Quand t'as un SMIC à moins de 20 000 DA et prêter de l'argent au FMI qui il le prêtera à la Grèce qui a un SMIC de 700 € ou à l'Irlande, ce n'est pas logique. Je dis simplement que le peuple algérien a besoin de cet argent et il est essentiel que les revenus du gaz se répercutent sur le niveau de vie des algériens.
Je suis d'accord avec toi qu'il faut que les Algériens profitent de tout ça, mais de la à parler de cette fausse crise provoqué à cause des élections prochaines le 10 mai comme si c'étais la fin du monde, vous allez voir qu'après tout rentrera dans l'ordre.
Les Algériens ont boycotté la pomme de terre tout simplement pour exprimé leur colère, au points ou les commerçant l'ont jeté.
DES TONNES DE POMME DE TERRE JETÉS À LA DÉCHARGE PUBLIQUE !
Les Algériens entrent en guère contre la cherté de la vie et décident de boycotter les légumes et fruits dont les prix dépassent les limites du raisonnable.
Et c’est la pomme de terre qui commence à faire les frais de ce sursaut citoyen. En effet, à Oran, d’importantes quantités de pomme de terre ont été jetées dernièrement, dans la décharge publique d’El Karma, révèle à ce sujet le quotidien régional oranais l’Echo d’Oran qui rapporte les témoignages des éboueurs de la ville.
«Ces derniers affirment qu’ils ont procédé, mercredi dernier, à la collecte de plus de quatre (4) tonnes de pomme de terre avariée, sans toutefois donner d’indications précises sur la ou les parties qui se seraient débarrassées d’une telle quantité de ce produit agricole », indique cette source.
Le boycott des consommateurs a contraint les commerçants de jeter ces quantités de pomme de terre qui seraient devenues avariées. Selon l'Echo d'Oran, "la conservation prolongée d’énormes quantités de ce produit agricole, a contribué à son altération, contraignant du coup ses propriétaires à les détruire plutôt qu’à les écouler, et ce, dans le but évident d’agir sur les prix et de les maintenir à leur niveau actuel".
"Non seulement les patates sont jetés par les commerçants mais aussi d’autres légumes comme les carottes et même les tomates dont le prix a doublé ce week-end", révèlent encore les éboueurs d'Oran.