Menu
Accueil
Forums
Nouveaux messages
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Nouveaux messages
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Catégorie Principale
Actualités internationales
La guerre froide se réchauffe : l’otan qualifie la russie d’ennemie
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="thitrite, post: 12802756, member: 228473"] Obama et le « facteur mauviette », par Alain Frachon(lemonde.fr) Barack Obama est-il un mou en politique étrangère ? Incapable de tenir tête à Vladimir Poutine dans la crise ukrainienne. Incapable d’enrayer la tragédie syrienne. Incapable d’imposer sa volonté aux Israéliens (et aux Palestiniens). Incapable d’empêcher la Libye de basculer dans le djihadisme. Incapable d’entraîner les Européens dans une action concertée, ici ou là, etc. La liste est longue des bons ou mauvais procès intentés au président américain. Le sentiment le plus volontiers partagé est celui de la déception – petite pour les uns, grande pour les autres. Rien de plus normal en un sens : Barack Obama est victime de son talent d’orateur. Ses grands discours sur l’état du monde sont brillants dans la forme, intellectuellement puissants, empreints d’un humanisme de portée universelle. A l’aune d’une telle verve, l’action diplomatique pâlit, peine, patine, affrontant la résistance et la complexité du réel. A Washington, les néoconservateurs jugent que Barack Obama rabaisse le statut de l’Amérique. Ils flirtent avec l’accusation suprême, infâme, un temps portée, à tort, contre Bill Clinton : le président souffrirait du « wimp factor » – en gros, il aurait un comportement de mauviette. Sa politique de la main tendue à la Russie – le « reset » – est un échec. Obama a multiplié les gestes à l’adresse de Moscou : pas d’extension de l’OTAN à l’Ukraine ou à la Géorgie ; démantèlement d’une partie du système antimissiles américain en Europe ; pas d’appui substantiel à la rébellion syrienne ; pas de réplique militaire après l’emploi de l’arme chimique par le protégé des Russes, Bachar Al-Assad – pourtant une « ligne rouge » édictée par la Maison Blanche. L’ensemble, disent les néoconservateurs, a été perçu au Kremlin comme autant de signes de faiblesse. [url]http://www.panorapost.com/obama-et-le-facteur-mauviette-par-alain-frachon/[/url] [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Catégorie Principale
Actualités internationales
La guerre froide se réchauffe : l’otan qualifie la russie d’ennemie
Haut