Quand les versets furent révélés à Mahommet, l'histoire de Isaac et son sacrifice était déjà connu des juifs arabes et quel intérêt aurait Mahommet à contredire ce qui fut connu de tous. Il se devait pour être conforme suivre l'idée selon laquelle ce fut Isaac qui fut concerné par le sacrifice. Et à aucun moment le Coran actuel ne précise que ce fut Ismael, le concerné, si véritablement Mahommet aurait voulu contredire les récits qui circulaient parmi les juifs arabes.
Avec un certain recul, si on veut démythifier cette histoire d'Abraham et d'Isaac, on peut l'interpréter comme un acte volontaire de la part du père de supprimer un fils illégitime (ou d'adoption) issu d'une relation entre Sarah et le Pharaon. Ce qui ne pouvait être le cas si ça aurait été Ismael.
Le récit du sacrifice d'Isaac est cité entre les versets 101 et 113 de la sourate 37. Et le séquençage des versets a permis aux théologiens de déduire qu'il s'agissait de Ismael, ce qui n'est pas le cas.
En effet, ce récit (101 à 113) est précédé par l'évènement de la rupture entre la communauté d'Abraham et lui-même qui les quittera. Les récits juifs parlent d'une dispute entre Abraham et son père, et s'ensuivra la punition du feu de laquelle Abraham sortira vivant. Puis, la réception de la bonne nouvelle de la naissance d'un fils, sachant d'emblée qu'Ismael est le premier fils et Isaac le deuxième d'après les théologiens musulmans, enfin vers la fin de ce récit (101 à 113) on trouve le nom d'Isaac. La logique des théologiens musulmans a voulu qu'ils ont, dans la confusion, conclut qu'entre les versets 101 à 113 on parlait de 2 fils, or le Coran ne précise rien au sujet du nom de celui qui est né, ni de celui qui est sacrifié.
Cependant, la bonne nouvelle de la naissance d'un fils à Abraham est relayé dans 4 passages différents du Coran et tous concernent Isaac : 6:84, 19:49, 21:72, 29:27. Dans tous ces passages, on parle d'Isaac et de Jacob, le second fils d'Isaac. Ainsi le Coran ne mentionne pas le premier fils d'Isaac, Esau, mais celui de son second fils qui est d'emblée son héritier dans la prophétie.
Nous n'avons aucune base crédible sur lequel se fonder pour affirmer de façon certaine que celui qui fut sacrifié était bien Ismael, au contraire tout porte à croire qu'il s'agissait d'Isaac, ce qui revient à confirmer les récits juifs.
Pour déterminer qui est l'objet d'une naissance entre Ismael et Isaac, on peut se référer au terme " bach-chara du verset 101 de la sourate 37. Ce terme n'est utilisé qu'à 3 reprises pour annoncer la nouvelle d'une naissance : Yahya (3:39), Issa (3:45) et Isaac (11:69) de façon miraculeuse.
Le passage (112 à 113) du récit (101 à 113) fait référence à l'héritage prophétique que reçut Isaac suite à l'expérience du sacrifice. Cette annonce se clôt par la bénédiction divine sur Abraham et Isaac. Nulle part dans ce récit (101 à 113) il n'y a de signes qui pourraient confirmer qu'il s'agisse d'Ismael.
Les retombés de ce récit, à condition de trouver suffisamment d'éléments pour prouver qu'Isaac fut en réalité un enfant illégitime (ou d'adoption) serait que toutes les lois établies concernant les illégitimes musulmans seraient à revoir, en particulier celle concernant la conduite des prières, l'occupation des postes de juristes etc.
Avec un certain recul, si on veut démythifier cette histoire d'Abraham et d'Isaac, on peut l'interpréter comme un acte volontaire de la part du père de supprimer un fils illégitime (ou d'adoption) issu d'une relation entre Sarah et le Pharaon. Ce qui ne pouvait être le cas si ça aurait été Ismael.
Le récit du sacrifice d'Isaac est cité entre les versets 101 et 113 de la sourate 37. Et le séquençage des versets a permis aux théologiens de déduire qu'il s'agissait de Ismael, ce qui n'est pas le cas.
En effet, ce récit (101 à 113) est précédé par l'évènement de la rupture entre la communauté d'Abraham et lui-même qui les quittera. Les récits juifs parlent d'une dispute entre Abraham et son père, et s'ensuivra la punition du feu de laquelle Abraham sortira vivant. Puis, la réception de la bonne nouvelle de la naissance d'un fils, sachant d'emblée qu'Ismael est le premier fils et Isaac le deuxième d'après les théologiens musulmans, enfin vers la fin de ce récit (101 à 113) on trouve le nom d'Isaac. La logique des théologiens musulmans a voulu qu'ils ont, dans la confusion, conclut qu'entre les versets 101 à 113 on parlait de 2 fils, or le Coran ne précise rien au sujet du nom de celui qui est né, ni de celui qui est sacrifié.
Cependant, la bonne nouvelle de la naissance d'un fils à Abraham est relayé dans 4 passages différents du Coran et tous concernent Isaac : 6:84, 19:49, 21:72, 29:27. Dans tous ces passages, on parle d'Isaac et de Jacob, le second fils d'Isaac. Ainsi le Coran ne mentionne pas le premier fils d'Isaac, Esau, mais celui de son second fils qui est d'emblée son héritier dans la prophétie.
Nous n'avons aucune base crédible sur lequel se fonder pour affirmer de façon certaine que celui qui fut sacrifié était bien Ismael, au contraire tout porte à croire qu'il s'agissait d'Isaac, ce qui revient à confirmer les récits juifs.
Pour déterminer qui est l'objet d'une naissance entre Ismael et Isaac, on peut se référer au terme " bach-chara du verset 101 de la sourate 37. Ce terme n'est utilisé qu'à 3 reprises pour annoncer la nouvelle d'une naissance : Yahya (3:39), Issa (3:45) et Isaac (11:69) de façon miraculeuse.
Le passage (112 à 113) du récit (101 à 113) fait référence à l'héritage prophétique que reçut Isaac suite à l'expérience du sacrifice. Cette annonce se clôt par la bénédiction divine sur Abraham et Isaac. Nulle part dans ce récit (101 à 113) il n'y a de signes qui pourraient confirmer qu'il s'agisse d'Ismael.
Les retombés de ce récit, à condition de trouver suffisamment d'éléments pour prouver qu'Isaac fut en réalité un enfant illégitime (ou d'adoption) serait que toutes les lois établies concernant les illégitimes musulmans seraient à revoir, en particulier celle concernant la conduite des prières, l'occupation des postes de juristes etc.