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[QUOTE="AncienMembre, post: 16287303"] [B]6. 600 voitures dans le garage royal[/B] De son grand-père Mohamed V et de son père Hassan II, , également collectionneurs, il a hérité un goût pour les voitures. Contrairement aux Rolls et Cadillac de ses prédécesseurs, Mohamed VI a opté pour des modèles sportifs. Sa collection de voitures de luxe et anciennes s’élève à 600, ce qui consomme six millions d’euros du budget annuel marocain. Des équipes spéciales s’occupent de l’entretien dans un parc de stationnement de la Route des Zaer à Rabat, même s’il ne les conduit presque jamais. Ce n’est pas seulement une question d’image, mais une vieille histoire d’amour qui a commencé quand il avait 10 ans et a reçu comme cadeau d’anniversaire une mini-Jeep Renegade qu’il conduisait dans les rues du palais. Une photo de lui, à bord de ce jouet, a circulé sur les réseaux sociaux. Et puis à son fils Moulay Hassan il a aussi donné une voiture semblable pour ses 5 ans, ce qui a rendu la tâche difficile aux chauffeurs du palais car le prince pouvait monter dans la voiture à tout moment. Pour des escapades dans des villes incognito, il préfère conduire lui-même et la plupart du temps au volant de divers modèles de luxe de marque Mercedes, Ferrari, Bentley, Rolls-Royce ou Aston Martin. En 2009, il a envoyé réparer son Aston Martin DB7 à bord d’un Hercules de l’armée à Newport (Angleterre). Les journaux britanniques s’étaient fait l’écho des plainte d’écologistes au sujet de la pollution générée par un voyage de plus de 2 000 kilomètres, alors que l’affaire aurait pu se régler à Malaga, une destination proche. La passion du roi pour les voitures de luxe et de collection est internationalement connue et lors d’une visite de travail à Prague en 2016, le président tchèque l’a reçu avec cinq voitures de collection. Au Maroc, cela a créé une tendance et il est imitée par ceux qui ont les moyens d’acheter des voitures haut de gamme. C’est arrivé quand en 2002, après le tremblement de terre d’Al Hoceima, le monarque est apparu dans la ville du Rif dans une Land Rover Sport Supercharged, et les riches Marocains se sont mis à acheter cette voiture de sport britannique, qui vaut 85 000 euros. En un an, ses ventes au Maroc ont augmenté de 200%. [B]7. La holding royale[/B] Les analystes politiques observent que Mohamed VI est plus doué pour les affaires que pour la politique, ou du moins se sent mieux dans le secteur des affaires. En effet, il contrôle le plus grand groupe financier marocain, Al Mada, présent dans les secteurs les plus stratégiques de l’économie marocaine. La famille royale, en plus de ses nombreuses terres et résidences, obtient la majeure partie de sa fortune du plus grand groupe privé du pays. La holding était un héritage royal, mais seulement 13% de l’ancienne Société Nationale d’Investissement (SNI), le plus grand groupe privé du pays. Cependant, au cours de ces 20 années, elle s’est renforcée et le groupe s’est développé. C’est aujourd’hui un empire qui possède des parts dans plus d’une trentaine d’entreprises, dont certaines multinationales, réparties dans une quinzaine de secteurs économiques importants. Certains citoyens comprennent la présence du roi dans les affaires comme un moyen de stimuler l’investissement dans l’économie du royaume. Cependant, loin des bureaux, d’autres citoyens ont affronté le pouvoir économique du roi et de ses hommes d’affaires avec le boycott de trois grandes marques, l’eau Sidi Ali, les produits Danone et les stations-service Afriquia. Un appel mystérieux de plusieurs pages Facebook en avril 2018 a été appuyé par près de la moitié de la population pendant des mois pour dénoncer non seulement les prix élevés par rapport aux salaires, mais aussi que ces entreprises appartiennent à des personnes influentes dans le secteur économique et politique du pays. [/QUOTE]
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