Au début des années 1900, une épidémie de typhoïde se déclare chez les occupants d’une grande maison. Avec les moyens de son époque et après plusieurs pistes infructueuses, un médecin parvient à remonter à la source, une employée de maison, Mary Mallon, qui a quitté cette maison depuis un temps, travaillé comme aide pour plusieurs autres personnes depuis. Dans tous ces lieux, des épidémies de typhoïde se sont déclaré, emportant une petite fille, contaminée par l’employée de maison.
Le médecin parvient à la retrouver, mais elle se montre fermée, refuse de lui parler. Peut‑être avait‑elle déjà des doutes sur elle‑même. Il parvient à la faire examiner de force et confirme qu’elle est porteuse de la maladie, mais une porteuse saine. Comme elle avait furieusement protesté contre l’arrestation qui aura été nécessaire pour la faire examiner, il fût décidé de la mettre en quarantaine pour trois ans. L’affaire et son passif avaient été relayés par les journaux de l’époque, pendant que le surnom de Mary Typhoïde lui a été donné.
Elle a fini par être libérée, avec d’autres porteurs de la maladie, suite à une décision politique, mais tout‑de‑même contre la promesse de changer de métier. Elle n’aura pas tenu cette promesse, et causé un nouveau foyer de typhoïde … dans une maternité. Elle a alors de nouveau été arrêtée et mise en quarantaine, à perpétuité cette fois.
Son cas est tellement célèbre dans une partie du monde, qu’elle est un emblème des porteurs de maladie grave contagieuse qui sont dans le déni du risque qu’ils représentent pour les autres.
Ce n’est qu’un résumé de l’histoire, bien mieux racontée par un historien, dans la vidéo ci‑dessous.
Le médecin parvient à la retrouver, mais elle se montre fermée, refuse de lui parler. Peut‑être avait‑elle déjà des doutes sur elle‑même. Il parvient à la faire examiner de force et confirme qu’elle est porteuse de la maladie, mais une porteuse saine. Comme elle avait furieusement protesté contre l’arrestation qui aura été nécessaire pour la faire examiner, il fût décidé de la mettre en quarantaine pour trois ans. L’affaire et son passif avaient été relayés par les journaux de l’époque, pendant que le surnom de Mary Typhoïde lui a été donné.
Elle a fini par être libérée, avec d’autres porteurs de la maladie, suite à une décision politique, mais tout‑de‑même contre la promesse de changer de métier. Elle n’aura pas tenu cette promesse, et causé un nouveau foyer de typhoïde … dans une maternité. Elle a alors de nouveau été arrêtée et mise en quarantaine, à perpétuité cette fois.
Son cas est tellement célèbre dans une partie du monde, qu’elle est un emblème des porteurs de maladie grave contagieuse qui sont dans le déni du risque qu’ils représentent pour les autres.
Ce n’est qu’un résumé de l’histoire, bien mieux racontée par un historien, dans la vidéo ci‑dessous.
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