« la rue bascule toujours vers l’extrême‑droite » : karl marx ?
- Initiateur de la discussion Hibou57
- Date de début
Je me demande si le concept d’extrême-droite existait à l’époque... ou si c’est pas plutôt une suite de la Première Guerre mondiale.
funambule1
Sur la corde vitale
L'adaptation et la loi du moindre effort expliquent peut-être que la rue est de fait "conservatrice", supportant capitalisme, libéralisme, communisme comme des dictatures extrémistes (khmères rouges).
Même après une révolution, comme pour un électron, la rue passe de l'état excité à celui stable et fondamental, après avoir émis des ondes de haine (massacres, génocides), de terreur (révolution française) et dissipé une énergie toujours récupérée par le pouvoir (celui des armes) qui se réinstalle sous une nouvelle forme.
Même après une révolution, comme pour un électron, la rue passe de l'état excité à celui stable et fondamental, après avoir émis des ondes de haine (massacres, génocides), de terreur (révolution française) et dissipé une énergie toujours récupérée par le pouvoir (celui des armes) qui se réinstalle sous une nouvelle forme.
Effectivement. Et le plus important est cet état d'excitation qui pousse un peuple à se retrouver à la frontière de ce qu'il a connu et de ce qu'il ne connait pas. Quand on se révolte, on ne sait jamais vers quoi on va. Ce n'est que quand la récupération est là que de nombreux rêves s'estompent.L'adaptation et la loi du moindre effort expliquent peut-être que la rue est de fait "conservatrice", supportant capitalisme, libéralisme, communisme comme des dictatures extrémistes (khmères rouges).
Même après une révolution, comme pour un électron, la rue passe de l'état excité à celui stable et fondamental, après avoir émis des ondes de haine (massacres, génocides), de terreur (révolution française) et dissipé une énergie toujours récupérée par le pouvoir (celui des armes) qui se réinstalle sous une nouvelle forme.