer dans le cadre d’une soirée dansante et bien arrosée. Son but : transmettre ce message qu’elle a répété plusieurs fois : « Je me vengerai ! ». Elle le fera quelque temps après. L’affaire du CD éclate En 2006, Rkia fait parvenir à la presse le CD où sont enregistrées les scènes du juge. Les premiers articles passent inaperçus. Mais, dès l’apparition d’autres articles, les événements prennent une autre tournure.Rkia sera interpellée et accusée, avec ses frères Mustapha et Mohamed, d’un meurtre. Ce meurtre remonte à 2004. Date à laquelle un cadavre a été découvert dans le barrage Ahensal, localité voisine de Zaouiat Cheikh. C’est une lettre anonyme qui serait à l’origine de l’accusation des Abouali, selon les autorités. Pour se défendre, Mohamed Abouali et son frère révèlent dans un entretien accordé au Reporter depuis la prison de Sidi Saïd à Meknès, que c’est l’une des personnes à l’origine de l’enlèvement de Mohamed qui serait l’auteur de la lettre anonyme. L’instruction de cette affaire a débuté le 4 mars au tribunal de 1ère instance à Meknès. Elle promet des rebondissements encore plus bouleversants. Mustapha Abouali : « Si on nous accuse aujourd’hui de meurtre. On veut bien savoir qui on a tué et pourquoi la justice a-t-elle attendu près de deux ans avant d’entamer la procédure de poursuite à notre encontre ? » « J’ai appris que lors de sa comparution récente devant des juges, Rkia a pu enregistrer les auditions au moyen d’une enregistreuse MP4 qui lui a été retirée après la découverte de cet appareil par les gardes. C’est dire que ma sœur est déterminée à aller jusqu’au bout pour se défendre. Elle a encore des choses à montrer. » Mohamed Abouali « La période d’instruction préliminaire de l’affaire pour laquelle je suis poursuivie est dépassée depuis longtemps. Pourtant, je reste en prison. Il aurait pu en être autrement si j’avais donné l’enregistrement original et les CD qu’on m’a à chaque fois réclamés ». Appel de l’AMDH et des associations Amghar et Amenzou à Khénfra : « Que justice soit faite ! » Dans un communiqué publié par la section de l’AMDH à Khénifra, l’organisation considère l’affaire de Rkia Abouali comme « l’arbre qui cache la forêt ». Elle révèle, selon l’association, les dessous de pratiques courantes dans toute la région de Khénifra. Des pratiques qui vont, précise le communiqué, de la corruption, à l’abus de pouvoir, en passant par l’encouragement de la débauche... Sur un ton encore plus ferme, les associations Amghar et Amenzou ont exigé que tous ceux que l’affaire Rkia Abouali met à nu répondent, sans exception, de leurs crimes. « Rkia, ses complices éventuels et ceux qu’elle accuse doivent être traités sur un pied d’égalité devant la justice », insiste un militant de l’association Amghar. Le Maestro en colère Moha Oulhouceine Achibane plus connu sous le surnom du Maestro est le symbole vivant de Tighassaline. Pour commenter l’affaire Rkia Abouali et l’image qu’elle renvoie de ce petit village, le célèbre artiste, peu bavard, dira : « personne ne pourra salir les « chourfa » de notre région. » Source : Le Reporter [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Catégorie Principale
Actualités marocaines
Lincroyable histoire de Rkia Abouali
Haut