L'Algérie pakistanisée et le Malistan

ould khadija

fédalien
Contributeur
La Pakistanisation, qu’est-ce que c’est ? C’est un peu la situation d’un pays qui est forcé d’être une caserne d’arrière-garde pour une guerre d’avant-garde.

Cela se passe au Pakistan, entre les USA, l’Occident, l’Afghanistan, El Qaïda et l’Inde.

La situation d’un pays réduit au statut de pépinière explosive de casernes, drones, « services », cellules, coup d’Etat et collaborations, ISI et kamikazes.
Un pays qui trouve sa légitimité dans son utilité « internationale » et sa rente géostratégique.

Autant que l’Algérie et sa doctrine d’exportation de sa coopération anti-terroriste.

« L’Algérie incontournable », comme a dit Clinton, comme a dit l’Occident, comme a dit le monde post 11 septembre.

Pour être « Pakistanisé », il faut deux ou trois conditions : avoir un Afghanistan dans les parages ou dans le dos, une puissance étrangère en tuteur ou en parrain ou en attente dans le ciel, des groupes terroristes Djihadistes islamistes, et un Etat effronté en pleine débâcle de contre-courant au centralisme néo-colonisaliste.

C’est le cas de l'Algérie donc : des Djihadistes El Qaïda dans le flanc, un Mali en plein effondrement, une Algérie, au nord, surarmée et dans l’attente d’un soutien international pour contrer les menaces de révolutions locales.

A la fin, l'Algérie aura ce que d’autres ont eu : la pakistanisation.

Une élite oligarchique riche, un ou dix généraux dotés de visions mystiques boiteuses et d’ambitions ridiculement disproportionnées, des militaires soumis à la doctrine du tutorat, de la bourgeoisie addict à la rente et de plèbe endoctrinée au conservatisme.

La pakistanisation suppose aussi un Etat faible quais inexistant, un régime autoritaire, des services infiltrés par tous, des islamistes enragés et une situation de paupérisation accentuée de la plèbe.

L’avenir ? La France attaque le Malistan au nom du Mali et c’est une guerre ouverte.

L’Algérie est obligée de jouer la collaboration ou la fausse neutralité par souci d’équilibres internes face à sa propre plèbe et par urgence de soutiens externes.

On y verra émerger des généraux agités et une talibanisation des périphéries agitées, selon les pires scénarios.


La Tunisie en sera le Sri-Lanka.

Le Maroc ? L’Inde mais en plus petit et plus sournois et avec la RASD en Cachemire.

La Libye ? Un trou noir.

Le Mali ? Un Afghanistan avec un Karzaï frenchy à Bamako.

C’est donc le gros évènement du jour : la guerre a commencé dans le dos de l’Algérie, au sud du pays et au nord du Mali.

Elle prendra des années et aura de lourdes conséquences : de la Présidence au panier de chacun.

Sans exagérations car l’avenir le prouvera.

Les Etats trop centralistes, post-décolonisés, n’ont plus d’avenir que par la réforme ou la débâcle.



Kamel Daoud

http://www.algerie-focus.com/blog/2013/01/13/le-malistan-et-lalgerie-pakistanisee-par-kamel-daoud/
 
La Pakistanisation, qu’est-ce que c’est ? C’est un peu la situation d’un pays qui est forcé d’être une caserne d’arrière-garde pour une guerre d’avant-garde.

Cela se passe au Pakistan, entre les USA, l’Occident, l’Afghanistan, El Qaïda et l’Inde.

La situation d’un pays réduit au statut de pépinière explosive de casernes, drones, « services », cellules, coup d’Etat et collaborations, ISI et kamikazes.
Un pays qui trouve sa légitimité dans son utilité « internationale » et sa rente géostratégique.

Autant que l’Algérie et sa doctrine d’exportation de sa coopération anti-terroriste.

« L’Algérie incontournable », comme a dit Clinton, comme a dit l’Occident, comme a dit le monde post 11 septembre.

Pour être « Pakistanisé », il faut deux ou trois conditions : avoir un Afghanistan dans les parages ou dans le dos, une puissance étrangère en tuteur ou en parrain ou en attente dans le ciel, des groupes terroristes Djihadistes islamistes, et un Etat effronté en pleine débâcle de contre-courant au centralisme néo-colonisaliste.

C’est le cas de l'Algérie donc : des Djihadistes El Qaïda dans le flanc, un Mali en plein effondrement, une Algérie, au nord, surarmée et dans l’attente d’un soutien international pour contrer les menaces de révolutions locales.

A la fin, l'Algérie aura ce que d’autres ont eu : la pakistanisation.

Une élite oligarchique riche, un ou dix généraux dotés de visions mystiques boiteuses et d’ambitions ridiculement disproportionnées, des militaires soumis à la doctrine du tutorat, de la bourgeoisie addict à la rente et de plèbe endoctrinée au conservatisme.

La pakistanisation suppose aussi un Etat faible quais inexistant, un régime autoritaire, des services infiltrés par tous, des islamistes enragés et une situation de paupérisation accentuée de la plèbe.

L’avenir ? La France attaque le Malistan au nom du Mali et c’est une guerre ouverte.

L’Algérie est obligée de jouer la collaboration ou la fausse neutralité par souci d’équilibres internes face à sa propre plèbe et par urgence de soutiens externes.

On y verra émerger des généraux agités et une talibanisation des périphéries agitées, selon les pires scénarios.


La Tunisie en sera le Sri-Lanka.

Le Maroc ? L’Inde mais en plus petit et plus sournois et avec la RASD en Cachemire.

La Libye ? Un trou noir.

Le Mali ? Un Afghanistan avec un Karzaï frenchy à Bamako.

C’est donc le gros évènement du jour : la guerre a commencé dans le dos de l’Algérie, au sud du pays et au nord du Mali.

Elle prendra des années et aura de lourdes conséquences : de la Présidence au panier de chacun.

Sans exagérations car l’avenir le prouvera.

Les Etats trop centralistes, post-décolonisés, n’ont plus d’avenir que par la réforme ou la débâcle.



En tous les cas ceux qui dans ce forum se vantaient qu'il n y aurait pas d'intervention sans l'avale de cette même Algérie se sont foutus le doigt dans l' œil, l'avis de ce pays ne vaut rien......et on en a eu la preuve.......

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La Pakistanisation, qu’est-ce que c’est ? C’est un peu la situation d’un pays qui est forcé d’être une caserne d’arrière-garde pour une guerre d’avant-garde.

Cela se passe au Pakistan, entre les USA, l’Occident, l’Afghanistan, El Qaïda et l’Inde.

La situation d’un pays réduit au statut de pépinière explosive de casernes, drones, « services », cellules, coup d’Etat et collaborations, ISI et kamikazes.
Un pays qui trouve sa légitimité dans son utilité « internationale » et sa rente géostratégique.

Autant que l’Algérie et sa doctrine d’exportation de sa coopération anti-terroriste.

« L’Algérie incontournable », comme a dit Clinton, comme a dit l’Occident, comme a dit le monde post 11 septembre.

Pour être « Pakistanisé », il faut deux ou trois conditions : avoir un Afghanistan dans les parages ou dans le dos, une puissance étrangère en tuteur ou en parrain ou en attente dans le ciel, des groupes terroristes Djihadistes islamistes, et un Etat effronté en pleine débâcle de contre-courant au centralisme néo-colonisaliste.

C’est le cas de l'Algérie donc : des Djihadistes El Qaïda dans le flanc, un Mali en plein effondrement, une Algérie, au nord, surarmée et dans l’attente d’un soutien international pour contrer les menaces de révolutions locales.

A la fin, l'Algérie aura ce que d’autres ont eu : la pakistanisation.

Une élite oligarchique riche, un ou dix généraux dotés de visions mystiques boiteuses et d’ambitions ridiculement disproportionnées, des militaires soumis à la doctrine du tutorat, de la bourgeoisie addict à la rente et de plèbe endoctrinée au conservatisme.

La pakistanisation suppose aussi un Etat faible quais inexistant, un régime autoritaire, des services infiltrés par tous, des islamistes enragés et une situation de paupérisation accentuée de la plèbe.

L’avenir ? La France attaque le Malistan au nom du Mali et c’est une guerre ouverte.

L’Algérie est obligée de jouer la collaboration ou la fausse neutralité par souci d’équilibres internes face à sa propre plèbe et par urgence de soutiens externes.

On y verra émerger des généraux agités et une talibanisation des périphéries agitées, selon les pires scénarios.


La Tunisie en sera le Sri-Lanka.

Le Maroc ? L’Inde mais en plus petit et plus sournois et avec la RASD en Cachemire.

La Libye ? Un trou noir.

Le Mali ? Un Afghanistan avec un Karzaï frenchy à Bamako.

C’est donc le gros évènement du jour : la guerre a commencé dans le dos de l’Algérie, au sud du pays et au nord du Mali.

Elle prendra des années et aura de lourdes conséquences : de la Présidence au panier de chacun.

Sans exagérations car l’avenir le prouvera.

Les Etats trop centralistes, post-décolonisés, n’ont plus d’avenir que par la réforme ou la débâcle.



En tous les cas ceux qui dans ce forum se vantaient qu'il n y aurait pas d'intervention sans l'avale de cette même Algérie se sont foutus le doigt dans l' œil, l'avis de ce pays ne vaut rien......et on en a eu la preuve.......

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si elle a autorisé les avions francais a survoler son espace aerien , donc oui elle a eut son mot :D

http://www.algerie-focus.com/blog/2...-le-cadre-de-lintervention-militaire-au-mali/
 
Avait elle le choix ?
Anyway, le sujet du topic est "similtude entre la situation du Pakistan "couplé" à l' Afghanistan et celle de l'Algérie "couplé" au Mali" ....
ça colle pas
l'afghanistan et le pakistan sont tres proche ethniquement parlant
ce n'est pas le cas de l'Algérie et du Mali
sauf la composante Touareg bien sur qui nous est proche.
 
Tout ça c'est le produit du nationalisme du mépris de soi. Si l'Algérie avait été fière de l'identité des habitants du sud, les touaregs, elle n'aurait pas hésité à soutenir et armer le MNLA pour contrer les djihadistes. Là la France va armer les sudistes qui voudront se venger du Nord. C'est la fin de l'Azawad libre et indépendant.

Ida 3oribat, khoribat
 
C est vrai que la similitude est troublante....

Il y a une autre similitude....Le Pakistan soutenait les talibans et voulaient qu on fasse la distinction entre talibans et Alquaida....qui s entendaient a merveille
L algerie aussi veut qu on fasse la distinction entre Ansar addine qu elle soutient et Alquaida...qui la aussi s entendent a merveille..
 
C’est vrai qu’il y a des petites similitudes avec ce qu’il se passe au Mali mais à un degré moindre… le Mouvement de l’Azawad un peu comme les pachtounes des zones tribales, les islamistes AQMI etc.un peu comme les talibans reste à savoir quel rôle entretien le DRS comme celui qu’entretien l’ISI


Si c’était le même bourbier quand Astan avec deux puissances nucléaires en tension comme pays voisins des zones accidenté et montagnard dans les zones de combats plutôt que plate et désertique comme au sahel

la France serrait la bas avec une coalition solide avec les US en tête pas au commande des opérations seul car ça aurait été trop rudes et trop couteux
 
Comparé le Mali a l’Afghanistan un pays qui et en guerre depuis 30 ans ou plus rien ne tient debout c'est pas lucide comme comparaison,la tumeur cancéreuse qui allait se propager au mali et a l'ensemble de la région,fallait la soigner avant quel ne devienne des métastases.

La tumeur et toujours présente en Tunisie, Libye, Egypte.Rien n'est réglé son cortège de mort et d'instabilité va continué,le Niger qui faisait face elle aussi a une rébellion touareg depuis des lustres,le Nigeria qui et dans la guerre ethnique-religieuse,la cote d'ivoire encore dans les problèmes post Bagbo,bref rien de nouveau sous le soleil.


C'est plutôt les pays voisin qui flippe de devenir le malistan,comme le Niger,le Burkina etc..

L'Algerie a déjà subit dans les années 90 et donc rodé a ce problèmes.
 
eeh oui l algerie est une puissance regionale, et puisqu il peuvent pas la defier franchement ils trouvent des pays pour s appuyer sur eux

comme le pakistan on peut pas le defier, alors on attaque le faible afghanistan et on contre par lui le pakistan, excellente remarque
 
Conflit au Mali : le soutien de l'Algérie sera crucial


Pour venir à bout des djihadistes, Paris compte sur l'aide d'Alger. «On est d'accord sur l'essentiel», avait affirmé François Hollande en décembre.

Chasser les talibans de Kaboul ne suffisait pas. Il fallait aussi s'attaquer à la base arrière des islamistes au Pakistan. Contraindre le gouvernement d'Islamabad à mettre fin à son double jeu - alliance avec Washington d'une part, soutien des talibans de l'autre. Il fallait trouver une solution pour fermer la frontière du Sud et éviter que les zones tribales ne fournissent de nouveaux moyens humains et matériels aux rebelles pachtounes afghans, réduisant ainsi à néant les efforts des troupes internationales pour mettre fin à l'insurrection. Ignorer la mère nourricière fut l'une des principales erreurs commises par les Américains en Afghanistan.

Les Français commettront-ils la même faute dans le Sahel en omettant d'inclure dans le dossier l'Algérie, qui, toutes proportions gardées, joue à l'égard de son voisin malien le même rôle ambigu que celui du Pakistan en Afghanistan? La maîtrise de la longue frontière qui sépare l'Algérie du Mali est en effet l'une des clés de la réussite de l'intervention militaire française.

La communication n'est pas le point fort des autorités algériennes. Dimanche, le pouvoir en place à Alger a préféré laisser à Laurent Fabius le soin d'annoncer le feu vert pour un survol de son espace aérien par les avions de chasse français qui bombardent les positions islamistes dans le nord du Mali. En décembre déjà, c'est François Hollande qui s'était chargé de commenter l'apparente convergence franco-algérienne sur le dossier après son entretien avec Abdelaziz Bouteflika. «On est d'accord sur l'essentiel, c'est-à-dire sur la nécessaire lutte contre le terrorisme et sur la volonté de briser le statu quo imposé par les insurgés.»

1 400 km de frontière commune
Le président algérien n'a, lui, pas pipé mot. Un silence qui traduisait, au-delà de l'autisme du régime, le manque d'empressement devant une intervention internationale. La principale puissance militaire de la région a toujours louvoyé ces dernières années pour éviter un engagement musclé contre les groupes terro*ristes présents dans son arrière-cour.

Le problème est pourtant, à l'origine, purement algérien. À la fin des années 1990, à l'issue d'une guerre civile qui a fait plus de 100 000 morts, le Groupe salafiste pour la prédilection et le combat (GSPC) s'est réfugié dans le Sahara pour échapper à l'armée. Il s'est ensuite affilié à al-Qaida et a pris de l'ampleur sous le nom d'al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi).

Décidé à circonscrire la menace hors de ses frontières, Alger a entretenu l'équivoque. Il s'est déclaré favorable à une concertation avec les pays du Sahel pour juguler les katibas, les colonnes djihadistes, mais n'a pas pesé de tout son poids pour appuyer une armée malienne faible et en partie corrompue. Le peu d'implication peut aussi s'expliquer par une perte d'influence en Afrique noire depuis la guerre civile. La diplomatie algérienne a perdu sa profondeur stratégique sur le continent.
 
À Alger, les officiels avaient coutume d'expliquer que les militaires et les ser*vices de renseignement cherchaient en priorité à sécuriser leurs 1 400 km de frontière commune avec le Mali. Mais les trafics en tous genres qui enrichissent les groupes armés ont prospéré. Aqmi et ses complices restent alimentés par de l'essence venue d'Algérie. Des armes et du matériel transitent par les pistes algériennes. C'est par là notamment qu'ont circulé les armes, dont des missiles sol-air, provenant des arsenaux libyens, pillés à la faveur du chaos qui a accompagné la chute de Kadhafi en 2011.

Des similitudes avec le Pakistan
Cette porosité est l'un des éléments clés du conflit en cours. Si elles veulent donner une chance de réussir à l'opération internationale, les autorités militaires doivent pour commencer renforcer leur surveillance dans le Sahara. C'est aussi ce que pense le président tunisien lorsqu'il s'inquiète du «nid de frelons qui peut menacer la sécurité de l'ensemble du pays». «Nous avons l'impression, affirme Moncef Marzouki, que la Tunisie est en train de devenir un corridor entre l'armement libyen et ces régions-là.» Ce qu'il dit de la Tunisie est encore plus pertinent pour l'Algérie.

Une fois que la première phase de la guerre, qui consiste à bloquer les colonnes islamistes avançant vers le sud et à détruire, ou au moins désorganiser, les clans djihadistes, il faudra reconquérir le nord du pays. Mais, sans une fermeture de la frontière, il sera difficile d'empêcher que les islamistes aillent se cacher dans le sud de l'Algérie, attendant des jours meilleurs pour reformer leur base au Mali.

En intervenant dans le nord du Mali, la France fait voler en éclats le statu quo. Elle peut inciter l'Algérie à sortir de l'ambiguïté. La Tunisie, la Libye et l'Algérie se sont mises d'accord la semaine dernière pour établir des points de contrôle communs et effectuer des patrouilles aux frontières. Mais comment maîtriser complètement cette immense zone semi-désertique?

Il est encore difficile de dire aujourd'hui si Alger se repositionnera ou optera pour une stratégie à la pakistanaise. Les deux pays présentent des similitudes. L'armée et les services de renseignement, DRS en Algérie, ISI au Pakistan, jouent un rôle structurant dans les deux jeunes États. Alger et Islamabad sont l'un comme l'autre, sur le papier, des alliés des États-Unis. Seule différence, mais elle est de taille: les Zones tribales pakistanaises et le sud de l'Afghanistan ont la même population ethnique, pachtoune, et le soutien de la population. En Algérie comme au Mali, les djihadistes ont des relais mais ne sont pas en osmose avec des autochtones démunis, qui ont souvent tendance à se plier à la loi du plus fort

http://www.lefigaro.fr/internationa...mali-le-soutien-de-l-algerie-sera-crucial.php
 
Figaro journal de droite qui durant la décennie noire en Algerie citait les hordes intégristes comme étant ''les rebelles'' n'a aucune crédibilité sur cette affaire et feraient mieux de s'y abstenir carrément. Cela dit, les membres d'Aqmi n'est pas entièrement constituer de l'ex GSPC mais aussi d'islamistes marocains, libyens, mauritaniens en passons en.
 
Djanet : L’ANP avorte une tentative d’infiltration en neutralisant 5 terroristes

Une unité l’Armée nationale populaire (ANP), relevant de la 4ème région militaire, a réussi ce lundi à mettre hors d’état de nuire cinq terroristes interceptés à bord d’un véhicule 4×4 dans la région de Meskeline, à 300 km au Sud-est de la ville de Djanet, près de la zone frontalière entre l’Algérie, le Niger et la Libye.


Selon un communiqué émanant du ministère de la défense nationale, trois des terroristes ont été abattus alors que les deux autres ont été blessés avant d’être capturés par les militaires.

A l’issue de cette opération antiterroriste, les forces de sécurité ont récupéré cinq fusils automatiques de type Kalachnikov ainsi que le véhicule 4×4 du groupe terroriste, équipé d’une arme à feu calibre 12.7mm.

Selon le même communiqué, “l’opération a été couronnée par la mise en échec de cette tentative d’infiltration sur le territoire national”.

A l’heure de l’intervention militaire dans la région du Sahel, les forces de sécurité algériennes ont redoublé la surveillance des frontières du pays, et ce, conformément aux engagements pris avec les pays voisins dans le cadre de la lutte commune contre le terrorisme et les différents trafics.

Le ministère de la défense nationale ”réitère” par la même occasion “l’engagement et la détermination de ses unités à garantir la sécurisation de nos frontières et à empêcher toute tentative d’atteinte à l’intégrité du territoire national”.

http://www.algerie1.com/actualite/d...-dinfiltration-en-neutralisant-5-terroristes/
 
Le problème est pourtant, à l'origine, purement algérien. À la fin des années 1990, à l'issue d'une guerre civile qui a fait plus de 100 000 morts, le Groupe salafiste pour la prédilection et le combat (GSPC) s'est réfugié dans le Sahara pour échapper à l'armée. Il s'est ensuite affilié à al-Qaida et a pris de l'ampleur sous le nom d'al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi).

Si je comprend bien cette theorie (et je ne suis pas sur de la comprendre!), l'Algerie soutiendrait donc au Nord-Mali les islamistes qu'elle aurait chasse de chez elle? Pourquoi? Quel est leur interet dans tout ca?

Les Pakistanais soutenaient (soutiennent) les Talibans pour bloquer les Russes. Les Algeriens veulent bloquer qui exactement?

:confus:
 
Si je comprend bien cette theorie (et je ne suis pas sur de la comprendre!), l'Algerie soutiendrait donc au Nord-Mali les islamistes qu'elle aurait chasse de chez elle? Pourquoi? Quel est leur interet dans tout ca?

Les Pakistanais soutenaient (soutiennent) les Talibans pour bloquer les Russes. Les Algeriens veulent bloquer qui exactement?

:confus:
l algérie soutient le MNLA au nord, d'ailleurs non considérés comme des rebelles mais indépendantistes en droit de demander l'indépendance de l'azawad ...à ton avis pourquoi .....
 
l algérie soutient le MNLA au nord, d'ailleurs non considérés comme des rebelles mais indépendantistes en droit de demander l'indépendance de l'azawad ...à ton avis pourquoi .....
L'Algérie soutient personne, elle veut une situation stable au Mali, le problème avec les touaregs maliens persistent depuis longtemps et rien n'a changé. Puis voilà après une guerre civils les terroristes se sont implantés et certaines personnes/états essayent de faire croire à tout le monde que tout ses groupes sont alliés entre eux et sont des terroristes.
Déjà une simple question, qui dirige le Mali???
 
L'Algérie soutient personne, elle veut une situation stable au Mali, le problème avec les touaregs maliens persistent depuis longtemps et rien n'a changé. Puis voilà après une guerre civils les terroristes se sont implantés et certaines personnes/états essayent de faire croire à tout le monde que tout ses groupes sont alliés entre eux et sont des terroristes.
Déjà une simple question, qui dirige le Mali???

la stabilité à l'intérieur de ses frontières ....y a t il un pilote dans l'avion ...ou à l'xtérieur de l'avion ...
 
l'algerie soutient qui? looool
ils veulent l'impliquer partout, mais ce pays grand comme 4 fois la france résiste au printemps arabe, et moi je pense il tombera pas, il a la bénédiction du bon dieu
 
Conflit au Mali : le soutien de l'Algérie sera crucial


Pour venir à bout des djihadistes, Paris compte sur l'aide d'Alger. «On est d'accord sur l'essentiel», avait affirmé François Hollande en décembre.

Chasser les talibans de Kaboul ne suffisait pas. Il fallait aussi s'attaquer à la base arrière des islamistes au Pakistan. Contraindre le gouvernement d'Islamabad à mettre fin à son double jeu - alliance avec Washington d'une part, soutien des talibans de l'autre. Il fallait trouver une solution pour fermer la frontière du Sud et éviter que les zones tribales ne fournissent de nouveaux moyens humains et matériels aux rebelles pachtounes afghans, réduisant ainsi à néant les efforts des troupes internationales pour mettre fin à l'insurrection. Ignorer la mère nourricière fut l'une des principales erreurs commises par les Américains en Afghanistan.

Les Français commettront-ils la même faute dans le Sahel en omettant d'inclure dans le dossier l'Algérie, qui, toutes proportions gardées, joue à l'égard de son voisin malien le même rôle ambigu que celui du Pakistan en Afghanistan? La maîtrise de la longue frontière qui sépare l'Algérie du Mali est en effet l'une des clés de la réussite de l'intervention militaire française.

La communication n'est pas le point fort des autorités algériennes. Dimanche, le pouvoir en place à Alger a préféré laisser à Laurent Fabius le soin d'annoncer le feu vert pour un survol de son espace aérien par les avions de chasse français qui bombardent les positions islamistes dans le nord du Mali. En décembre déjà, c'est François Hollande qui s'était chargé de commenter l'apparente convergence franco-algérienne sur le dossier après son entretien avec Abdelaziz Bouteflika. «On est d'accord sur l'essentiel, c'est-à-dire sur la nécessaire lutte contre le terrorisme et sur la volonté de briser le statu quo imposé par les insurgés.»

1 400 km de frontière commune
Le président algérien n'a, lui, pas pipé mot. Un silence qui traduisait, au-delà de l'autisme du régime, le manque d'empressement devant une intervention internationale. La principale puissance militaire de la région a toujours louvoyé ces dernières années pour éviter un engagement musclé contre les groupes terro*ristes présents dans son arrière-cour.

Le problème est pourtant, à l'origine, purement algérien. À la fin des années 1990, à l'issue d'une guerre civile qui a fait plus de 100 000 morts, le Groupe salafiste pour la prédilection et le combat (GSPC) s'est réfugié dans le Sahara pour échapper à l'armée. Il s'est ensuite affilié à al-Qaida et a pris de l'ampleur sous le nom d'al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi).


Le Figaro organe de propagande UMP c'est suffisant pour discrédité leur article.D'autant plus qu'ils "oublient" de dire des vérités,dans les années 90 quand l'Algerie était dans la ***** TOUS les pays voisin non rien fait pour sécurisé leur frontière et laisser passer arme et Djihadiste de leur pays pour faire des massacres en Algerie.

L'Algerie et surtout le peuple Algérien n'a aucune leçon a recevoir de PERSONNE.
 
la stabilité à l'intérieur de ses frontières ....y a t il un pilote dans l'avion ...ou à l'xtérieur de l'avion ...


L'Algerie ne soutient personne,au contraire elle a voulue aider le mali depuis les années 90 qui été en guerre contre les touareg du MNLA avec les accords d'Alger et a plusieurs reprise.Alors que l'Algerie elle même sombré dans la violence et QUI NOUS A AIDER ? PERSOOOOOOOOOOOOOOONE.

http://fr.wikisource.org/wiki/Accords_d’Alger

http://www.tv5.org/cms/chaine-franc...81-Touaregs-du-Mali-une-rebellion-inedite.htm
 
Alors là c'est le comble, des pseudo-intellectuels qui osent faire une comparaison aussi loufoque que pitoyable.

pardon!!
il viendra le tour du maroc, tkt, un pays qui a colonisé pendant un sciecle en dépouillant les peuples de leurs richesses, tu lui fais confiance toi?
si l'algerie tombe le maroc suivra par effe domino, si l'algerie résiste y'aura rien au maroc, aujourd'hui ils ont sorti pour l'algerie le pretexte d'un français et 5 japonais kidnappé à inamenas ou qlq chose comme ça, eehh oui, c'était prévu
 
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