compteblad
PLD (Peace, Love and Diversity)
Albert se plaint de sa dotation: «Le montant actuel est juste», défend Wathelet
Edité par Gil Durand
Mis en ligne il y a 9 heures
Depuis son abdication, Albert II ne perçoit plus que 923.000 euros de dotation. Une forte diminution dont il se plaint. Mais les membres du gouvernement semblent peu enclins à aborder la question.
Depuis son abdication, Albert II ne perçoit plus 11,5 millions, mais 923.000 euros de dotation. Une forte diminution dont il se plaint. Il souhaite (et négocie) que certains frais soient repris par l’Etat. « C’est particulièrement choquant, alors que c’est une des familles les plus riches du pays », estime Theo Francken, parlementaire N-VA, cité par Belga. « Je m’attendais à ce que la question revienne un jour au Parlement, mais pas si vite », explique-t-il, craignant un nouvel affrontement entre francophones et flamands sur la question.
A leur arrivée au Kern, les membres du gouvernement ont semblé peu enclins à aborder la question. Pour Alexander De Croo, « une décision a été prise sur ces montants, il y a quelques mois. Je pense qu’il faut s’y tenir ». Pour Didier Reynders, le sujet n’est tout simplement pas à l’ordre du jour : « Quand ça sera à l’agenda, on en reparlera. S’il y a des problèmes qui se posent, je suppose que le Premier ministre nous en reparlera. En attendant, il faudra vérifier s’il y a réellement un problème… »
Melchior Wathelet a lui été plus ferme : « Cette réforme, qui fait l’objet d’une juste modération, vient d’être votée. On s’est arrêté sur un chiffre et je pense qu’il est juste. Elle est désormais bien ancrée dans notre système, il faut s’en tenir à ça. »
Edité par Gil Durand
Mis en ligne il y a 9 heures
Depuis son abdication, Albert II ne perçoit plus que 923.000 euros de dotation. Une forte diminution dont il se plaint. Mais les membres du gouvernement semblent peu enclins à aborder la question.
Depuis son abdication, Albert II ne perçoit plus 11,5 millions, mais 923.000 euros de dotation. Une forte diminution dont il se plaint. Il souhaite (et négocie) que certains frais soient repris par l’Etat. « C’est particulièrement choquant, alors que c’est une des familles les plus riches du pays », estime Theo Francken, parlementaire N-VA, cité par Belga. « Je m’attendais à ce que la question revienne un jour au Parlement, mais pas si vite », explique-t-il, craignant un nouvel affrontement entre francophones et flamands sur la question.
A leur arrivée au Kern, les membres du gouvernement ont semblé peu enclins à aborder la question. Pour Alexander De Croo, « une décision a été prise sur ces montants, il y a quelques mois. Je pense qu’il faut s’y tenir ». Pour Didier Reynders, le sujet n’est tout simplement pas à l’ordre du jour : « Quand ça sera à l’agenda, on en reparlera. S’il y a des problèmes qui se posent, je suppose que le Premier ministre nous en reparlera. En attendant, il faudra vérifier s’il y a réellement un problème… »
Melchior Wathelet a lui été plus ferme : « Cette réforme, qui fait l’objet d’une juste modération, vient d’être votée. On s’est arrêté sur un chiffre et je pense qu’il est juste. Elle est désormais bien ancrée dans notre système, il faut s’en tenir à ça. »
