salam
La problématique de la commercialisation au centre des débats du Forum de linvestissement oléicole
Loléiculture a besoin dinvestissements, dintégration, de mécanisation
Dans lobjectif de relancer lintérêt des investisseurs pour le secteur oléicole et de trouver aussi bien les moyens de production, que ceux de la commercialisation, le Crédit agricole du Maroc a organisé la troisième édition du Forum de linvestissement dans ce secteur.
«En observant les dossiers soumis au comité de crédit de notre établissement, jai pu constater que malheureusement on assistait à un certain ralentissement de lintérêt à ce secteur alors que cette filière se positionne parmi les priorités principales du Plan Maroc Vert (PMV)», a affirmé, jeudi à Skhirat, le directeur général du Crédit agricole Maroc (CAM), Tariq Sijilmassi en expliquant les raisons de la tenue de ce forum.
Afin de résoudre cette problématique qui menace un secteur jugé prioritaire pour le Maroc, M. Sijilmassi a essayé de rassurer les acteurs de cette filière qui ont commencé, selon lui, se demande sil sagit dun investissement toujours aussi porteurs, en affirmant que loléiculture est «une filière davenir qui revêt un caractère stratégique évident et que le PMV lui accorde une place cruciale.
Cest pourquoi, «loléiculture doit être prise presque comme un projet de société » a-t-il dit en ajoutant que « cest un mode de vie pour les Marocains et quelle fait partie de leur quotidien».
En mettant en exergue son caractère stratégique, le directeur général du Crédit agricole a expliqué quelle a besoin «dintégration, de mécanisation, dinvestissement et de prise en charge à léchelle nationale de la problématique de commercialisation des produits oléicoles».
Rappelant quil sagit dun «produit noble qui permet de passer par plusieurs étapes depuis la production par la trituration jusquaux étapes à très forte valeur ajoutée», il a mis en valeur ce secteur en montrant que «cest une filière complète ».
«Elle part de la plantation jusquà lexploitation, elle est industrialisante, et créatrice de main-duvre dans le monde rural mais également dans les industries agroalimentaires quelle induit et elle permet de les développer» a-t-il mis en avant.
Le président du Directoire du CAM a insisté sur le fait qu«à linstar des agrumes, la promotion de la commercialisation devrait permettre au «label Maroc» de lhuile dolive dêtre reconnu à léchelle internationale et concurrencer celui des pays de la méditerranée.
La problématique de la commercialisation au centre des débats du Forum de linvestissement oléicole
Loléiculture a besoin dinvestissements, dintégration, de mécanisation
Dans lobjectif de relancer lintérêt des investisseurs pour le secteur oléicole et de trouver aussi bien les moyens de production, que ceux de la commercialisation, le Crédit agricole du Maroc a organisé la troisième édition du Forum de linvestissement dans ce secteur.
«En observant les dossiers soumis au comité de crédit de notre établissement, jai pu constater que malheureusement on assistait à un certain ralentissement de lintérêt à ce secteur alors que cette filière se positionne parmi les priorités principales du Plan Maroc Vert (PMV)», a affirmé, jeudi à Skhirat, le directeur général du Crédit agricole Maroc (CAM), Tariq Sijilmassi en expliquant les raisons de la tenue de ce forum.
Afin de résoudre cette problématique qui menace un secteur jugé prioritaire pour le Maroc, M. Sijilmassi a essayé de rassurer les acteurs de cette filière qui ont commencé, selon lui, se demande sil sagit dun investissement toujours aussi porteurs, en affirmant que loléiculture est «une filière davenir qui revêt un caractère stratégique évident et que le PMV lui accorde une place cruciale.
Cest pourquoi, «loléiculture doit être prise presque comme un projet de société » a-t-il dit en ajoutant que « cest un mode de vie pour les Marocains et quelle fait partie de leur quotidien».
En mettant en exergue son caractère stratégique, le directeur général du Crédit agricole a expliqué quelle a besoin «dintégration, de mécanisation, dinvestissement et de prise en charge à léchelle nationale de la problématique de commercialisation des produits oléicoles».
Rappelant quil sagit dun «produit noble qui permet de passer par plusieurs étapes depuis la production par la trituration jusquaux étapes à très forte valeur ajoutée», il a mis en valeur ce secteur en montrant que «cest une filière complète ».
«Elle part de la plantation jusquà lexploitation, elle est industrialisante, et créatrice de main-duvre dans le monde rural mais également dans les industries agroalimentaires quelle induit et elle permet de les développer» a-t-il mis en avant.
Le président du Directoire du CAM a insisté sur le fait qu«à linstar des agrumes, la promotion de la commercialisation devrait permettre au «label Maroc» de lhuile dolive dêtre reconnu à léchelle internationale et concurrencer celui des pays de la méditerranée.