Les capitales occidentales ne traitent pas Israël comme un État capable de massacrer des enfants, mais comme une cause sacrée. Et toute opposition doit donc devenir un blasphème.
On ressort de la consultation des médias de l’establishment avec l’impression qu’Israël et ses plus ardents défenseurs sont en train de mener une lutte désespérée contre une nouvelle vague d’antisémitisme en Occident.
Article après article, on nous explique qu’Israël et les instances dirigeantes juives occidentales s’alarment de l’augmentation des incidents haineux à l’encontre des Juifs et nous exhortent de nous en préoccuper et de nous en indigner. Des organisations telles que le Community Security Trust au Royaume-Uni et l’Anti-Defamation League aux États-Unis produisent de longs rapports sur l’augmentation incessante de l’antisémitisme, en particulier depuis le 7 octobre, et répètent qu’il est urgent d’agir.
Il ne fait aucun doute que l’antisémitisme constitue une menace réelle et, comme toujours, il provient essentiellement de l’extrême droite. Les actions d’Israël – et sa fausse prétention à représenter tous les Juifs – ne font que l’alimenter.
Mais cette panique morale a un objectif précis. Elle détourne notre attention des preuves concrètes et irréfutables qu’Israël commet un génocide à Gaza, en massacrant et mutilant des dizaines de milliers d’innocents.
Elle attire notre attention sur un soi-disant problème d’antisémitisme en hausse vertigineuse, dont les effets tangibles semblent en réalité limités et les preuves clairement exagérées.
Après tout, une augmentation de la « haine des Juifs » est presque inévitable si l’on redéfinit l’antisémitisme, comme l’ont fait récemment les responsables occidentaux par le biais de la nouvelle définition de l’Alliance internationale pour la mémoire de l’Holocauste, pour y inclure l’antipathie à l’égard d’Israël – – et au moment où Israël apparaît, même aux yeux de la Cour mondiale, comme un génocidaire.
La logique d’Israël et de ses partisans est la suivante : beaucoup plus de gens que d’habitude expriment leur haine d’Israël, l’État autoproclamé du peuple juif. Il n’y a aucune raison de haïr Israël, à moins de haïr ceux qui y vivent et y règnent, c’est-à-dire les Juifs. L’antisémitisme est donc en hausse.......................................................
www.chroniquepalestine.com
On ressort de la consultation des médias de l’establishment avec l’impression qu’Israël et ses plus ardents défenseurs sont en train de mener une lutte désespérée contre une nouvelle vague d’antisémitisme en Occident.
Article après article, on nous explique qu’Israël et les instances dirigeantes juives occidentales s’alarment de l’augmentation des incidents haineux à l’encontre des Juifs et nous exhortent de nous en préoccuper et de nous en indigner. Des organisations telles que le Community Security Trust au Royaume-Uni et l’Anti-Defamation League aux États-Unis produisent de longs rapports sur l’augmentation incessante de l’antisémitisme, en particulier depuis le 7 octobre, et répètent qu’il est urgent d’agir.
Il ne fait aucun doute que l’antisémitisme constitue une menace réelle et, comme toujours, il provient essentiellement de l’extrême droite. Les actions d’Israël – et sa fausse prétention à représenter tous les Juifs – ne font que l’alimenter.
Mais cette panique morale a un objectif précis. Elle détourne notre attention des preuves concrètes et irréfutables qu’Israël commet un génocide à Gaza, en massacrant et mutilant des dizaines de milliers d’innocents.
Elle attire notre attention sur un soi-disant problème d’antisémitisme en hausse vertigineuse, dont les effets tangibles semblent en réalité limités et les preuves clairement exagérées.
Après tout, une augmentation de la « haine des Juifs » est presque inévitable si l’on redéfinit l’antisémitisme, comme l’ont fait récemment les responsables occidentaux par le biais de la nouvelle définition de l’Alliance internationale pour la mémoire de l’Holocauste, pour y inclure l’antipathie à l’égard d’Israël – – et au moment où Israël apparaît, même aux yeux de la Cour mondiale, comme un génocidaire.
La logique d’Israël et de ses partisans est la suivante : beaucoup plus de gens que d’habitude expriment leur haine d’Israël, l’État autoproclamé du peuple juif. Il n’y a aucune raison de haïr Israël, à moins de haïr ceux qui y vivent et y règnent, c’est-à-dire les Juifs. L’antisémitisme est donc en hausse.......................................................

La « lutte contre l'antisémitisme » sert de paravent au génocide israélien
Les capitales occidentales ne traitent pas Israël comme un État capable de massacrer des enfants, mais comme une cause sacrée. Et toute opposition doit donc devenir un blasphème.
