Des objets représentant des restes humains, découverts lors de fouilles au cimetière Rouazi à Skhirat.
PATRIMOINE - L’Université de Bordeaux a restitué à l’Institut national des sciences de l’archéologie et du patrimoine (INSAP) du royaume, 20 objets représentant des restes humains, sous forme de résidus en os, découverts au cours de fouilles au cimetière Rouazi, souligne le ministère de la Culture et de la Communication dans un communiqué.
Découvert en 1979, le site de Rouazi à Skhirat comprend la plus conséquente collection funéraire du néolithique au Maroc atlantique septentrional. Ces fouilles, qui avaient été entreprises dans le cadre de la coopération franco-marocaine dans le domaine, ont révélé la présence d’au moins 87 tombes et 14 emplacements de restes humains, précise le document.
Une partie des résidus osseux humains a été transférée au laboratoire PACEA de l’Université de Bordeaux, en France, pour des études approfondies visant à établir sa datation précise et sa restauration appropriée, souligne la même source ajoutant qu’une lettre d’intention portant sur la coopération franco-marocaine dans le domaine de l’archéologie à l’ère préhistorique sera signée jeudi 26 septembre au siège de l’Institut.
Ces vestiges archéologiques permettront la création d’une base de références au sein de l’INSAP destinée à la formation de jeunes étudiants et chercheurs principalement intéressés par la période préhistorique du Royaume, indique la même source. Cette section sera renforcée par la signature d’une série d’accords de coopération avec la partie française, ainsi que l’ouverture d’un parc préhistorique à Casablanca.
HuffPost Maroc avec MAP
PATRIMOINE - L’Université de Bordeaux a restitué à l’Institut national des sciences de l’archéologie et du patrimoine (INSAP) du royaume, 20 objets représentant des restes humains, sous forme de résidus en os, découverts au cours de fouilles au cimetière Rouazi, souligne le ministère de la Culture et de la Communication dans un communiqué.
Découvert en 1979, le site de Rouazi à Skhirat comprend la plus conséquente collection funéraire du néolithique au Maroc atlantique septentrional. Ces fouilles, qui avaient été entreprises dans le cadre de la coopération franco-marocaine dans le domaine, ont révélé la présence d’au moins 87 tombes et 14 emplacements de restes humains, précise le document.
Une partie des résidus osseux humains a été transférée au laboratoire PACEA de l’Université de Bordeaux, en France, pour des études approfondies visant à établir sa datation précise et sa restauration appropriée, souligne la même source ajoutant qu’une lettre d’intention portant sur la coopération franco-marocaine dans le domaine de l’archéologie à l’ère préhistorique sera signée jeudi 26 septembre au siège de l’Institut.
Ces vestiges archéologiques permettront la création d’une base de références au sein de l’INSAP destinée à la formation de jeunes étudiants et chercheurs principalement intéressés par la période préhistorique du Royaume, indique la même source. Cette section sera renforcée par la signature d’une série d’accords de coopération avec la partie française, ainsi que l’ouverture d’un parc préhistorique à Casablanca.
,faut pas oublier qu'ils sont marocains donc c'est une bonne nouvelle