Leur soumission a commencé lors du voyage des délégations européennes de l'extrême droite qui ont été baiser la main du parrain israelien pour avoir droit au signal de dédiabolisation par les medias mainstream.
Mission accomplie. En échange les partis fachistes s'engagent à ne pas critiquer l'occupant et à mettre le focus sur les musulmans.
Ce qui est fait chaque jour depuis des années.
Les coups durs diplomatiques pour Benyamin Netanyahou se sont multipliés depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza le 7 octobre.
Son pays s'est retrouvé totalement isolé, notamment en Europe. Mais la poussée de partis populistes lors des élections européennes a donné un peu de baume au coeur du Premier ministre israélien.
Depuis des années, Benyamin Netanyahou cultive en effet ses relations avec les dirigeants « illibéraux » tels Viktor Orban, le Premier ministre hongrois, Geert Wilders, le leader de l'extrême droite néerlandaise. Ou encore, en dehors du Vieux Continent,
Javier Milei, le président argentin et Narendra Modi, le Premier ministre indien.
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