Un plan dont l’objectif est désormais indubitable : renverser l’État syrien, démanteler son armée, disperser et affamer son peuple, nourrir la corruption et la discorde afin de remodeler la région selon une vision américano-israélienne désormais évidente, avec l’aide de puissances régionales et internationales qui ont utilisé le terrorisme takfiriste comme une armée de fantassins et ont œuvré chacune pour son propre compte et ses propres intérêts.
Il ne s’agissait donc pas d’instaurer la démocratie, mais de se débarrasser d’un président qui s’est entêté à soutenir la Résistance régionale et à refuser la normalisation des relations de son pays avec l’ennemi. Ce qui n’est évidemment pas le cas du nouveau président de la nouvelle Syrie, accueilli à bras ouverts par les prétendues démocraties en tant que libérateur. Et ce, en dépit de son identité terroriste.
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Il ne s’agissait donc pas d’instaurer la démocratie, mais de se débarrasser d’un président qui s’est entêté à soutenir la Résistance régionale et à refuser la normalisation des relations de son pays avec l’ennemi. Ce qui n’est évidemment pas le cas du nouveau président de la nouvelle Syrie, accueilli à bras ouverts par les prétendues démocraties en tant que libérateur. Et ce, en dépit de son identité terroriste.

« La chute de Damas »: un plan soigneusement préparé.
Le récit de Nidal Hamade n’est certes pas conforme aux détails répandus par les médias officiels, car il vient confirmer que la guerre cruelle contre la Syrie n’est pas le résultat d’un moment de c…