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Tayri nem tuder g-ul inu
TANGER (SIWEL) La première conférence de Tanger tenue les 22 et 23 juillet 2011 a appelé au terme de ses travaux les régimes nord-africains, à la réouverture des frontières algéro-marocaines fermées depuis 1994 et la reconnaissance du Conseil national libyen ainsi que du Gouvernement provisoire kabyle.
La conférence de Tanger tenue à linitiative de la Fondation Méditerranéenne de la Culture Amazighe de Tanger a aussi appelé à la reconnaissance des droits linguistiques et culturels amazighes en Tunisie et en Égypte et la fin de la colonisation espagnole aux Canaries et aux enclaves de Ceuta et Melilla.
De même que la déclaration finale a revendiqué auprès du CNT libyen lofficialisation de lidentité et de la langue amazighes.
Pour les personnalités amazighs participantes, « lidéal initié lors de la conférence historique de Tanger tenue en 1958 exprimant le souhait des trois grands partis politiques dalors de mettre sur pied, au lendemain de lindépendance de lAlgérie, une union fédérale nord-africaine des peuples ; était détourné à travers la création en deux étapes (le 10/06/1988 à Zeralda et le 17/02/1989 à Marrakech), dune organisation au sigle (UMA) ségrégationniste envers les Amazighs et au contenu si flou quil permet tous les vetos bloquant le fonctionnement et la réalisation de lunité de nos peuples et de nos territoires ».
A titre dillustration, elles rappellent que depuis février 1994, aucun sommet des chefs dEtats qui la composent na pu avoir lieu. La Déclaration de Tanger a estimé donc que « la reconnaissance officielle de lAmazighité en tant que langue, culture et identité en Afrique du nord est une condition inéluctable pour la stabilité, le développement socioéconomique durable ».
« LUnion des peuples nord-africains ne pourra se faire que sur une base fédérale équitable. », a estimé la déclaration.
La conférence de Tanger a réunis des personnalités amazighes, représentant la Kabylie, la Libye, laTunisie, lEgypte, les Îles Canaries et le Maroc.
La conférence de Tanger tenue à linitiative de la Fondation Méditerranéenne de la Culture Amazighe de Tanger a aussi appelé à la reconnaissance des droits linguistiques et culturels amazighes en Tunisie et en Égypte et la fin de la colonisation espagnole aux Canaries et aux enclaves de Ceuta et Melilla.
De même que la déclaration finale a revendiqué auprès du CNT libyen lofficialisation de lidentité et de la langue amazighes.
Pour les personnalités amazighs participantes, « lidéal initié lors de la conférence historique de Tanger tenue en 1958 exprimant le souhait des trois grands partis politiques dalors de mettre sur pied, au lendemain de lindépendance de lAlgérie, une union fédérale nord-africaine des peuples ; était détourné à travers la création en deux étapes (le 10/06/1988 à Zeralda et le 17/02/1989 à Marrakech), dune organisation au sigle (UMA) ségrégationniste envers les Amazighs et au contenu si flou quil permet tous les vetos bloquant le fonctionnement et la réalisation de lunité de nos peuples et de nos territoires ».
A titre dillustration, elles rappellent que depuis février 1994, aucun sommet des chefs dEtats qui la composent na pu avoir lieu. La Déclaration de Tanger a estimé donc que « la reconnaissance officielle de lAmazighité en tant que langue, culture et identité en Afrique du nord est une condition inéluctable pour la stabilité, le développement socioéconomique durable ».
« LUnion des peuples nord-africains ne pourra se faire que sur une base fédérale équitable. », a estimé la déclaration.
La conférence de Tanger a réunis des personnalités amazighes, représentant la Kabylie, la Libye, laTunisie, lEgypte, les Îles Canaries et le Maroc.