L'accord de libre-échange entre le Maroc et la Turquie entre en vigueur

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La loi réformant l'accord de libre-échange (ALE) entre le Maroc et la Turquie est entrée en application. C'est ce que confirme le Bulletin officiel du 13 mai 2021.
Entrée en vigueur le 13 mai dernier, la loi 54-20 portant accord de libre-échange entre le Maroc et la Turquie recèle des nouveautés. Dans cette loi, plus de 1200 produits, équivalant à 630 positions tarifaires, relatives aux secteurs du textile-habillement, du cuir, de la métallurgie, de l'électricité, du bois et de l'automobile, sont (...)

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L'accord de libre-échange entre le Maroc et la Turquie entre en vigueur
 

Docteur abdelillah Benkirane, el ostad Saad Dine El Otmani du PJD proche de la mouvance hypocrite au pouvoir à Ankara qu'on t'ils à dire sur ce sujet?

DES BATEAUX TURCS "SUSPECTS" ARRAISONNÉS AU LARGE DU SAHARA MAROCAIN​


Bateau


Kiosque360. Après avoir arraisonné deux navires turcs au large de Dakhla, la marine royale a abordé, jeudi 17 juin, un autre bateau près des côtes de Laâyoune. Les enquêteurs les soupçonnent d’espionner les richesses sous-marines ou de livrer des armes à des pays de la région.


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La marine royale a arraisonné, jeudi dernier, un bateau de pêche non identifié battant pavillon bolivien à l’envers dans les eaux territoriales marocaines au large de Laâyoune. Le quotidien Assabah rapporte, dans son édition du week-end (19 et 20 juin), qu’il a été procédé à l’arrestation de cinq membres de l’équipage qui portent tous la nationalité turque. Des sources autorisées indiquent que le navire a été remorqué par la marine royale jusqu’au port de Laâyoune où l’on a découvert qu’il fonctionnait avec trois moteurs, l’un diesel et les deux autres électriques.

Une spécificité technique que l’on ne trouve que dans les navires de guerre pour faciliter les manœuvres de diversion et l’augmentation de leur trainée aérodynamique
. D’autant que lors de la perquisition, les éléments de la marine royale n’ont trouvé aucune trace de poissons dans les cales du navire. Ce qui pose plusieurs interrogations sur les raisons qui ont poussé le commandant de ce bateau à naviguer dans cette zone maritime. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que la marine royale arraisonne un bateau dont l’équipage est de nationalité turque au large du Sahara marocain.

Le quotidien Assabah rapporte que la marine royale a déjà arraisonné deux navires au large de Dakhla. Le premier bateau, nommé Cake Omar, qui battait pavillon turc avec cinq membres d’équipage turcs, a été remorqué au port de Dakhla. Les enquêteurs n'y ont découvert aucune trace de poisson dans les cales. Le deuxième, qui portait frauduleusement un nom chinois avec un équipage turc, était équipé de gros moteurs et n’avait pas non plus l’air d’un bateau de pêche.

Les enquêteurs ont découvert ainsi que les équipages de certains bateaux turcs essayaient de camoufler leurs vraies activités en falsifiant les documents à bord. C’est ce qui les a poussés à inspecter minutieusement le système automatisé du navire pour vérifier son identité et son port d’attache. Il s’est avéré que ces navires lèvent l’encre à partir des côtes de la ville mauritanienne de Nouadhibou et qu’il ne s’agit nullement de pêcheurs.

D’autant plus que ces navires dotés de caractéristiques militaires ont été arraisonnés près de la zone du mont sous-marin Tropic en arborant de faux pavillons et en ne disposant pas de cales pour les poissons. Ce qui laisse supposer qu’ils s’adonnent à des opérations d’espionnage des richesses sous-marines dans les eaux marocaines ou qu’ils transportent de l’armement qu’ils livrent à certains pays dans la région.

Par Hassan Benadad


 
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