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La venue de l'Imam Mahdi et du Messie
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[QUOTE="feuaim, post: 2891941, member: 136667"] Le prophète Mohamed , dans un hadith, concernant les panaches de fumées , cite cette remarque suivante : « Baadirouhou bî el-aamal e-sitah », c’est à dire, « Rivalisez-les (panaches de fumées) par les six actes». Lorsqu’on voit que la communauté internationale à la conférence de Kyoto soit sortie avec la recommandation suivante : La réduction des six gaz à effet de serre. Une mesure qui aurait réjoui, en principe, le monde musulman s’il était attentif à ce problème. Du reste cette recommandation est satisfaisante et est utile pour mettre en œuvre un modèle de développement durable. Ce protocole de Kyoto a engagé les pays industrialisés et les pays en transition à réduire, à l’horizon 2008, 2012 les émissions des principaux gaz à effet de serre. Une recommandation nécessaire mais parviendra-t-elle à éliminer le danger qui menace les habitants de la Terre ? En vérité, elle n’est qu’une épargne temporaire, elle devrait être accompagnée par d’autres actes. Celui de trouver des énergies consommables pouvant substituer les combustibles fossiles. L’investissement dans les énergies de substitution, demande des efforts aux entreprises économiques industrielles des Etats et joue un rôle déterminant dans les croissances économiques des pays. Les Etats craignent les troubles politiques et cherchent la stabilité au détriment même de l’écologie. Et de ce fait, certains Etats non favorables aux critères de changement de combustion fossiles, résistent aux thèses du réchauffement climatique annoncé par les scientifiques. Et, cependant le réchauffement climatique est une réalité mais il n’est pas irréversible, si l’humanité se prend à temps. L’humanité doit trouver une ressource renouvelable capable de projeter le monde de l’industrialisation dans un mode de consommation non polluant. Une ressource qui évitera à la production énergétique, la combustion par le feu. Il faudra chercher un système de production énergétique en dehors de la combustion par le feu ou de la carburation qui sollicite le principe d’une combustion d’un carburant qui soit amorcé par un système d’allumage par le feu et qui évacue des gaz brûlés par des pots d’échappement, pour les rejeter dans la nature atmosphérique. L’humanité doit trouver un système capable de donner une énergie thermodynamique, mais reste issu de la biomasse. Il se trouve que cette solution soit quémandée, plus ou moins, par le Coran, à la sourate intitulée : « La lumière ». Cette solution ne demeure pas visible, à priori, dans le verset (35) ; mais lorsqu’on se penche sur la question, et par une certaine lecture attentive, nous verrons pointer, au-delà de l’image parabolique, une proposition de ressource énergétique renouvelable. Le verset propose l’utilisation d’un bio fluide efficace capable de devenir une énergie du futur et pouvant substituer les modes d’exploitation des énergies actuelles. Il nous propose de puiser dans les arbres oléagineux (les oliviers) pour en extraire un combustible huileux. Un combustible qui pourrait devenir un biocarburant efficace, s’il n’est pas destiner à l’épreuve d’inflammation par le feu. Dans les industries automobiles, les moteurs à explosion fonctionnent sur le principe que l’essence soit brûlée dans les cylindres. Or, ce principe est une combustion imparfaite il crée des particules appelées des imbrûlés. Pour contrer les suies et les particules qui s’échappent, les chercheurs apportent des améliorations aux pots d’échappements. Le principe que le Coran propose serait que cette huile ne soit guère brûlée. Cependant, elle servirait de source d’alimentation pour en extraire de l’énergie. Le Coran invite le monde de la recherche à réfléchir sur le principe d’un mode de transformation moléculaire qui fera transiter l’énergie calorifique en énergie thermique. Cette transformation doit répondre aux exercices des raies spectrales. Les excitations des particules moléculaires doivent être augmentées jusqu’aux frontières du spectre visible. On peut, évidemment, s’inspirer de la bioluminescence, qui montre, lorsque les molécules sont excitées par absorption de certaines fréquences, du rayon incident, correspond aux transitions possibles entre les nivaux d’énergies de l’atome et de la molécule. C'est-à-dire que suite à cette absorption, l'atome isolé va atteindre un niveau d'excitation plus élevée, il sera en surexcitation. Quand ils retournent (l'atome isolé ou la molécule) dans son état fondamental (initial), cela peut se faire de trois manières : -> de façon directe, en émettant un photon d'énergie égale à l'énergie absorbée lors de l'excitation. C'est le cas notamment de la bioluminescence. En passant par des nivaux intermédiaires, il émet plusieurs photons d'énergie inférieure à celle de l'excitation initiale.  de façon indirect, en passant par un état métastable à la suite d'une collision inter atomique (peu probable) La luminescence est qualifiée de fluorescente ou de phosphorescente selon que le phénomène cesse ou persiste lorsque la source d'excitation est coupée. De tels principes d’excitation moléculaire doivent, sans doute, faire basculer les autres ondes vers les ondes de la visibilité. D’autres scientifiques cherchent dans les huiles oléagineuses, comme le Colza et le Tournesol des combustibles biodégradables. Ils parviennent par des procédés de distillation et de transformation chimique à obtenir des huiles appelées Esters méthyliques et Diesters. Ce bio fluide principalement issu des cultures oléagineuses pourrait devenir le combustible par excellence, si la recherche en ce domaine aurait expérimenté son savoir faire pour transformer la teneur énergétique calorifique en énergie thermodynamique. Le comportement thermique obtenu ne doit pas passer nécessairement par un mode de brûlage par le feu. Une telle expérimentation pourrait aboutir sur une solution de rechange, en allant utiliser les huiles végétales comme substituts aux carburants fossiles. Il faut opter pour les biocarburants parce qu’ils sont des carburants d’origines végétales. Ils sont obtenus à partir de matière organique végétale et utilisées dans les moteurs. Ces biocarburants sont des énergies renouvelables et contribuent à diminuer certains impacts globaux, comme l’effet de serre. [/QUOTE]
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