Plus de la moitié des résidents de Toronto sont originaires de l’extérieur du Canada. Le gouvernement fait de grands efforts pour attirer des étrangers qualifiés dans le pays. Les Canadiens aiment ça, et Toronto est en plein essor.
Aucune autre ville n’a une proportion aussi élevée d’étrangers. Environ la moitié des habitants sont nés à l’extérieur du Canada.
Et l’intégration semble bien fonctionner. Le taux de criminalité est beaucoup plus faible que dans des métropoles comparables aux États-Unis.
Toronto est l’une des villes les plus sûres en Amérique du Nord, avec une qualité de vie élevée.
Contrairement aux États-Unis et à de nombreux pays européens, le Canada tente d’attirer des immigrants plutôt que de les dissuader. Sans immigrants, la population diminuerait et le pays vieillirait encore plus. Cependant, le Canada est pointilleux.
Toute personne souhaitant obtenir un visa de travail doit avoir des qualifications professionnelles et des compétences linguistiques.
Dans le même temps, l’immigration contrecarre la pénurie de travailleurs qualifiés. La politique d’immigration est largement acceptée par la population. Il y a des débats, mais les tonalités xénophobes ou les appels à l’arrêt de l’immigration sont à peine entendus.
Aucune autre ville n’a une proportion aussi élevée d’étrangers. Environ la moitié des habitants sont nés à l’extérieur du Canada.
Et l’intégration semble bien fonctionner. Le taux de criminalité est beaucoup plus faible que dans des métropoles comparables aux États-Unis.
Toronto est l’une des villes les plus sûres en Amérique du Nord, avec une qualité de vie élevée.
Contrairement aux États-Unis et à de nombreux pays européens, le Canada tente d’attirer des immigrants plutôt que de les dissuader. Sans immigrants, la population diminuerait et le pays vieillirait encore plus. Cependant, le Canada est pointilleux.
Toute personne souhaitant obtenir un visa de travail doit avoir des qualifications professionnelles et des compétences linguistiques.
Dans le même temps, l’immigration contrecarre la pénurie de travailleurs qualifiés. La politique d’immigration est largement acceptée par la population. Il y a des débats, mais les tonalités xénophobes ou les appels à l’arrêt de l’immigration sont à peine entendus.