La fin des traitres.
- Initiateur de la discussion saintjohn
- Date de début
J'ai deja raconte cette histoire mais comme les Americains sont a Agadir je vais la raconter.
Mon oncle, qui a fait la gueerre depuis le jour J1, nous avait fait visiter la base moi et le papa. Il a ouvert la porte d'un grand hangard sans toit. Il y avait des tanks, des jeeps, .... a perte de vue. Il s'etait tourne vers mon pere (son grand frere) tout en pointant vers les tanlk, ...
"Si Abderrahman. Cadeau des Americains."
Et oui c'etait un cadeau de Ronald Reagan apres cette excursion de Bouzarzours a Tan Tan.
PS: Dommage qu'il n'est plus la. Il faisait le sport chaque matin mais le cancer l'a eu. Il etait encore plus grand que moi. Et je suis grand.
Mon oncle, qui a fait la gueerre depuis le jour J1, nous avait fait visiter la base moi et le papa. Il a ouvert la porte d'un grand hangard sans toit. Il y avait des tanks, des jeeps, .... a perte de vue. Il s'etait tourne vers mon pere (son grand frere) tout en pointant vers les tanlk, ...
"Si Abderrahman. Cadeau des Americains."
Et oui c'etait un cadeau de Ronald Reagan apres cette excursion de Bouzarzours a Tan Tan.
PS: Dommage qu'il n'est plus la. Il faisait le sport chaque matin mais le cancer l'a eu. Il etait encore plus grand que moi. Et je suis grand.
Dernière édition:
Yabiladi rapporte plus de nouvelles.
www.yabiladi.com
Dans le sud est, le Bouzarzour est force de tirer depuis le territoire algerien. Les murs de securites
ne sont plus qu'a trois kilometres de la frontiere avec l'algirie. Depuis Guerguarat et cette proclamation
de Trump, les FAR n'ont pas chome.
Maroc-Algérie : Les FAR bombardent des positions du Polisario près du camp Rabouni [Video]
Les Forces armées royales ont riposté à des tirs de roquettes lancées par des éléments du Polisario, ce lundi. Le bombardement des FAR a visé le camp Rabouni, le siège administratif
www.yabiladi.com
Dans le sud est, le Bouzarzour est force de tirer depuis le territoire algerien. Les murs de securites
ne sont plus qu'a trois kilometres de la frontiere avec l'algirie. Depuis Guerguarat et cette proclamation
de Trump, les FAR n'ont pas chome.
Nation
arryaz
Les far ont riposté en territoire algérien ou marocain ?Yabiladi rapporte plus de nouvelles.
Maroc-Algérie : Les FAR bombardent des positions du Polisario près du camp Rabouni [Video]
Les Forces armées royales ont riposté à des tirs de roquettes lancées par des éléments du Polisario, ce lundi. Le bombardement des FAR a visé le camp Rabouni, le siège administratif
Dans le sud est, le Bouzarzour est force de tirer depuis le territoire algerien. Les murs de securites
ne sont plus qu'a trois kilometres de la frontiere avec l'algirie. Depuis Guerguarat et cette proclamation
de Trump, les FAR n'ont pas chome.
D'apres cet article cote polisarien (algerie) car les roquettes sont venus de la.
Si c'est vrai c'est une premiere.
PS: Le maroc officiel ne dit rien. Ni vu ni connu.
si il y a eu une riposte, ça ne peut être que vers l'intérieur du territoire algérien. Et d'ailleurs ça s'appelle une agression ce qu'a fait les sandalos car c'est depuis le territoire algérien, l'Algérie n'a qu'a retenir son clébard (enfin son cousin clébard)
Nation
arryaz
Je posais la question car aucun journal du voisin pourri que le Maroc a le malheur d'avoir n'en parle et les conaissant ils en auraient parlé, ils ne peuvent pas nous oublier ...tebboune ce clochard parle du Maroc et rêve du Maroc et va aux toilettes en pensant au Maroc
Le Maroc les ignorent ces clochards... ya9lou sebbat ou de9 ghir bel bared...
Quand le président algérien use de la rhétorique va-t-en-guerre contre le Maroc pour asseoir sa légitimité
-Par : Adil ZAARI JABIRI-
Paris – Jamais sans mes généraux ! C’est le message subliminal autour duquel le président algérien Abdelmajid Tebboune a construit toute la trame de l’interview fleuve accordée au magazine français «Le Point», avec une forte rhétorique va-t-en-guerre contre le Maroc, son seul leitmotiv pour se maintenir au pouvoir.
Passée l’introduction hagiographique imbibée à l’eau de rose par les journalistes algériens qui ont réalisé ce publi-interview illustré d’un portrait plein page du “Raiss”, les réponses de Tebboune cachaient mal le malaise d’un président impopulaire devant la colère de la rue que rien ne semble arrêter, sauf le rétablissement d’un ordre civil dans le pays avec de vraies institutions démocratiques.
«Le pays était au bord du gouffre. Heureusement qu’il y a eu le sursaut populaire, le Hirak authentique et béni», disait-il ou plutôt ironisait-il avec ses interlocuteurs, leur suggérant l’image d’un pays à la pointe de la démocratie, alors que pas moins de 200 prisonniers politiques de ce même Hirak et des dizaines de journalistes et militants croupissent dans les geôles d’El-Harrach et dans les centres de détention et de torture tenus secrets par l’armée.
Le président Tebboune enchaîne sur son délire symptomatique de sa sénescence avancée en précisant qu’il a été « le candidat du peuple et de la jeunesse», oubliant qu’à son âge (75 ans), on prend de la bouteille et on passe le relais, sachant que cette jeunesse au nom de laquelle il parle réclame aujourd’hui un nouvel ordre politique et une véritable démocratie, loin de ce discours soporifique de gérontocrates finissants et toujours assoiffés de pouvoir.
A propos de cette démocratie justement, Tebboune n’a pas hésité à défendre mordicus les vertus du parti unique, “un parti présidentiel” qu’il envisage de créer “plus tard”, car à ses yeux les formations politiques d’aujourd’hui “ne sont pas représentatives” de la volonté populaire de l’Algérie. Autrement dit, « le peuple c’est moi » à la manière de la formule absolutiste de Louis XIV “l’état c’est moi”, avec une adaptation algérienne «moi et mes généraux».
Quand le président algérien use de la rhétorique va-t-en-guerre contre le Maroc pour asseoir sa légitimité
-Par : Adil ZAARI JABIRI-
Paris – Jamais sans mes généraux ! C’est le message subliminal autour duquel le président algérien Abdelmajid Tebboune a construit toute la trame de l’interview fleuve accordée au magazine français «Le Point», avec une forte rhétorique va-t-en-guerre contre le Maroc, son seul leitmotiv pour se maintenir au pouvoir.
Passée l’introduction hagiographique imbibée à l’eau de rose par les journalistes algériens qui ont réalisé ce publi-interview illustré d’un portrait plein page du “Raiss”, les réponses de Tebboune cachaient mal le malaise d’un président impopulaire devant la colère de la rue que rien ne semble arrêter, sauf le rétablissement d’un ordre civil dans le pays avec de vraies institutions démocratiques.
«Le pays était au bord du gouffre. Heureusement qu’il y a eu le sursaut populaire, le Hirak authentique et béni», disait-il ou plutôt ironisait-il avec ses interlocuteurs, leur suggérant l’image d’un pays à la pointe de la démocratie, alors que pas moins de 200 prisonniers politiques de ce même Hirak et des dizaines de journalistes et militants croupissent dans les geôles d’El-Harrach et dans les centres de détention et de torture tenus secrets par l’armée.
Le président Tebboune enchaîne sur son délire symptomatique de sa sénescence avancée en précisant qu’il a été « le candidat du peuple et de la jeunesse», oubliant qu’à son âge (75 ans), on prend de la bouteille et on passe le relais, sachant que cette jeunesse au nom de laquelle il parle réclame aujourd’hui un nouvel ordre politique et une véritable démocratie, loin de ce discours soporifique de gérontocrates finissants et toujours assoiffés de pouvoir.
A propos de cette démocratie justement, Tebboune n’a pas hésité à défendre mordicus les vertus du parti unique, “un parti présidentiel” qu’il envisage de créer “plus tard”, car à ses yeux les formations politiques d’aujourd’hui “ne sont pas représentatives” de la volonté populaire de l’Algérie. Autrement dit, « le peuple c’est moi » à la manière de la formule absolutiste de Louis XIV “l’état c’est moi”, avec une adaptation algérienne «moi et mes généraux».
Arrive ensuite le volet international de l’interview où le président Algérien s’est rêvé en philanthrope, tressant des balivernes à ses hôtes quand il les a bluffés, par exemple, sur «l’expertise» incommensurable et incomparable de son pays dans la lutte antiterroriste et «qui a fait éviter des tragédies à la France, à la Belgique et à d’autres», avant qu’il ne se rende compte vite de l’ampleur de sa bêtise, en affirmant vouloir rester «discret» sur le sujet, «car il s’agit de sauvegarder des vies humaines en Europe et partout». Il oublie que ce même magazine et bien d’autres ont fait de longs reportages sur les terroristes algériens dont Abdelmalek Droudkel et Mokhtar Belmokhtar qui écumaient le désert subsaharien et le tout dernier Abou Oubeida Youssef al-Annabi, l’actuel émir de l’organisation terroriste Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) dont la tête est mise à prix par les Etats Unis à pas moins de 7 millions de dollars. Il y a aussi Iyad Ag Ghali, chef du groupe dit “Ensar Eddine”, à l’origine de l’assaut contre Bamako en 2013 et qui a déclenché l’opération militaire française “Serval”, puis l’ancien lieutenant du Mujao Adnan Abou Walid al-Sahraoui, qui n’est autre qu’un ancien mercenaire du Polisario. Bref, la liste est longue et les preuves des accointances avérées des terroristes avec les services secrets algériens ne manquent pas.
Fuyant les questions qui fâchent, notamment celles qui risquent de provoquer l’ire des généraux qui ne le lâchent pas d’une semelle, le président Tebboune prend ensuite la tangente vers le sujet «Maroc», sa zone de confort dans laquelle il déverse ses frustrations et noie son chagrin.
Abordant ce qu’il a appelé «la rupture avec le Maroc», le président algérien s’est livré à un exercice de bombage de torse puéril dans une posture obséquieuse et servile ridicule devant ses généraux, avant de se lancer dans une diatribe va-t-en-guerre en accusant le Royaume de tous les maux, avec que des mots sans la moindre preuve.
Le même spleen perfide et venimeux ruisselait à travers ses insinuations qui sentaient la rancune et le dédain et ses vociférations indignes d’un chef d’État à l’encontre des institutions sacrées du Royaume quand il répondait à une question sur le Sahara marocain.
Que dire après tant de divagations ? Dans un État de droit où les institutions et le peuple sont respectés, une sortie médiatique aussi calamiteuse que celle dont «le bien aimé» président Tebboune a gratifié ses lecteurs vaut un procès public. En attendant, gardons nos frontières fermées, rempart à toutes les dérives venues de l’Est !
http://www.mapexpress.ma/actualite/...-t-en-guerre-contre-maroc-asseoir-legitimite/
Fuyant les questions qui fâchent, notamment celles qui risquent de provoquer l’ire des généraux qui ne le lâchent pas d’une semelle, le président Tebboune prend ensuite la tangente vers le sujet «Maroc», sa zone de confort dans laquelle il déverse ses frustrations et noie son chagrin.
Abordant ce qu’il a appelé «la rupture avec le Maroc», le président algérien s’est livré à un exercice de bombage de torse puéril dans une posture obséquieuse et servile ridicule devant ses généraux, avant de se lancer dans une diatribe va-t-en-guerre en accusant le Royaume de tous les maux, avec que des mots sans la moindre preuve.
Le même spleen perfide et venimeux ruisselait à travers ses insinuations qui sentaient la rancune et le dédain et ses vociférations indignes d’un chef d’État à l’encontre des institutions sacrées du Royaume quand il répondait à une question sur le Sahara marocain.
Que dire après tant de divagations ? Dans un État de droit où les institutions et le peuple sont respectés, une sortie médiatique aussi calamiteuse que celle dont «le bien aimé» président Tebboune a gratifié ses lecteurs vaut un procès public. En attendant, gardons nos frontières fermées, rempart à toutes les dérives venues de l’Est !
http://www.mapexpress.ma/actualite/...-t-en-guerre-contre-maroc-asseoir-legitimite/
Comment peuvent ils dire quoi que ce soit alors que chaque jour ils nous pondent un communique de guerre avec des attaques sur lles FAR qui n'existent que dans leur imagination?
Ca me fait rire la scene ou ils rentrent dans le cafe avec le Guezzar juste a cote.
Ou est passe Bouzarzour? L'armee americaine est a Mahbes.
fb.watch
استمرار التدريبات المغربية الأميركية المشتركة "الأسد الافريقي 2021 " بمشاركة نحو 10 آلاف عسكري مغربي وأميركي وآخرين من ثماني دول | استمرار التدريبات المغربية الأميركية المشتركة "الأسد الافريقي 2021 " بمشاركة نحو 10 آلاف عسكري مغربي وأميركي وآخرين من
استمرار التدريبات المغربية الأميركية المشتركة "الأسد الافريقي 2021 " بمشاركة نحو 10 آلاف عسكري مغربي وأميركي وآخرين من ثماني دول التفاصيل مع مراسلتنا...
fb.watch
Ssi Saint Jhones, ils ne mérite pas had Bouzgendel en sandalette... qu'on les appels bou Zarzour, qui signifie le père "Bou, Ait"de Zarzour..Ou est passe Bouzarzour? L'armee americaine est a Mahbes.
استمرار التدريبات المغربية الأميركية المشتركة "الأسد الافريقي 2021 " بمشاركة نحو 10 آلاف عسكري مغربي وأميركي وآخرين من ثماني دول | استمرار التدريبات المغربية الأميركية المشتركة "الأسد الافريقي 2021 " بمشاركة نحو 10 آلاف عسكري مغربي وأميركي وآخرين من
استمرار التدريبات المغربية الأميركية المشتركة "الأسد الافريقي 2021 " بمشاركة نحو 10 آلاف عسكري مغربي وأميركي وآخرين من ثماني دول التفاصيل مع مراسلتنا...
les Zarzouris c'est l' une des quatre branches des BeniZnassen (Ait-iznassen )de Tafoughalt, la branche majoritaire qui comptaient le plus de guerrier redoutable dans les plaine de trifa Angad etc...depuis plusieurs siècles, La France avait donner le nom à un de le leur char d'assaut Le char B1 bis "Béni Snassen"
Expédition contre les Yat Iznassen — Wikipédia
L'expédition française contre les Beni-Snassen est une expédition militaire française dirigée depuis l'Algérie en 1859, donnant lieu à des ripostes guerrières sur un territoire à cheval entre le Maroc et l'Algérie1.
Cette expédition était composée de militaires français et de zouaves, et s'est déroulée 15 années après la bataille d'Isly.
Alors Frakchia ca te vas?Ssi Saint Jhones, ils ne mérite pas had Bouzgendel en sandalette... qu'on les appels bou Zarzour, qui signifie le père "Bou, Ait"de Zarzour..
les Zarzouris c'est l' une des quatre branches des BeniZnassen (Ait-iznassen )de Tafoughalt, la branche majoritaire qui comptaient le plus de guerrier redoutable dans les plaine de trifa Angad etc...depuis plusieurs siècles, La France avait donner le nom à un de le leur char d'assaut Le char B1 bis "Béni Snassen"
Expédition contre les Yat Iznassen — Wikipédia
fr.wikipedia.org
L'expédition française contre les Beni-Snassen est une expédition militaire française dirigée depuis l'Algérie en 1859, donnant lieu à des ripostes guerrières sur un territoire à cheval entre le Maroc et l'Algérie1.
Cette expédition était composée de militaires français et de zouaves, et s'est déroulée 15 années après la bataille d'Isly.