J'étais à Marseille samedi dernier pour des achats chez des grossistes, à ma grande surprise l'écrasante majorité des commerces étaient fermés ! Je demandais à une personne aux abords d'un hôtel la raison de ces fermetures ? Il me dit, ce sont tous des Juifs et aujourd'hui, c'est chabat ils ne travaillent pas.
Je me suis souvenue en effet que les locaux commerciaux appartenaient à des commerçants juifs, mais il y a bien longtemps.
Sur le retour, j'ai médité sur ce constat, la Thora oblige la communauté juive à arrêter toute activité du coucher du soleil le vendredi à celui du samedi, soit 24 h d'arrêt absolu, alors que le samedi est une journée à haut potentiel commercial et pourtant, ils ferment, oublient tout et sont concentrés sur l'essentiel, un exemple d'obéissance religieuse qui m'a laissé pensif.
Pensif quand j'observe l'état des musulmans qui eux sont invités à abandonner tout négoce durant la prière soit au moment où l'imam monte sur le "minbar" jusqu'au salam de la prière de deux unités soit au grand maximum une heure en tout et pour tout ! 23 h pour nous une heure pour Allah !
Et pourtant, beaucoup restent ouverts, restaurants, snacks, boucherie, épicerie, etc.
Un verset coranique sur lequel ne pèse aucun doute sur son authenticité et son caractère obligatoire de l'injonction qu'il contient "Ô vous qui avez cru ! Quand on appelle à la Salat du jour du vendredi, accourez à l'invocation d'Allah et laissez tout négoce. Cela est bien meilleur pour vous, si vous saviez !" Est ignoré, abandonné, oublié...
Allah a réduit cette restriction de façon considérable par rapport à ce que les Juifs appliquent, et malgré cela rien n'y fait l'appel de la caisse enregistreuse est plus fort que celui du muezzin !
Pauvre communauté qui se plaint de son état, des discriminations qu'elle subit, et pourtant les premiers responsables sont nous-même, comment attendre du respect de la part des autres quand on bafoue un ordre coranique avec autant de facilité et sans aucune honte !
La vente durant cette période est illicite et ceci est l'avis de l'ensemble des savants toute écoles juridiques confondues !
Être musulman n'est pas un titre d'appartenance, mais une pratique globale et totale, à prendre ou à laisser.
Texte de limam Abdelkader
Je me suis souvenue en effet que les locaux commerciaux appartenaient à des commerçants juifs, mais il y a bien longtemps.
Sur le retour, j'ai médité sur ce constat, la Thora oblige la communauté juive à arrêter toute activité du coucher du soleil le vendredi à celui du samedi, soit 24 h d'arrêt absolu, alors que le samedi est une journée à haut potentiel commercial et pourtant, ils ferment, oublient tout et sont concentrés sur l'essentiel, un exemple d'obéissance religieuse qui m'a laissé pensif.
Pensif quand j'observe l'état des musulmans qui eux sont invités à abandonner tout négoce durant la prière soit au moment où l'imam monte sur le "minbar" jusqu'au salam de la prière de deux unités soit au grand maximum une heure en tout et pour tout ! 23 h pour nous une heure pour Allah !
Et pourtant, beaucoup restent ouverts, restaurants, snacks, boucherie, épicerie, etc.
Un verset coranique sur lequel ne pèse aucun doute sur son authenticité et son caractère obligatoire de l'injonction qu'il contient "Ô vous qui avez cru ! Quand on appelle à la Salat du jour du vendredi, accourez à l'invocation d'Allah et laissez tout négoce. Cela est bien meilleur pour vous, si vous saviez !" Est ignoré, abandonné, oublié...
Allah a réduit cette restriction de façon considérable par rapport à ce que les Juifs appliquent, et malgré cela rien n'y fait l'appel de la caisse enregistreuse est plus fort que celui du muezzin !
Pauvre communauté qui se plaint de son état, des discriminations qu'elle subit, et pourtant les premiers responsables sont nous-même, comment attendre du respect de la part des autres quand on bafoue un ordre coranique avec autant de facilité et sans aucune honte !
La vente durant cette période est illicite et ceci est l'avis de l'ensemble des savants toute écoles juridiques confondues !
Être musulman n'est pas un titre d'appartenance, mais une pratique globale et totale, à prendre ou à laisser.
Texte de limam Abdelkader