atypique
Ça te regarde?
Bonjour,
J'ai décidé de faire une introspection et de me mettre face à ma conscience.
Je ne vais pas rentrer dans certains détails, mais il y a un certain temps j'ai côtoyé et respecté une femme à qui je n'ai jamais rien promis.
De fait de certains de ses problèmes (indépendants de sa volonté) je me suis toujours résigné à n'éprouver aucun sentiment envers elle, ni aucun attachement, à n'avoir aucune visibilité avec elle dans l'avenir.
Elle m'a avoué plusieurs fois ses sentiments auxquels je n'ai jamais répondu. Elle a traversé des dures épreuves mais je n'ai pas été là pour la soutenir. Il n'y a eût que des contacts sporadiques auxquels j'ai tardé à répondre.
Je tiens à préciser que je n'ai pas abusé d'elle sexuellement car je ne me voyais pas finir ma vie avec elle. Je sais également que je suis le premier homme pour qui elle a éprouvé des sentiments.
Aujourd'hui encore elle m'envoie quelques textos, auxquels je ne réponds pas ou par pitié.
Je n'ai pas le courage d'être franc avec elle car je sais que je la ferais souffrir; ce que je ne veux pas absolument pas. Je pars de l'hypothèse que mes silences et absences sont un message pour elle. Ca m'embête de la voir souffrir.
Mais de cette introspection et de cette histoire découle plusieurs aspects quant à mes rapports avec les femmes:
Je me dis si je veux faire ma vie avec l'une d'entre elles, je dois savoir l'écouter, la respecter, la considérer, être patient ne pas avoir le réflexe pavlovien qui consiste à la mettre dans des cases et la juger au premier abord sans la connaître.....et surtout ne pas réduire l'être humain qu'elle est à un objet qui serait facilement interchangeable, car je pense sincèrement que ses sentiments ainsi que sa sensibilité ne le sont pas.
Moralité: je crois que je viens de m'apercevoir que la cohabitation des sentiments humains est chose très difficile qui engendre beaucoup de souffrance.
J'ai décidé de faire une introspection et de me mettre face à ma conscience.
Je ne vais pas rentrer dans certains détails, mais il y a un certain temps j'ai côtoyé et respecté une femme à qui je n'ai jamais rien promis.
De fait de certains de ses problèmes (indépendants de sa volonté) je me suis toujours résigné à n'éprouver aucun sentiment envers elle, ni aucun attachement, à n'avoir aucune visibilité avec elle dans l'avenir.
Elle m'a avoué plusieurs fois ses sentiments auxquels je n'ai jamais répondu. Elle a traversé des dures épreuves mais je n'ai pas été là pour la soutenir. Il n'y a eût que des contacts sporadiques auxquels j'ai tardé à répondre.
Je tiens à préciser que je n'ai pas abusé d'elle sexuellement car je ne me voyais pas finir ma vie avec elle. Je sais également que je suis le premier homme pour qui elle a éprouvé des sentiments.
Aujourd'hui encore elle m'envoie quelques textos, auxquels je ne réponds pas ou par pitié.
Je n'ai pas le courage d'être franc avec elle car je sais que je la ferais souffrir; ce que je ne veux pas absolument pas. Je pars de l'hypothèse que mes silences et absences sont un message pour elle. Ca m'embête de la voir souffrir.
Mais de cette introspection et de cette histoire découle plusieurs aspects quant à mes rapports avec les femmes:
Je me dis si je veux faire ma vie avec l'une d'entre elles, je dois savoir l'écouter, la respecter, la considérer, être patient ne pas avoir le réflexe pavlovien qui consiste à la mettre dans des cases et la juger au premier abord sans la connaître.....et surtout ne pas réduire l'être humain qu'elle est à un objet qui serait facilement interchangeable, car je pense sincèrement que ses sentiments ainsi que sa sensibilité ne le sont pas.
Moralité: je crois que je viens de m'apercevoir que la cohabitation des sentiments humains est chose très difficile qui engendre beaucoup de souffrance.