La liberté des uns s'arrêtent là où commencent celles des autres

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Simple4551
  • Date de début Date de début
La liberté des uns s'arrêtent là où commencent celles des autres .
Connaissez vous des situations où la liberté des uns ne s'arrêtent pas là où commencent celles des autres ?
 
Quand des médecins veulent te faire accepter de force n'importe quelle opération ou traitement, parce que soi disant eux savent mieux que toi ce que tu veux alors que tu as dit non bien clairement.

Le 23 mars 2016, ils m'ont programmé une ablation de la quasi totalité de mon estomac alors que j'avais dit non, sous de faux prétextes ils m'ont préparé physiquement à l'opération et fait les démarches dans mon dos, comme si j'allais finir par accepter de me laisser mutiler à vie.

Mais j'ai tenu, j'ai découvert la magouille, et leur ai dit d'aller se faire voir, c'est ma liberté, mon choix, mon droit de refuser, ils ont cru pouvoir passer outre et toucher une petite fortune sur mon dos en creusant le trou de la sécu.
 
La liberté des uns s'arrêtent là où commencent celles des autres .
Connaissez vous des situations où la liberté des uns ne s'arrêtent pas là où commencent celles des autres ?
Oui quand je dispose de plus de pouvoir que toi.
Ainsi dans une dictature la liberté de la presse s'arrête là on y voit une critique du régime en place ce qui n'est pas le cas en France par exemple. Mais une chose est sûre une liberté absolue n'existe pas.
 
La liberté des uns s'arrêtent là où commencent celles des autres .
Connaissez vous des situations où la liberté des uns ne s'arrêtent pas là où commencent celles des autres ?

Quand le gouvernement prélève une part du revenu des riches et le redistribue aux pauvres, d'une certaine manière c'est une violation de la liberté... au nom d'une autre valeur peut-être, ou simplement pour éviter la révolte, mais une violation de la liberté quand même.
 
Mais non....

Le consentement populaire à l'impôt est un principe à valeur constitutionnelle, inscrit dans la déclaration des droits de l'homme de 1789.

C'est un grand principe des finances publiques et les personnes riches ne sont pas les seules concernées.
 
Mais non....

Le consentement populaire à l'impôt est un principe à valeur constitutionnelle, inscrit dans la déclaration des droits de l'homme de 1789.

C'est un grand principe des finances publiques et les personnes riches ne sont pas les seules concernées.

Ça dépend.

C'est évidemment inévitable de lever des impôts pour payer des services comme la sécurité, la défense, les infrastructures, la protection de l'environnement, l'éducation. On parle de biens publics, tout le monde en profite d'une manière ou d'une autre.

Mais c'est controversé de taxer les riches qui ont travaillé pour mériter leur argent, pour le redistribuer aux pauvres, dont certains ne font rien d'utile...
 
Ds une relation parents enfant

C'est pas pareil.

L'enfant est pas maître de lui, il n'est pas autonome. Il faut donc le protéger et l'éduquer, même parfois contre sa volonté. Mais graduellement, on peut lui donner des choix et lui laisser de l'espace.

C'est comme les fous. Ils ne sont pas maîtres d'eux. Donc il faut parfois limiter leur liberté contre leur volonté, dans leur propre intérêt et dans celui des autres personnes.

Ça ne contredit pas le principe de base de la philosophie libérale.
 
Ça dépend.

C'est évidemment inévitable de lever des impôts pour payer des services comme la sécurité, la défense, les infrastructures, la protection de l'environnement, l'éducation. On parle de biens publics, tout le monde en profite d'une manière ou d'une autre.

Mais c'est controversé de taxer les riches qui ont travaillé pour mériter leur argent, pour le redistribuer aux pauvres, dont certains ne font rien d'utile...

Bonsoir Ebion,

Et bien justement tu parles de services publics ! Les riches bénéficient aussi des services publics hein. ^^

Et ton deuxième argument suppose que les pauvres ne travaillent pas... C'est totalement faux la plupart d'entre eux travaillent, mais leur rémunération ne leur permet pas de vivre décemment. On ne va pas leur demander de contribuer alors qu'ils s'en sortent à peine ! Sauf une petite contribution à la rigueur, mais il faudra alors déterminer le montant de cette dernière.

En fait, tu pointes du doigt ceux qui bénéficient de prestations sociales sans lever le pouce. Ben dans ce cas-là, établissons des contrôles plus rigoureux.

Ah et puis finalement ce ne sont pas les riches les gros perdants dans l'histoire. Eux s'en sortent bien, ne t'inquiètes pas. C'est plutôt la classe moyenne qui galère.
 
Retour
Haut