Le régiment azov n'ayant jamais eu d'activité sur territoire russe, cette décision ressemble fort à une vengeance pour la résistance acharnée à Marioupol.
Faisant fi des lois de la guerre, les russes vont ainsi condamner des prisonniers de guerre à des primes de prison pouvant aller jusqu'à 20 ans.
Faisant fi des lois de la guerre, les russes vont ainsi condamner des prisonniers de guerre à des primes de prison pouvant aller jusqu'à 20 ans.