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Actualités marocaines
L’affaire hajar raissouni, nouvelle machination politico-médiatique
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[QUOTE="Drianke, post: 16330124, member: 174325"] Kesske tu nous escagasses avec le voile toi ? t'as pas lu le sujet et tu ramènes ta fraise? va te laver la bouche sanex...encore un mononeurone purée on les collectionne ici et dire que c'est pratiquement tous des mâles en plus....pas possible une pandémie bladinautique virtuelle!!! :defonce::claque: [B]Entretien avec Chaifik Chraibi, gynécologue, président de l'Association marocaine de Lutte contre l'Avortement Clandestin (AMLAC) Terriennes :[/B][I] Comment réagissez-vous à cette arrestation ?[/I] [B]Chaifik Chraibi : Je la trouve totalement excessive, parce que d'habitude, lorsqu'il y a arrestation pour motif d'avortement, il faut qu'il y ait plainte d'une des parties. A mon avis, on sent le règlement de compte. Aussi bien le médecin que la jeune femme confirment qu'elle est venue en état d'urgence d'hémorragie, donc le médecin a fait son travail. Il a donc procédé à un curetage qui semblait nécessaire, il fallait arrêter le saignement. Ce genre d'arrestations était, par le passé, exceptionnel, mais on assiste ces derniers temps à une recrudescence. Cela arrivait de temps en temps, lorsqu'il y avait plainte d'une des parties ou décès de la patiente. Conséquence : maintenant, beaucoup de médecins refusent de pratiquer des avortements. Nous sommes retournés au XIXè siècle ! On assiste à une recrudescence des avortements traditionnels, les femmes ayant du mal à trouver un médecin. Ce qui fait que nous, à l'hôpital, nous voyons arriver de plus en plus de cas de complications gravissimes, en rapport avec des avortements clandestins : délabrements génitaux, intoxications aiguës, hémorragies, etc... Il est absolument exceptionnel, aussi, que la femme avortée se fasse arrêter. Le plus souvent, c'est le médecin et son équipe qui sont interpellés. La femme est interrogée et relaxée sur le champ.[/B] [/QUOTE]
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