Après la chute du mur de Berlin et la fin de l’URSS, une enclave communiste s’est maintenue à l’est de l’Europe.
La Biélorussie est officiellement une démocratie, mais reste en pratique une dictature. Non pas que les choix aux élections ne soient pas assez bons, mais que les candidats qui ne plaisent pas au pouvoir en place, sont arrêtés et enfermés. Le président‑dictateur s’y trouve réélu avec des scores improbables, aux environs des 85 ou 90 %.
Le territoire de cette dictature est convoité par la Russie de Poutine, parce qu’il est une frontière avec l’Europe de l’est et que le communisme y est toujours d’actualité. Poutine annonce, peut‑être en le voulant vraiment, peut‑être en draguant, qu’il souhaite l’unification de la Russie et de la Biélorussie.
Un temps, la Biélorussie était jugée non‑fréquentable. Mais à l’occasion d’une pas si lointaine guerre civile en Ukraine, toujours sur le fond de division Est/Ouest, le président dictateur a réussit le coup de se présenter en pacificateur de la région, en organisant des négociations entre Poutine et l’Europe de l’est. L’Europe de l’est n’a pas put ou pas voulu résister à ce marchandage. Une partie de la population Biélorusse, se sent trahit, mais continue à espérer un soutient de l’Europe de l’est.
Autant qu’elle espère toujours, cette population qui veut vivre dans un paya en sécurité, s’inquiète autant, l’avenir étant incertain. Les opposants politique ne semblent être libérés de prison que contre la promesse de rentré d’argent, et à Moscou, une statut du fondateur du KGB, un temps mise à terre, a été remise debout. Ors, le KGB est toujours actif en Biélorussie.
@ienouchka
C’est un résumé des points essentiels d’un documentaire ARTE, qui ne restera donc pas toujours en ligne, mais qui est posté comme il est difficile de tout résumer
La Biélorussie est officiellement une démocratie, mais reste en pratique une dictature. Non pas que les choix aux élections ne soient pas assez bons, mais que les candidats qui ne plaisent pas au pouvoir en place, sont arrêtés et enfermés. Le président‑dictateur s’y trouve réélu avec des scores improbables, aux environs des 85 ou 90 %.
Le territoire de cette dictature est convoité par la Russie de Poutine, parce qu’il est une frontière avec l’Europe de l’est et que le communisme y est toujours d’actualité. Poutine annonce, peut‑être en le voulant vraiment, peut‑être en draguant, qu’il souhaite l’unification de la Russie et de la Biélorussie.
Un temps, la Biélorussie était jugée non‑fréquentable. Mais à l’occasion d’une pas si lointaine guerre civile en Ukraine, toujours sur le fond de division Est/Ouest, le président dictateur a réussit le coup de se présenter en pacificateur de la région, en organisant des négociations entre Poutine et l’Europe de l’est. L’Europe de l’est n’a pas put ou pas voulu résister à ce marchandage. Une partie de la population Biélorusse, se sent trahit, mais continue à espérer un soutient de l’Europe de l’est.
Autant qu’elle espère toujours, cette population qui veut vivre dans un paya en sécurité, s’inquiète autant, l’avenir étant incertain. Les opposants politique ne semblent être libérés de prison que contre la promesse de rentré d’argent, et à Moscou, une statut du fondateur du KGB, un temps mise à terre, a été remise debout. Ors, le KGB est toujours actif en Biélorussie.
@ienouchka
C’est un résumé des points essentiels d’un documentaire ARTE, qui ne restera donc pas toujours en ligne, mais qui est posté comme il est difficile de tout résumer
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